je pense que ca n'a rien à voir avec la taille du giga, mais plutot avec la consommation mémoire de ce que tu utilises.
Waw.
Ok, je décode (et je rafistole en même temps):
"je pense que ça n'a rien à voir avec le fait que tu ai dépassé 1 Go de ram, mais plutôt avec la consommation mémoire de ce que tu utilises."
;-)
Frederic Bezies
Th.A.C wrote:
je pense que ca n'a rien à voir avec la taille du giga, mais plutot avec la consommation mémoire de ce que tu utilises.
Waw.
Ok, je décode (et je rafistole en même temps):
"je pense que ça n'a rien à voir avec le fait que tu ai dépassé 1 Go de ram, mais plutôt avec la consommation mémoire de ce que tu utilises."
;-)
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
je pense que ca n'a rien à voir avec la taille du giga, mais plutot
avec la consommation mémoire de ce que tu utilises.
Waw.
Ok, je décode (et je rafistole en même temps):
"je pense que ça n'a rien à voir avec le fait que tu ai dépassé 1 Go de
ram, mais plutôt avec la consommation mémoire de ce que tu utilises."
;-)
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512
Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo
de mémoire physique prise.
je pense que ca n'a rien à voir avec la taille du giga, mais plutot avec la consommation mémoire de ce que tu utilises.
Waw.
Ok, je décode (et je rafistole en même temps):
"je pense que ça n'a rien à voir avec le fait que tu ai dépassé 1 Go de ram, mais plutôt avec la consommation mémoire de ce que tu utilises."
;-)
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Salut,
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512
Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo
de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire
disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment
était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et
comment.
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Frederic Bezies
Salut,
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec
512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à
995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire
disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment
était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et
comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Normal, puisque la mémoire qu'occupait VMware est libérée. Mais au cours du temps cette mémoire libre finit par être occupée, notamment par le cache disque.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Comme je dis, ce n'est pas tant la quantité de swap occupé qui compte mais son activité.
Et maintenant, qu'est-ce que ça donne avec 1,5 Gio ?
Une chose est sûre : plus il y a de RAM, plus le cache disque est efficace en réduisant le nombre d'accès disque et plus le système est réactif.
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec
512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à
995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire
disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment
était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée
et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ
consommé.
Normal, puisque la mémoire qu'occupait VMware est libérée. Mais au cours
du temps cette mémoire libre finit par être occupée, notamment par le
cache disque.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Comme je dis, ce n'est pas tant la quantité de swap occupé qui compte
mais son activité.
Et maintenant, qu'est-ce que ça donne avec 1,5 Gio ?
Une chose est sûre : plus il y a de RAM, plus le cache disque est
efficace en réduisant le nombre d'accès disque et plus le système est
réactif.
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Normal, puisque la mémoire qu'occupait VMware est libérée. Mais au cours du temps cette mémoire libre finit par être occupée, notamment par le cache disque.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Comme je dis, ce n'est pas tant la quantité de swap occupé qui compte mais son activité.
Et maintenant, qu'est-ce que ça donne avec 1,5 Gio ?
Une chose est sûre : plus il y a de RAM, plus le cache disque est efficace en réduisant le nombre d'accès disque et plus le système est réactif.
Frederic Bezies
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Normal, puisque la mémoire qu'occupait VMware est libérée. Mais au cours du temps cette mémoire libre finit par être occupée, notamment par le cache disque.
Ce qui est logique.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Comme je dis, ce n'est pas tant la quantité de swap occupé qui compte mais son activité.
Et maintenant, qu'est-ce que ça donne avec 1,5 Gio ?
Actuellement, avec une compilation de Minefield en cours et une ubuntu gutsy x86_64 dans un vmware server (512 Mo partagés) :
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec
512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à
995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire
disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas
comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était
utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ
consommé.
Normal, puisque la mémoire qu'occupait VMware est libérée. Mais au cours
du temps cette mémoire libre finit par être occupée, notamment par le
cache disque.
Ce qui est logique.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Comme je dis, ce n'est pas tant la quantité de swap occupé qui compte
mais son activité.
Et maintenant, qu'est-ce que ça donne avec 1,5 Gio ?
Actuellement, avec une compilation de Minefield en cours et une ubuntu
gutsy x86_64 dans un vmware server (512 Mo partagés) :
Dans le pire des cas - utilisation d'une machine vmware server avec 512 Mo de ram partagée pour tester la mandriva 2008.0, je montais à 995 Mo de mémoire physique prise.
Avec 1 Gio de RAM ? Dans ce cas Linux utilisait toute la mémoire disponible, ce qui est parfaitement normal. Mais ça ne dit pas comment était utilisée la mémoire, ni quelle quantité de swap était utilisée et comment.
Mais dès que je fermais VMWare, je passais de 995 à 450 Mo environ consommé.
Normal, puisque la mémoire qu'occupait VMware est libérée. Mais au cours du temps cette mémoire libre finit par être occupée, notamment par le cache disque.
Ce qui est logique.
Coté swap ? 30 ou 40 Mo des 2 Go de swap si mes souvenirs sont bons !
Comme je dis, ce n'est pas tant la quantité de swap occupé qui compte mais son activité.
Et maintenant, qu'est-ce que ça donne avec 1,5 Gio ?
Actuellement, avec une compilation de Minefield en cours et une ubuntu gutsy x86_64 dans un vmware server (512 Mo partagés) :
c++ devant manger dans les 50 Mo pour les fichiers en cours de compilation.
On voit que 159 Mo de swap sont occupés, ce qui n'est pas négligeable par rapport aux 402 Mo occupés par le noyau et les processus, alors que ~1 Go est alloué au cache disque. Si j'interprète correctement ces données, cela signifie que l'activité des systèmes de fichiers est si intensive que le noyau juge plus efficace de swapper des applications pour agrandir le cache disque. A moins que ces 159 Mo de swap correspondant en majorité à des processus "dormants" (présents en mémoire mais inactifs).
Actuellement, avec une compilation de Minefield en cours et une ubuntu
gutsy x86_64 dans un vmware server (512 Mo partagés) :
c++ devant manger dans les 50 Mo pour les fichiers en cours de compilation.
On voit que 159 Mo de swap sont occupés, ce qui n'est pas négligeable
par rapport aux 402 Mo occupés par le noyau et les processus, alors que
~1 Go est alloué au cache disque. Si j'interprète correctement ces
données, cela signifie que l'activité des systèmes de fichiers est si
intensive que le noyau juge plus efficace de swapper des applications
pour agrandir le cache disque. A moins que ces 159 Mo de swap
correspondant en majorité à des processus "dormants" (présents en
mémoire mais inactifs).
c++ devant manger dans les 50 Mo pour les fichiers en cours de compilation.
On voit que 159 Mo de swap sont occupés, ce qui n'est pas négligeable par rapport aux 402 Mo occupés par le noyau et les processus, alors que ~1 Go est alloué au cache disque. Si j'interprète correctement ces données, cela signifie que l'activité des systèmes de fichiers est si intensive que le noyau juge plus efficace de swapper des applications pour agrandir le cache disque. A moins que ces 159 Mo de swap correspondant en majorité à des processus "dormants" (présents en mémoire mais inactifs).
Nicolas George
Pascal Hambourg wrote in message <ff4nnk$2sf2$:
Si j'interprète correctement ces données, cela signifie que l'activité des systèmes de fichiers est si intensive que le noyau juge plus efficace de swapper des applications pour agrandir le cache disque. A moins que ces 159 Mo de swap correspondant en majorité à des processus "dormants" (présents en mémoire mais inactifs).
Ça peut aussi être un gros tmpfs. Par exemple ici, j'ai presque 800 Mo de swap utilisés, mais presque 900 Mo dans /tmp (principalement des arbres de compilation de ffmpeg) qui est en tmpfs.
Pascal Hambourg wrote in message <ff4nnk$2sf2$1@biggoron.nerim.net>:
Si j'interprète correctement ces
données, cela signifie que l'activité des systèmes de fichiers est si
intensive que le noyau juge plus efficace de swapper des applications
pour agrandir le cache disque. A moins que ces 159 Mo de swap
correspondant en majorité à des processus "dormants" (présents en
mémoire mais inactifs).
Ça peut aussi être un gros tmpfs. Par exemple ici, j'ai presque 800 Mo de
swap utilisés, mais presque 900 Mo dans /tmp (principalement des arbres de
compilation de ffmpeg) qui est en tmpfs.
Si j'interprète correctement ces données, cela signifie que l'activité des systèmes de fichiers est si intensive que le noyau juge plus efficace de swapper des applications pour agrandir le cache disque. A moins que ces 159 Mo de swap correspondant en majorité à des processus "dormants" (présents en mémoire mais inactifs).
Ça peut aussi être un gros tmpfs. Par exemple ici, j'ai presque 800 Mo de swap utilisés, mais presque 900 Mo dans /tmp (principalement des arbres de compilation de ffmpeg) qui est en tmpfs.