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Le succession en union libre

30 réponses
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Laurent CAMPEDEL
Bonjour

D'abord l'exposé :

Cas classique : 2 personnes vivant en union libres financent avec un prêt contracté en commun (prélevé sur un compte commun) l'achat
d'un terrain puis la construction d'une maison. Ces biens sont donc en indivision entre ces 2 personnes.

Si l'un de 2 meurt, l'autre reste propriétaire de la moitié de ces biens, et les héritiers du défunt deviennent propriétaires de
l'autre moitié. Il y a donc indivision entre le survivant et les héritiers.

Ensuite les questions :

Je lis partout :
"Si un des héritiers veut sortir de l'indivision, les biens doivent donc être vendus afin de lui permettre cette sortie."

Par exemple, on trouve cette phrase sur le site des notaires de France
http://www.notaires.fr/notaires/notaires.nsf/V_TC_PUB/SMSD-5UBGUH :
"Chaque propriétaire (appelé indivisaire) peut, à tout moment, imposer à l'autre de vendre le bien pour en partager le prix."

Pourquoi ne lis-je pas :
"Le survivant sera obligé de racheter la part de ceux souhaitant sortir de l'indivision s'il souhaite rester dans les lieux "
?

Y a-t-il obligation à vendre entièrement le bien et faire ainsi cesser totalement l'indivision ?
Est-il impossible que seulement 1 des indivisionnaires parte ?
1 indivisionnaire peut-il alors racheter la part vendue ?
La part peut-elle être rachetée par plusieurs indivisionnaire ?

Merci.

--
Laurent CAMPEDEL

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10 réponses

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Castor Bondissant
"Laurent CAMPEDEL" wrote in message news:432ea939$0$5370$
Bonjour



Bonjour


D'abord l'exposé :

Cas classique : 2 personnes vivant en union libres financent avec un prêt contracté en commun (prélevé sur un compte commun) l'achat
d'un terrain puis la construction d'une maison. Ces biens sont donc en indivision entre ces 2 personnes.

Si l'un de 2 meurt, l'autre reste propriétaire de la moitié de ces biens, et les héritiers du défunt deviennent propriétaires de
l'autre moitié. Il y a donc indivision entre le survivant et les héritiers.

Ensuite les questions :

Je lis partout :
"Si un des héritiers veut sortir de l'indivision, les biens doivent donc être vendus afin de lui permettre cette sortie."

Par exemple, on trouve cette phrase sur le site des notaires de France
http://www.notaires.fr/notaires/notaires.nsf/V_TC_PUB/SMSD-5UBGUH :
"Chaque propriétaire (appelé indivisaire) peut, à tout moment, imposer à l'autre de vendre le bien pour en partager le prix."

Pourquoi ne lis-je pas :
"Le survivant sera obligé de racheter la part de ceux souhaitant sortir de l'indivision s'il souhaite rester dans les lieux "
?

Y a-t-il obligation à vendre entièrement le bien et faire ainsi cesser totalement l'indivision ?



non

Est-il impossible que seulement 1 des indivisionnaires parte ?



oui

1 indivisionnaire peut-il alors racheter la part vendue ?



oui

La part peut-elle être rachetée par plusieurs indivisionnaire ?



oui


Merci.

--
Laurent CAMPEDEL

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svbeev
"Laurent CAMPEDEL" a écrit dans le message de
news: 432ea939$0$5370$
Bonjour

D'abord l'exposé :

Cas classique : 2 personnes vivant en union libres financent avec un prêt
contracté en commun (prélevé sur un compte commun) l'achat d'un terrain
puis la construction d'une maison. Ces biens sont donc en indivision entre
ces 2 personnes.

Si l'un de 2 meurt, l'autre reste propriétaire de la moitié de ces biens,
et les héritiers du défunt deviennent propriétaires de l'autre moitié. Il
y a donc indivision entre le survivant et les héritiers.

Ensuite les questions :

Je lis partout :
"Si un des héritiers veut sortir de l'indivision, les biens doivent donc
être vendus afin de lui permettre cette sortie."

Par exemple, on trouve cette phrase sur le site des notaires de France
http://www.notaires.fr/notaires/notaires.nsf/V_TC_PUB/SMSD-5UBGUH :
"Chaque propriétaire (appelé indivisaire) peut, à tout moment, imposer à
l'autre de vendre le bien pour en partager le prix."



Formuler comma çà il s'agit effectivement d'un raccourci trés approximatif
qui ne fait pas dire aux textes ce qu'ils disent.

L'article 815 du Code Civil prévoir simplement que nul ne peut être
contraint à demeuré dans l'indivision.

Il faut donc, si l'un des coindivisaires le souhaite lui permette de sortir
de l'indivision. Mais il existe pluiseurs façon pour cela :

- le partage en nature si celui-ci est possible
- le rachat par un ou plusieurs coindivisaires de la part indivise de celui
qui veut sortir (le seul problème subsistant alors étant celui de
l'évaluation de la part indivise qui peut engendrer un conflit)
- La vente de la totalité du bien et le partage du prix de vente

> Pourquoi ne lis-je pas :
"Le survivant sera obligé de racheter la part de ceux souhaitant sortir de
l'indivision s'il souhaite rester dans les lieux "
?



Ce rachat est possible mais pourquoi voudriez vous qu'il soit obligatoire ??
Le coindivisaire survivant n' a pas forcément les moyens de racheter cette
part.

Y a-t-il obligation à vendre entièrement le bien et faire ainsi cesser
totalement l'indivision ?



Non, il n'y a lieu de faire cesser l'indivision qu'à l'égard de ceux qui ne
veulent pas y rester.

Est-il impossible que seulement 1 des indivisionnaires parte ?



Oui

1 indivisionnaire peut-il alors racheter la part vendue ?


Oui
La part peut-elle être rachetée par plusieurs indivisionnaire ?


Oui

Ce n'est qu'en cas de blocage de la situation que sur saisine de l'un des
coindivisaires le TGI peut, à défaut de vente amiable, ordonner la vente aux
enchères du bien afin que le prix en soit partagé.

Merci.



You're welcom.
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Laurent CAMPEDEL
"svbeev" a écrit dans le message de news: 432fcf3a$0$5379$
> Pourquoi ne lis-je pas :
"Le survivant sera obligé de racheter la part de ceux souhaitant sortir de l'indivision s'il souhaite rester dans les lieux "
?



Ce rachat est possible mais pourquoi voudriez vous qu'il soit obligatoire ??




"s'il souhaite rester dans le lieux"

Le contexte est ici l'avenir de la maison familiale et la peur que les enfants puissent évincer sans autre forme de procès le parent
survivant. Et cette peur est infondée, du moins de la manière aussi expéditive que le suggère la formulation que l'on trouve
habituellement, et comme le montre les réponses positives que vous apportez ensuite à mes questions.


Le coindivisaire survivant n' a pas forcément les moyens de racheter cette part.




Certe, mais ceci est un autre élément !
Et surtout un élément contre lequel on peut apporter des solutions (assurance vie).

Au lieu de dire au gens : "les enfants pourront mettre leur mère à la rue", on devrait leur dire "si vous faites en sorte que la
mère puisse racheter à l'enfant ingrat sa part d'héritage, alors elle pourra rester dans la maison familliale". En clair, il y a
d'autre solution que le mariage pour prémunir son conjoint de ce problème !


Ce n'est qu'en cas de blocage de la situation que sur saisine de l'un des coindivisaires le TGI peut, à défaut de vente amiable,
ordonner la vente aux enchères du bien afin que le prix en soit partagé.



Et dans ce cas, celui souhaitant la conserver doit être en mesure de la racheter. Pour cela, il disposera de la moitié du prix de la
vente, et d'un complément pour l'autre moitié sous forme d'assurance vie.

Je ne dirait pas que cela est une solution simple, mais elle a surtout rien d'impossible.

Et aussi, cela s'applique à la simple maison que nous construisons tout un chacun et non au chateau, bien de famille depuis des
générations, où à la maisonnette de Saint-tropez, qui vaut des millions de par son emplacement.

--
Laurent CAMPEDEL

(rajouter un l devant l'adresse pour me répondre)




Merci.



You're welcom.




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svbeev
"Laurent CAMPEDEL" a écrit dans le message de
news: 432fd6d9$0$983$
"svbeev" a écrit dans le message de news:
432fcf3a$0$5379$
> Pourquoi ne lis-je pas :
"Le survivant sera obligé de racheter la part de ceux souhaitant sortir
de l'indivision s'il souhaite rester dans les lieux "
?



Ce rachat est possible mais pourquoi voudriez vous qu'il soit obligatoire
??




"s'il souhaite rester dans le lieux"



Donc il suffit bien qu'il soit possible, ce qui est le cas.


Le contexte est ici l'avenir de la maison familiale et la peur que les
enfants puissent évincer sans autre forme de procès le parent survivant.
Et cette peur est infondée, du moins de la manière aussi expéditive que le
suggère la formulation que l'on trouve habituellement, et comme le montre
les réponses positives que vous apportez ensuite à mes questions.



Je comprends bien et on en rencontre cette situation dans un grand nombre
d'indivisions successorales (même entre gens mariés et c'est alors tout
l'intérêts des libéralités entre époux)



Le coindivisaire survivant n' a pas forcément les moyens de racheter
cette part.




Certe, mais ceci est un autre élément !



Il y a un lien évident entre les deux. Comment régler vous le problème si
la loi dit que le condindivisiaire est "obligé" de racheter la part indivise
?

Quid s'il ne veut pas .
Quid s'il ne peut pas.

Dés lors que vous trouvez une réponse à ces deux objections ce que nous ne
sommes plus dans une *obligation* mais bien dans *une faculté* telle que la
loi la prévoit aujourd'hui.

Et surtout un élément contre lequel on peut apporter des solutions
(assurance vie).



Tout le monde n'a pas les moyens de cotiser sur ce type de produits.

Au lieu de dire au gens : "les enfants pourront mettre leur mère à la
rue", on devrait leur dire "si vous faites en sorte que la mère puisse
racheter à l'enfant ingrat sa part d'héritage, alors elle pourra rester
dans la maison familliale". En clair, il y a d'autre solution que le
mariage pour prémunir son conjoint de ce problème !



Oui mais l'obligation que vous appelez de vos voeux de façon assez étrange à
mes yeux n'est pas de nature à régler ces questions.


Ce n'est qu'en cas de blocage de la situation que sur saisine de l'un des
coindivisaires le TGI peut, à défaut de vente amiable, ordonner la vente
aux enchères du bien afin que le prix en soit partagé.



Et dans ce cas, celui souhaitant la conserver doit être en mesure de la
racheter. Pour cela, il disposera de la moitié du prix de la vente, et
d'un complément pour l'autre moitié sous forme d'assurance vie.

Je ne dirait pas que cela est une solution simple, mais elle a surtout
rien d'impossible.

Et aussi, cela s'applique à la simple maison que nous construisons tout un
chacun et non au chateau, bien de famille depuis des générations, où à la
maisonnette de Saint-tropez, qui vaut des millions de par son emplacement.



--
Laurent CAMPEDEL

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Merci.



You're welcom.







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mlz
Le Tue, 20 Sep 2005 11:47:48 +0200, svbeev a écrit :






Il y a un lien évident entre les deux. Comment régler vous le problème
si
la loi dit que le condindivisiaire est "obligé" de racheter la part
indivise ?

Quid s'il ne veut pas .
Quid s'il ne peut pas.




Je pense que ce que Laurent voulais dire, c'etait plutot si le conjoint
survivant veut et peut acheter, est ce que l'indivisionnaire sortant doit
lui vendre, ou peut-il le vendre a qui il veut. En gros est-ce que le
conjoint survivant est prioritaire s'il souhaite acheter ?
C'est en tout cas ce que j'en ai compris.
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Laurent CAMPEDEL
"svbeev" a écrit dans le message de news: 432fdac5$0$27440$

"s'il souhaite rester dans le lieux"



Donc il suffit bien qu'il soit possible, ce qui est le cas.



Et les formulations trop fréquemment rencontrées, dont celle que je cite, disent allégrement le contraire.

Pas normal, non ?

Certe, mais ceci est un autre élément !



Il y a un lien évident entre les deux.



"Autre élément" ne signifie pas "abscence de lien"...
Entre ne pas avoir les moyens, et ne pas avoir le droit, ce n'est pas du tout la même chose pour moi.
Et pour vous aussi je suppose :-)


Comment régler vous le problème si la loi dit que le condindivisiaire est "obligé" de racheter la part indivise ?

Quid s'il ne veut pas .
Quid s'il ne peut pas.

Dés lors que vous trouvez une réponse à ces deux objections ce que nous ne sommes plus dans une *obligation* mais bien dans *une
faculté* telle que la loi la prévoit aujourd'hui.





Je suis entièrement d'accord.
Il ne faut pas que la loi institue cette obligation.
Mais il ne faut pas lui faire dire le contraire non plus !
Maintenant que je la connais (et je soupçonnais tout de même qu'elle fut ainsi), je pourrais dire que la loi n'impose ni de vendre
ni d'acheter, et c'est pour moi très bien comme ça.


Et surtout un élément contre lequel on peut apporter des solutions (assurance vie).



Tout le monde n'a pas les moyens de cotiser sur ce type de produits.



J'aurais du laisser ma première prose au lieu de corriger....
c'était : "on peut tenter d'apporter".

D'un autre coté, une assurance vie couvrant 75 000 euros me coute moins de 150 euros par an. Ce n'est tout de même pas une ruine,
même si c'est déjà trop pour certaines bourses. Bien sur la cotisation augmentera avec mon age, surtout au-delà de 55ans, mais
j'aurais alors fini de rembourser le prêt...



Au lieu de dire au gens : "les enfants pourront mettre leur mère à la rue", on devrait leur dire "si vous faites en sorte que la
mère puisse racheter à l'enfant ingrat sa part d'héritage, alors elle pourra rester dans la maison familliale". En clair, il y a
d'autre solution que le mariage pour prémunir son conjoint de ce problème !



Oui mais l'obligation
que vous appelez de vos voeux de façon assez étrange à mes yeux n'est pas de nature à régler ces questions.




Là, je ne comprend pas.
Je ne parle pas d'obligation, mais de possibilité : "elle pourra rester".

C'est pour moi évident que, comme je le disais par ailleurs, il y a aussi le constat suivant : quelle part d'envie y aura-t-il à
vouloir rester dans une maison qui a vu une vie de famille
gachée par le décès du conjoint, puis le revirement ingrat des enfants ? Pour ma part, je crois que j'aurais envie de changer
d'air....


--
Laurent CAMPEDEL

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Laurent CAMPEDEL
Pas tout à fait non plus.
Car tant qu'il n'existe pas de convention de copropriété, je ne vois pas pourquoi le survivant serait prioritaire de par la loi pour
racheter.

Mais quel est le choix du vendeur ?
A qui peut-il vendre une part indivise d'une maison habitée ?
Je ne vois guère que l'occupant pour acheter, non ?
Et si celui-ci n'a pas les moyens, alors la vente totale s'impose.

A la suite, je me pose une autre question que nous n'avons pas encore abordé et qui me laisse dubitatif.
Que peut faire l'héritier de sa part d'héritage, c'est à dire une partie indivise d'une maison habitée ?
Peut-il demander un loyer par exemple ?

--
Laurent CAMPEDEL

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"mlz" a écrit dans le message de news:
Le Tue, 20 Sep 2005 11:47:48 +0200, svbeev a écrit :






Il y a un lien évident entre les deux. Comment régler vous le problème
si
la loi dit que le condindivisiaire est "obligé" de racheter la part
indivise ?

Quid s'il ne veut pas .
Quid s'il ne peut pas.




Je pense que ce que Laurent voulais dire, c'etait plutot si le conjoint
survivant veut et peut acheter, est ce que l'indivisionnaire sortant doit
lui vendre, ou peut-il le vendre a qui il veut. En gros est-ce que le
conjoint survivant est prioritaire s'il souhaite acheter ?
C'est en tout cas ce que j'en ai compris.



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mlz
Le Tue, 20 Sep 2005 13:45:29 +0200, Laurent CAMPEDEL a écrit :

Pas tout à fait non plus.



au temps pour moi.

Car tant qu'il n'existe pas de convention de copropriété, je ne vois pas
pourquoi le survivant serait prioritaire de par la loi pour racheter.




Cela me paraitrait normal. A la base c'est le couple qui a achete le bien,
pour eux.
Ca serait normal que le survivant soit prioritaire.

Mais quel est le choix du vendeur ?
A qui peut-il vendre une part indivise d'une maison habitée ? Je ne
vois guère que l'occupant pour acheter, non ? Et si celui-ci n'a pas
les moyens, alors la vente totale s'impose.




Je partais du principe, mais a tort je suppose, que le couple vivait dans
le bien.

Le survivant peut-il n'acheter que l'usufruit ? ( je ne sais pas si c'est
possible, je ne suis pas juriste )
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mlz
Le Tue, 20 Sep 2005 15:00:37 +0200, Laurent CAMPEDEL a écrit :






Merci de tes reponses. Je crois qu'en France, tout est tellement plus
simple quand tu es marie. Et meme si cela ne m'enchante pas, je crois
qu'il va falloir passer le pas ;p
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Laurent CAMPEDEL
"mlz" a écrit dans le message de news:
Le Tue, 20 Sep 2005 13:45:29 +0200, Laurent CAMPEDEL a écrit :

Pas tout à fait non plus.



au temps pour moi.

Car tant qu'il n'existe pas de convention de copropriété, je ne vois pas
pourquoi le survivant serait prioritaire de par la loi pour racheter.




Cela me paraitrait normal. A la base c'est le couple qui a achete le bien,
pour eux.
Ca serait normal que le survivant soit prioritaire.



Hum hum hum....
Vous savez, cela vient tout juste de devenir "normal" pour les couples mariés, alors pourles couples en union libre.....


Mais quel est le choix du vendeur ?
A qui peut-il vendre une part indivise d'une maison habitée ? Je ne
vois guère que l'occupant pour acheter, non ? Et si celui-ci n'a pas
les moyens, alors la vente totale s'impose.




Je partais du principe, mais a tort je suppose, que le couple vivait dans
le bien.



Oui, c'est bien l'axiome.
Mais cela ne change rien. A qui un enfant pourra-t-il vendre sa part indivise d'une maison occupée par sa mère ? Qui acheterait le
quart d'une indivision par exemple ? Une partie de la réponse se trouve dans ce que la loi répond à ma question sur le loyer.


Le survivant peut-il n'acheter que l'usufruit ? ( je ne sais pas si c'est
possible, je ne suis pas juriste )



Cela est certainement possible.
Je suppose que cela passe simplement par une convention d'indivision (pour faire les choses avec formalisme).

--
Laurent CAMPEDEL

(rajouter un l devant l'adresse pour me répondre)
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