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Steve Jobs prend un congé maladie

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Lionel Mychkine
Victime d'un cancer du pancréas, Steve Jobs avait déjà pris un congé
maladie en janvier 2009, pendant six mois, pour subir une greffe du foie.

Hier, il a annoncé dans une note interne adressée aux employés d'Apple
qu'il prenait un congé pour des raisons de santé, et pour une durée non
précisée.

Ma première réaction n'est pas de prendre en compte les immenses
difficultés que cette maladie va provoquer chez Apple. Ce que je ressens
avant tout, c'est que j'ai du mal à admettre qu'un authentique génie
risque de disparaître.

--
Lionel Mychkine

2 réponses

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stephane.pironneau
Lionel Mychkine a écrit :

Victime d'un cancer du pancréas, Steve Jobs avait déjà pris un congé
maladie en janvier 2009, pendant six mois, pour subir une greffe du foie.

Hier, il a annoncé dans une note interne adressée aux employés d'Apple
qu'il prenait un congé pour des raisons de santé, et pour une durée non
précisée.

Ma première réaction n'est pas de prendre en compte les immenses
difficultés que cette maladie va provoquer chez Apple. Ce que je ressens
avant tout, c'est que j'ai du mal à admettre qu'un authentique génie
risque de disparaître.

--
Lionel Mychkine



Entièrement d'accord avec toi... mais on peut se consoler en se disant
que Jean-Marie HULLOT le créateur d'InterfaceBuilder est toujours
vivant et en France et que son bras droit Bertrand SERLET est toujours
vivant mais plus chez Apple depuis peu.
Bertrand SERLET travaillait chez XEROX avant de venir travailler pour
Jean-Marie HULLOT pour NeXT.
Avadis TEVANIAN était le spécialiste BSD chez NeXT et Apple et lui
aussi a quitté Apple, pour aller dans une boîte plus petite qu'Apple.
Que les passionnés de la pomme se rassure Steve WOZNIAK est toujours
vivant.
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usenet
wrote:

Que les passionnés de la pomme se rassure Steve WOZNIAK est toujours
vivant.



Mouais, Wozniak n'a plus rien fait depuis l'Apple II.


--
Florian
Alle Wahrheit durchläuft drei Stufen. Zuerst wird sie lächerlich
gemacht oder verzerrt. Dann wird sie bekämpft. Und schließlich wird
sie als selbstverständlich angenommen. - Arthur Schopenhauer