Hello,
L'a-t-il fait ?
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1529/Musique/article/detail/1236259/2011/03/15/Steve-Jobs-a-tue-l-industrie-musicale.dhtml
Hello,
L'a-t-il fait ?
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1529/Musique/article/detail/1236259/2011/03/15/Steve-Jobs-a-tue-l-industrie-musicale.dhtml
Hello,
L'a-t-il fait ?
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1529/Musique/article/detail/1236259/2011/03/15/Steve-Jobs-a-tue-l-industrie-musicale.dhtml
vraie raison, c'est la médiocrité de la musique industrielle, et la
concurrence de qualité qu'on trouve un peu partout légalement, librement,
gratuitement et légalement sur Internet.
Bon, et un peu de pédagogie pour M. Ben Jovi: les écouteurs existent
toujours, les pilotes audio ont encore une commande de volume, et l'on tient
sa souris au lieu de la pochette, puisqu'on ferme les yeux ttfaçon c'est
pareil, et pis y'a aussi les listes de lecture, pasque quand y'a que deux
morceaux valables dans un albumn, ben vaut mieux, toi y'en avoir compris?
vraie raison, c'est la médiocrité de la musique industrielle, et la
concurrence de qualité qu'on trouve un peu partout légalement, librement,
gratuitement et légalement sur Internet.
Bon, et un peu de pédagogie pour M. Ben Jovi: les écouteurs existent
toujours, les pilotes audio ont encore une commande de volume, et l'on tient
sa souris au lieu de la pochette, puisqu'on ferme les yeux ttfaçon c'est
pareil, et pis y'a aussi les listes de lecture, pasque quand y'a que deux
morceaux valables dans un albumn, ben vaut mieux, toi y'en avoir compris?
vraie raison, c'est la médiocrité de la musique industrielle, et la
concurrence de qualité qu'on trouve un peu partout légalement, librement,
gratuitement et légalement sur Internet.
Bon, et un peu de pédagogie pour M. Ben Jovi: les écouteurs existent
toujours, les pilotes audio ont encore une commande de volume, et l'on tient
sa souris au lieu de la pochette, puisqu'on ferme les yeux ttfaçon c'est
pareil, et pis y'a aussi les listes de lecture, pasque quand y'a que deux
morceaux valables dans un albumn, ben vaut mieux, toi y'en avoir compris?
J'ai été plutôt dubitatif aux débuts de l'iTMS sur l'achat de musique
dématérialisée : sensation de dépendance et de risque de se "faire
avoir" en cas de changement de système de distribution etc. De fait dans
les rares cas où je croyais avoir "perdu" des titres, le SAV s'est
montré d'une efficacité et d'une courtoisie sans égal. Ils ont bien
compris que c'était la condition essentielle de la mutation vers
l'abandon du support physique (et de leur avance sur la concurrence qui
aura du mal à proposer un service aussi stable dans la durée, il y a eu
des exemples malheureux dans le passé, je crois).
En fait il parle d'où, exactement, Bonjovi ? Il fait quoi ? Il laissera
quelle trace dans l'histoire de la musique ?
J'ai été plutôt dubitatif aux débuts de l'iTMS sur l'achat de musique
dématérialisée : sensation de dépendance et de risque de se "faire
avoir" en cas de changement de système de distribution etc. De fait dans
les rares cas où je croyais avoir "perdu" des titres, le SAV s'est
montré d'une efficacité et d'une courtoisie sans égal. Ils ont bien
compris que c'était la condition essentielle de la mutation vers
l'abandon du support physique (et de leur avance sur la concurrence qui
aura du mal à proposer un service aussi stable dans la durée, il y a eu
des exemples malheureux dans le passé, je crois).
En fait il parle d'où, exactement, Bonjovi ? Il fait quoi ? Il laissera
quelle trace dans l'histoire de la musique ?
J'ai été plutôt dubitatif aux débuts de l'iTMS sur l'achat de musique
dématérialisée : sensation de dépendance et de risque de se "faire
avoir" en cas de changement de système de distribution etc. De fait dans
les rares cas où je croyais avoir "perdu" des titres, le SAV s'est
montré d'une efficacité et d'une courtoisie sans égal. Ils ont bien
compris que c'était la condition essentielle de la mutation vers
l'abandon du support physique (et de leur avance sur la concurrence qui
aura du mal à proposer un service aussi stable dans la durée, il y a eu
des exemples malheureux dans le passé, je crois).
En fait il parle d'où, exactement, Bonjovi ? Il fait quoi ? Il laissera
quelle trace dans l'histoire de la musique ?
L'autre condition, c'est le prix. La distribution est ce qui coûte le plus
cher dans le prix d'un CD en magasin, tandis que que la diffusion par
Internet a un coût dérisoire.
L'autre condition, c'est le prix. La distribution est ce qui coûte le plus
cher dans le prix d'un CD en magasin, tandis que que la diffusion par
Internet a un coût dérisoire.
L'autre condition, c'est le prix. La distribution est ce qui coûte le plus
cher dans le prix d'un CD en magasin, tandis que que la diffusion par
Internet a un coût dérisoire.
Cl.Massé wrote:L'autre condition, c'est le prix. La distribution est ce qui coûte le
plus
cher dans le prix d'un CD en magasin, tandis que que la diffusion par
Internet a un coût dérisoire.
Sources ?
Je n'ai pas d'informations contradictoires *précises* à te fournir mais
déjà la notion de dérisoire peut largement varier d'une personne à
l'autre (c'est quand même très vague pour une affirmation péremptoire !)
et, justement, *rien* ne permet de savoir exactement ce que peut coûter
la mise en place d'un serveur (et d'un catalogue et d'une bande
passante, et d'une fiabilité, et d'une sécurisation...) du type de
l'iTunes Store (ou d'AmazonMP3 si tu préfères, ou de la FNAC qui
pratiquent quasi les mêmes tarifs).
Tu ne peux absolument pas extrapoler la mise à disposition que tu
pourrais faire de 10 titres sur ton site perso hébergé, pourquoi pas,
chez toi, à destination de dix personnes par jour, ...à une structure du
type de l'iTS qui a passé le dix-milliardième téléchargement de musique
l'an dernier et oscille entre 60 et 70 % de parts de marché.
<http://fr.wikipedia.org/wiki/ITunes_Store>
Donc, sauf à répondre à ma question "sources ?", tu te contentes
d'affirmer quelque chose dont tu n'as aucune preuve, au lieu de
l'assortir d'un "à mon avis" prudent qui ne vaudrait qu'au niveau de
fiabilité que chaque lecteur peut attribuer à tes propos...
Note que le problème n'est pas que tu te foures ou pas le doigt dans
l'oeil jusqu'au trognon. Il est simplement que ce mode de fonctionnement
(affirmation péremptoire, détournement de sens, approximation, fausse
analogie...) est exactement celui de tous les obscurantismes et
révisionnismes, qui ne le font jamais pour des nèfles. Charmante
compagnie dont j'espère que tu ne la revendiques pas. Quels sont les
tiens (d'objectifs) à agir ainsi ?
Cl.Massé <contact@nospam.com> wrote:
L'autre condition, c'est le prix. La distribution est ce qui coûte le
plus
cher dans le prix d'un CD en magasin, tandis que que la diffusion par
Internet a un coût dérisoire.
Sources ?
Je n'ai pas d'informations contradictoires *précises* à te fournir mais
déjà la notion de dérisoire peut largement varier d'une personne à
l'autre (c'est quand même très vague pour une affirmation péremptoire !)
et, justement, *rien* ne permet de savoir exactement ce que peut coûter
la mise en place d'un serveur (et d'un catalogue et d'une bande
passante, et d'une fiabilité, et d'une sécurisation...) du type de
l'iTunes Store (ou d'AmazonMP3 si tu préfères, ou de la FNAC qui
pratiquent quasi les mêmes tarifs).
Tu ne peux absolument pas extrapoler la mise à disposition que tu
pourrais faire de 10 titres sur ton site perso hébergé, pourquoi pas,
chez toi, à destination de dix personnes par jour, ...à une structure du
type de l'iTS qui a passé le dix-milliardième téléchargement de musique
l'an dernier et oscille entre 60 et 70 % de parts de marché.
<http://fr.wikipedia.org/wiki/ITunes_Store>
Donc, sauf à répondre à ma question "sources ?", tu te contentes
d'affirmer quelque chose dont tu n'as aucune preuve, au lieu de
l'assortir d'un "à mon avis" prudent qui ne vaudrait qu'au niveau de
fiabilité que chaque lecteur peut attribuer à tes propos...
Note que le problème n'est pas que tu te foures ou pas le doigt dans
l'oeil jusqu'au trognon. Il est simplement que ce mode de fonctionnement
(affirmation péremptoire, détournement de sens, approximation, fausse
analogie...) est exactement celui de tous les obscurantismes et
révisionnismes, qui ne le font jamais pour des nèfles. Charmante
compagnie dont j'espère que tu ne la revendiques pas. Quels sont les
tiens (d'objectifs) à agir ainsi ?
Cl.Massé wrote:L'autre condition, c'est le prix. La distribution est ce qui coûte le
plus
cher dans le prix d'un CD en magasin, tandis que que la diffusion par
Internet a un coût dérisoire.
Sources ?
Je n'ai pas d'informations contradictoires *précises* à te fournir mais
déjà la notion de dérisoire peut largement varier d'une personne à
l'autre (c'est quand même très vague pour une affirmation péremptoire !)
et, justement, *rien* ne permet de savoir exactement ce que peut coûter
la mise en place d'un serveur (et d'un catalogue et d'une bande
passante, et d'une fiabilité, et d'une sécurisation...) du type de
l'iTunes Store (ou d'AmazonMP3 si tu préfères, ou de la FNAC qui
pratiquent quasi les mêmes tarifs).
Tu ne peux absolument pas extrapoler la mise à disposition que tu
pourrais faire de 10 titres sur ton site perso hébergé, pourquoi pas,
chez toi, à destination de dix personnes par jour, ...à une structure du
type de l'iTS qui a passé le dix-milliardième téléchargement de musique
l'an dernier et oscille entre 60 et 70 % de parts de marché.
<http://fr.wikipedia.org/wiki/ITunes_Store>
Donc, sauf à répondre à ma question "sources ?", tu te contentes
d'affirmer quelque chose dont tu n'as aucune preuve, au lieu de
l'assortir d'un "à mon avis" prudent qui ne vaudrait qu'au niveau de
fiabilité que chaque lecteur peut attribuer à tes propos...
Note que le problème n'est pas que tu te foures ou pas le doigt dans
l'oeil jusqu'au trognon. Il est simplement que ce mode de fonctionnement
(affirmation péremptoire, détournement de sens, approximation, fausse
analogie...) est exactement celui de tous les obscurantismes et
révisionnismes, qui ne le font jamais pour des nèfles. Charmante
compagnie dont j'espère que tu ne la revendiques pas. Quels sont les
tiens (d'objectifs) à agir ainsi ?
Tout le monde sait ça sauf toi
Tout le monde sait ça sauf toi
Tout le monde sait ça sauf toi
Cl.Massé wrote:Tout le monde sait ça sauf toi
J'aime bien quand on appelle "tout le monde" à la rescousse mais que
personne, jusqu'à plus ample informé, ne vient soutenir ton point de
vue...
Je n'ai pas à apporter la preuve à une non-réponse à une question. Mais
je persiste : tu "extrapoles" à partir du prix d'hébergeurs privés dont
les prestations sont sans commune mesure avec celles de serveurs comme
l'iTS.
Je serais d'ailleurs curieux de connaître leur prix pour la prise
en charge du quart du pouillème d'un hébergement de type iTS ! Cette
"extrapolation" n'a en fait aucun sens.
Et la question est : in fine, quel est ton mobile ? Que cherches-tu à
"démontrer" (sans le démontrer vraiment donc : donc quel est le sens de
ta propagande ?).
Dans ta conclusion "tous ceux qui achètent en ligne se font truander",
n'y a-t-il pas comme un mépris de ces cons d'acheteurs (dix milliards,
unitairement parlant) ? Dont tu serais différent si pas supérieur ?
Cl.Massé <contact@nospam.com> wrote:
Tout le monde sait ça sauf toi
J'aime bien quand on appelle "tout le monde" à la rescousse mais que
personne, jusqu'à plus ample informé, ne vient soutenir ton point de
vue...
Je n'ai pas à apporter la preuve à une non-réponse à une question. Mais
je persiste : tu "extrapoles" à partir du prix d'hébergeurs privés dont
les prestations sont sans commune mesure avec celles de serveurs comme
l'iTS.
Je serais d'ailleurs curieux de connaître leur prix pour la prise
en charge du quart du pouillème d'un hébergement de type iTS ! Cette
"extrapolation" n'a en fait aucun sens.
Et la question est : in fine, quel est ton mobile ? Que cherches-tu à
"démontrer" (sans le démontrer vraiment donc : donc quel est le sens de
ta propagande ?).
Dans ta conclusion "tous ceux qui achètent en ligne se font truander",
n'y a-t-il pas comme un mépris de ces cons d'acheteurs (dix milliards,
unitairement parlant) ? Dont tu serais différent si pas supérieur ?
Cl.Massé wrote:Tout le monde sait ça sauf toi
J'aime bien quand on appelle "tout le monde" à la rescousse mais que
personne, jusqu'à plus ample informé, ne vient soutenir ton point de
vue...
Je n'ai pas à apporter la preuve à une non-réponse à une question. Mais
je persiste : tu "extrapoles" à partir du prix d'hébergeurs privés dont
les prestations sont sans commune mesure avec celles de serveurs comme
l'iTS.
Je serais d'ailleurs curieux de connaître leur prix pour la prise
en charge du quart du pouillème d'un hébergement de type iTS ! Cette
"extrapolation" n'a en fait aucun sens.
Et la question est : in fine, quel est ton mobile ? Que cherches-tu à
"démontrer" (sans le démontrer vraiment donc : donc quel est le sens de
ta propagande ?).
Dans ta conclusion "tous ceux qui achètent en ligne se font truander",
n'y a-t-il pas comme un mépris de ces cons d'acheteurs (dix milliards,
unitairement parlant) ? Dont tu serais différent si pas supérieur ?
f.c.m n'est pas destiné à faire la pub du SAV d'une
entreprise privée, respecte les participants qui y viennent bénévolement
pour partager et échanger
f.c.m n'est pas destiné à faire la pub du SAV d'une
entreprise privée, respecte les participants qui y viennent bénévolement
pour partager et échanger
f.c.m n'est pas destiné à faire la pub du SAV d'une
entreprise privée, respecte les participants qui y viennent bénévolement
pour partager et échanger
Concernant ta mise en cause j'ai un élément de réponse qui n'est pas
très pertinent mais qui correspond à ma réaction vis-à-vis de toi. Il y
a maintenant quelques dizaines d'années, nous avons tenté avec des
copains de monter une boîte d'édition de musique. On s'y est cassé les
dents et on y a perdu du fric (pas doués ?). Ce sujet n'est pas en
charte mais pour résumer la conclusion qu'on en a tiré : le métier
d'éditeur est bien plus complexe qu'on ne l'imagine au premier abord,
les frais fixes sont importants, les bénéfices finalement dérisoires
(rien que le nombre d'exemplaire qu'il faut effectivement *vendre* pour
simplement amortir les coûts de promotion et des exemplaires gratuits
donne le vertige), etc. La raison principale pour laquelle on s'est
plantés tient à un effet de seuil (et donc in fine de tréso initiale) :
en dessous d'un certain "catalogue", on n'est pas viable.
Il ne s'agit absolument pas de sauver un business qui n'existe plus
depuis longtemps ; il s'agit de démentir, sur la base d'une expérience
certes parcellaire, de dimension non pertinente, ancienne, peut-être non
généralisable mais RÉELLE, les lieux communs que tu sors, qui sont bien
plus "éléments de langage" que tu ne le crois.
Tu justifies le téléchargement illégal à l'aune du prix des CDs et du
téléchargement légal. Tu oublies *volontairement* un certain nombre de
vérités :
- d'une manière générale il ne s'agit pas d'un besoin vital qui pourrait
justifier une "action directe" au sens libertaire du terme. Il s'agit
d'un choix, comme le fait de voler (ou pas) n'importe quel autre bien de
consommation, encore plus si ça semble (ou si c'est) facile.
- le téléchargement légal n'est pas obligatoirement payant ; il existe
des solutions gratuites : libres de droits, copyleft etc. souvent
beaucoup plus intéressants que la merde ambiante. De ce point de vue,
télécharger illégalement des merdes sans nom au motif qu'on les veut
parce qu'elles sont à la mode et passent à la télé (voire parce que ce
sont des merdes !) est absolument sans excuse.
- les médiathèques *gratuites* présentes dans la plupart des villes même
de taille moyenne ou petite, offrent au prêt des catalogues musicaux
très importants (incluant les merdes à la mode !) et ôtent, s'il en est
besoin, encore plus de justification au piratage en ligne.
Qu'on fasse d'ailleurs les choix qu'on veut en termes de piratage m'en
touche une sans faire bouger l'autre. C'est affaire strictement
personnelle. Par contre qu'on essaie d'y donner des apparences de
légitimité comme tu le fais me force effectivement à réagir.
Concernant ta mise en cause j'ai un élément de réponse qui n'est pas
très pertinent mais qui correspond à ma réaction vis-à-vis de toi. Il y
a maintenant quelques dizaines d'années, nous avons tenté avec des
copains de monter une boîte d'édition de musique. On s'y est cassé les
dents et on y a perdu du fric (pas doués ?). Ce sujet n'est pas en
charte mais pour résumer la conclusion qu'on en a tiré : le métier
d'éditeur est bien plus complexe qu'on ne l'imagine au premier abord,
les frais fixes sont importants, les bénéfices finalement dérisoires
(rien que le nombre d'exemplaire qu'il faut effectivement *vendre* pour
simplement amortir les coûts de promotion et des exemplaires gratuits
donne le vertige), etc. La raison principale pour laquelle on s'est
plantés tient à un effet de seuil (et donc in fine de tréso initiale) :
en dessous d'un certain "catalogue", on n'est pas viable.
Il ne s'agit absolument pas de sauver un business qui n'existe plus
depuis longtemps ; il s'agit de démentir, sur la base d'une expérience
certes parcellaire, de dimension non pertinente, ancienne, peut-être non
généralisable mais RÉELLE, les lieux communs que tu sors, qui sont bien
plus "éléments de langage" que tu ne le crois.
Tu justifies le téléchargement illégal à l'aune du prix des CDs et du
téléchargement légal. Tu oublies *volontairement* un certain nombre de
vérités :
- d'une manière générale il ne s'agit pas d'un besoin vital qui pourrait
justifier une "action directe" au sens libertaire du terme. Il s'agit
d'un choix, comme le fait de voler (ou pas) n'importe quel autre bien de
consommation, encore plus si ça semble (ou si c'est) facile.
- le téléchargement légal n'est pas obligatoirement payant ; il existe
des solutions gratuites : libres de droits, copyleft etc. souvent
beaucoup plus intéressants que la merde ambiante. De ce point de vue,
télécharger illégalement des merdes sans nom au motif qu'on les veut
parce qu'elles sont à la mode et passent à la télé (voire parce que ce
sont des merdes !) est absolument sans excuse.
- les médiathèques *gratuites* présentes dans la plupart des villes même
de taille moyenne ou petite, offrent au prêt des catalogues musicaux
très importants (incluant les merdes à la mode !) et ôtent, s'il en est
besoin, encore plus de justification au piratage en ligne.
Qu'on fasse d'ailleurs les choix qu'on veut en termes de piratage m'en
touche une sans faire bouger l'autre. C'est affaire strictement
personnelle. Par contre qu'on essaie d'y donner des apparences de
légitimité comme tu le fais me force effectivement à réagir.
Concernant ta mise en cause j'ai un élément de réponse qui n'est pas
très pertinent mais qui correspond à ma réaction vis-à-vis de toi. Il y
a maintenant quelques dizaines d'années, nous avons tenté avec des
copains de monter une boîte d'édition de musique. On s'y est cassé les
dents et on y a perdu du fric (pas doués ?). Ce sujet n'est pas en
charte mais pour résumer la conclusion qu'on en a tiré : le métier
d'éditeur est bien plus complexe qu'on ne l'imagine au premier abord,
les frais fixes sont importants, les bénéfices finalement dérisoires
(rien que le nombre d'exemplaire qu'il faut effectivement *vendre* pour
simplement amortir les coûts de promotion et des exemplaires gratuits
donne le vertige), etc. La raison principale pour laquelle on s'est
plantés tient à un effet de seuil (et donc in fine de tréso initiale) :
en dessous d'un certain "catalogue", on n'est pas viable.
Il ne s'agit absolument pas de sauver un business qui n'existe plus
depuis longtemps ; il s'agit de démentir, sur la base d'une expérience
certes parcellaire, de dimension non pertinente, ancienne, peut-être non
généralisable mais RÉELLE, les lieux communs que tu sors, qui sont bien
plus "éléments de langage" que tu ne le crois.
Tu justifies le téléchargement illégal à l'aune du prix des CDs et du
téléchargement légal. Tu oublies *volontairement* un certain nombre de
vérités :
- d'une manière générale il ne s'agit pas d'un besoin vital qui pourrait
justifier une "action directe" au sens libertaire du terme. Il s'agit
d'un choix, comme le fait de voler (ou pas) n'importe quel autre bien de
consommation, encore plus si ça semble (ou si c'est) facile.
- le téléchargement légal n'est pas obligatoirement payant ; il existe
des solutions gratuites : libres de droits, copyleft etc. souvent
beaucoup plus intéressants que la merde ambiante. De ce point de vue,
télécharger illégalement des merdes sans nom au motif qu'on les veut
parce qu'elles sont à la mode et passent à la télé (voire parce que ce
sont des merdes !) est absolument sans excuse.
- les médiathèques *gratuites* présentes dans la plupart des villes même
de taille moyenne ou petite, offrent au prêt des catalogues musicaux
très importants (incluant les merdes à la mode !) et ôtent, s'il en est
besoin, encore plus de justification au piratage en ligne.
Qu'on fasse d'ailleurs les choix qu'on veut en termes de piratage m'en
touche une sans faire bouger l'autre. C'est affaire strictement
personnelle. Par contre qu'on essaie d'y donner des apparences de
légitimité comme tu le fais me force effectivement à réagir.
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de
news:ilqckc$ia8$Hello,
L'a-t-il fait ?
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1529/Musique/article/detail/1236259/2011/03/15/Steve-Jobs-a-tue-l-industrie-musicale.dhtml
Mais non, seulement que Bon Jovi est un nul qui doit sa notoriété aux
fortunes investies dans sa promotion. Les études sérieuses montre
que le téléchargement illégal n'a rien à voir avec la baisse de vente
de CD. La vraie raison, c'est la médiocrité de la musique
industrielle, et la concurrence de qualité qu'on trouve un peu
partout légalement, librement, gratuitement et légalement sur
Internet. Evidemment, si l'on choisit seulement sur la base de la
pochette, beaucoup de boutonneux ont dû tomber sur du Ben Jovi et
être terriblement déçus, alors maintenant il écoutent sur Internet
avant de dépenser des sous.
Bon, et un peu de pédagogie pour M. Ben Jovi: les écouteurs existent
toujours, les pilotes audio ont encore une commande de volume, et
l'on tient sa souris au lieu de la pochette, puisqu'on ferme les yeux
ttfaçon c'est pareil, et pis y'a aussi les listes de lecture, pasque
quand y'a que deux morceaux valables dans un albumn, ben vaut mieux,
toi y'en avoir compris?
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@invalid.com> a écrit dans le message de
news:ilqckc$ia8$1@speranza.aioe.org...
Hello,
L'a-t-il fait ?
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1529/Musique/article/detail/1236259/2011/03/15/Steve-Jobs-a-tue-l-industrie-musicale.dhtml
Mais non, seulement que Bon Jovi est un nul qui doit sa notoriété aux
fortunes investies dans sa promotion. Les études sérieuses montre
que le téléchargement illégal n'a rien à voir avec la baisse de vente
de CD. La vraie raison, c'est la médiocrité de la musique
industrielle, et la concurrence de qualité qu'on trouve un peu
partout légalement, librement, gratuitement et légalement sur
Internet. Evidemment, si l'on choisit seulement sur la base de la
pochette, beaucoup de boutonneux ont dû tomber sur du Ben Jovi et
être terriblement déçus, alors maintenant il écoutent sur Internet
avant de dépenser des sous.
Bon, et un peu de pédagogie pour M. Ben Jovi: les écouteurs existent
toujours, les pilotes audio ont encore une commande de volume, et
l'on tient sa souris au lieu de la pochette, puisqu'on ferme les yeux
ttfaçon c'est pareil, et pis y'a aussi les listes de lecture, pasque
quand y'a que deux morceaux valables dans un albumn, ben vaut mieux,
toi y'en avoir compris?
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de
news:ilqckc$ia8$Hello,
L'a-t-il fait ?
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1529/Musique/article/detail/1236259/2011/03/15/Steve-Jobs-a-tue-l-industrie-musicale.dhtml
Mais non, seulement que Bon Jovi est un nul qui doit sa notoriété aux
fortunes investies dans sa promotion. Les études sérieuses montre
que le téléchargement illégal n'a rien à voir avec la baisse de vente
de CD. La vraie raison, c'est la médiocrité de la musique
industrielle, et la concurrence de qualité qu'on trouve un peu
partout légalement, librement, gratuitement et légalement sur
Internet. Evidemment, si l'on choisit seulement sur la base de la
pochette, beaucoup de boutonneux ont dû tomber sur du Ben Jovi et
être terriblement déçus, alors maintenant il écoutent sur Internet
avant de dépenser des sous.
Bon, et un peu de pédagogie pour M. Ben Jovi: les écouteurs existent
toujours, les pilotes audio ont encore une commande de volume, et
l'on tient sa souris au lieu de la pochette, puisqu'on ferme les yeux
ttfaçon c'est pareil, et pis y'a aussi les listes de lecture, pasque
quand y'a que deux morceaux valables dans un albumn, ben vaut mieux,
toi y'en avoir compris?