yep mais ya des éléments genants qui en font une photo ordinaire.
la fille à moitié cachée à droite, les immeubles penchés, la pdc trop grande, le regard du "campagnard" pas visible...
bref des détails mais qui gachent la super expression de l'enfant. ça arrive tout le temps en photo qu'un super élément soit gaché par d'autres trucs, c'est pour ça qu'on persévère, faut que tout soit bien :-)
Le 08/06/2011 20:50, André a écrit :
Déja publié, sans commentaure
J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
yep mais ya des éléments genants qui en font
une photo ordinaire.
la fille à moitié cachée à droite, les immeubles penchés,
la pdc trop grande, le regard du "campagnard" pas visible...
bref des détails mais qui gachent la super expression de l'enfant.
ça arrive tout le temps en photo qu'un super élément soit gaché
par d'autres trucs, c'est pour ça qu'on persévère, faut que tout
soit bien :-)
yep mais ya des éléments genants qui en font une photo ordinaire.
la fille à moitié cachée à droite, les immeubles penchés, la pdc trop grande, le regard du "campagnard" pas visible...
bref des détails mais qui gachent la super expression de l'enfant. ça arrive tout le temps en photo qu'un super élément soit gaché par d'autres trucs, c'est pour ça qu'on persévère, faut que tout soit bien :-)
Ce cher mammifère du nom de André nous susurrait, le mercredi 08/06/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4defc45f$0$30786$, les doux mélismes suivants :
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de André nous susurrait, le mercredi
08/06/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<4defc45f$0$30786$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
Remis à l'_horizontal_ !
http://cjoint.com/?AFjjDj0tUkL
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de André nous susurrait, le mercredi 08/06/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4defc45f$0$30786$, les doux mélismes suivants :
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
André <machin@truc.fr> wrote:
Déja publié, sans commentaure
J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
Chassé croisé sympa de regards...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
MELMOTH wrote:
Ce cher mammifère du nom de André nous susurrait, le mercredi 08/06/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4defc45f$0$30786$, les doux mélismes suivants :
Mis à part une satisfaction maniaque de rectitude sans raison...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
MELMOTH <theo@free.fr> wrote:
Ce cher mammifère du nom de André nous susurrait, le mercredi
08/06/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<4defc45f$0$30786$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
> J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
> http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
Remis à l'_horizontal_ !
http://cjoint.com/?AFjjDj0tUkL
Mis à part une satisfaction maniaque de rectitude sans raison...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Ce cher mammifère du nom de André nous susurrait, le mercredi 08/06/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4defc45f$0$30786$, les doux mélismes suivants :
Mis à part une satisfaction maniaque de rectitude sans raison...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Celle-ci rends le contraste ville/campagne bien mieux que la precedente. J'aime. On voit que la petite fille a l'habitude de voir uniquement des poissons carres et des agneaux sous forme de cotelettes chez Leclerc.
-- PiLS
"André" <machin@truc.fr> wrote:
Déja publié, sans commentaure
J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
Celle-ci rends le contraste ville/campagne bien mieux que la precedente.
J'aime. On voit que la petite fille a l'habitude de voir uniquement des
poissons carres et des agneaux sous forme de cotelettes chez Leclerc.
Celle-ci rends le contraste ville/campagne bien mieux que la precedente. J'aime. On voit que la petite fille a l'habitude de voir uniquement des poissons carres et des agneaux sous forme de cotelettes chez Leclerc.
A la reflection, je pense (mais ca n'engage que moi) que cette photo est un des rares cas ou une profondeur de champ plus reduite serait souhaitable, avec une mise au point sur le regard de l'enfant et l'agneau (qui sont dans le meme plan focal, plus ou moins) Tout le reste est distraction (a mon tres humble avis).
-- PiLS
"André" <machin@truc.fr> wrote:
Déja publié, sans commentaure
J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
A la reflection, je pense (mais ca n'engage que moi) que
cette photo est un des rares cas ou une profondeur de champ
plus reduite serait souhaitable, avec une mise au point sur
le regard de l'enfant et l'agneau (qui sont dans le meme
plan focal, plus ou moins) Tout le reste est distraction
(a mon tres humble avis).
A la reflection, je pense (mais ca n'engage que moi) que cette photo est un des rares cas ou une profondeur de champ plus reduite serait souhaitable, avec une mise au point sur le regard de l'enfant et l'agneau (qui sont dans le meme plan focal, plus ou moins) Tout le reste est distraction (a mon tres humble avis).
-- PiLS
René
"PiLS" a écrit dans le message de groupe de discussion : iss0ee$36e$
"André" wrote: > Déja publié, sans commentaure > J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant > http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
A la reflection, je pense (mais ca n'engage que moi) que cette photo est un des rares cas ou une profondeur de champ plus reduite serait souhaitable, avec une mise au point sur le regard de l'enfant et l'agneau (qui sont dans le meme plan focal, plus ou moins) Tout le reste est distraction (a mon tres humble avis).
Chacun a sa manière personnelle de voir et de décomposer un sujet.
Personnellement je trouve que ce qui attire immédiatement l'attention est le regard de l'enfant. Classique: les enfants et les indiens ont de si beaux yeux. Malheureusement ce regard d'enfant n'est nullement attiré par une potentielle côtelette d'agneau mais par le gros bonhomme. Pourquoi? Je n'en sais rien. Mais je regrette de ne pas voir ce visage qui alors complèterait la communication engagée. Le deuxième attrait est le visage rosé de l'homme - le père - en plein centre qui malheureusement a un air soit un peu fuyant soit dédoublé. A l'examen on peut supposer qu'il dit à la gamine "tu vois le petit agneau", sans grand succès, la faute du gros de dos. Que dire de plus? Foire paysanne, public, la ferme à la ville... Sans grand intérêt. Que des suppositions. L'ensemble des personnages centraux est suffisamment présent pour oublier l'arrière plan qui n'a pas besoin d'être flou ou même d'être redressé.
Cette photo est somme toute bonne mais aussi banale car principalement un instantanée d'une fillette aux beaux yeux.
Oh! Je sacrifiais l'agneau à l'autel de mon analyse intello. Pauvre bête d'accompagnement qui n'a pas vraiment de rôle dans l'image étant la seule consciente de l'instant photographique. Il est oublié de tous - sauf du photographe - malgré cette légère caresse de la femme, pour se faire pardonner, qui elle aussi regarde encore le gros de dos!
Je sais bien que je mets une touche d'ironie dans mon interprétation mais je la crois aussi valable - et même bien plus car c'est la mienne - que d'y voir un "contraste ville/campagne" ou autres supposition sur ce que la fillette a en tête.
Les gens sont sympatiques - l'agneau aussi; en tant que scène de rue prise en instantanée la photo telle quelle est bonne et a un intérêt certain, avec cependant certaines faiblesses qui ont été soulevés. Pour faire mieux il faut mitrailler un peu et souvent avoir une certaine chance. C'est une photo de reportage et je suis certain que les meilleurs reporters reviennent souvent avec des images trop banales.
René
"PiLS" a écrit dans le message de groupe de discussion :
iss0ee$36e$1@speranza.aioe.org...
"André" <machin@truc.fr> wrote:
> Déja publié, sans commentaure
> J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
> http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
A la reflection, je pense (mais ca n'engage que moi) que
cette photo est un des rares cas ou une profondeur de champ
plus reduite serait souhaitable, avec une mise au point sur
le regard de l'enfant et l'agneau (qui sont dans le meme
plan focal, plus ou moins) Tout le reste est distraction
(a mon tres humble avis).
Chacun a sa manière personnelle de voir et de décomposer un sujet.
Personnellement je trouve que ce qui attire immédiatement l'attention est le
regard de l'enfant. Classique: les enfants et les indiens ont de si beaux
yeux.
Malheureusement ce regard d'enfant n'est nullement attiré par une
potentielle côtelette d'agneau mais par le gros bonhomme. Pourquoi? Je n'en
sais rien. Mais je regrette de ne pas voir ce visage qui alors complèterait
la communication engagée.
Le deuxième attrait est le visage rosé de l'homme - le père - en plein
centre qui malheureusement a un air soit un peu fuyant soit dédoublé. A
l'examen on peut supposer qu'il dit à la gamine "tu vois le petit agneau",
sans grand succès, la faute du gros de dos.
Que dire de plus? Foire paysanne, public, la ferme à la ville... Sans grand
intérêt. Que des suppositions.
L'ensemble des personnages centraux est suffisamment présent pour oublier
l'arrière plan qui n'a pas besoin d'être flou ou même d'être redressé.
Cette photo est somme toute bonne mais aussi banale car principalement un
instantanée d'une fillette aux beaux yeux.
Oh! Je sacrifiais l'agneau à l'autel de mon analyse intello. Pauvre bête
d'accompagnement qui n'a pas vraiment de rôle dans l'image étant la seule
consciente de l'instant photographique. Il est oublié de tous - sauf du
photographe - malgré cette légère caresse de la femme, pour se faire
pardonner, qui elle aussi regarde encore le gros de dos!
Je sais bien que je mets une touche d'ironie dans mon interprétation mais je
la crois aussi valable - et même bien plus car c'est la mienne - que d'y
voir un "contraste ville/campagne" ou autres supposition sur ce que la
fillette a en tête.
Les gens sont sympatiques - l'agneau aussi; en tant que scène de rue prise
en instantanée la photo telle quelle est bonne et a un intérêt certain, avec
cependant certaines faiblesses qui ont été soulevés. Pour faire mieux il
faut mitrailler un peu et souvent avoir une certaine chance. C'est une photo
de reportage et je suis certain que les meilleurs reporters reviennent
souvent avec des images trop banales.
"PiLS" a écrit dans le message de groupe de discussion : iss0ee$36e$
"André" wrote: > Déja publié, sans commentaure > J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant > http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
A la reflection, je pense (mais ca n'engage que moi) que cette photo est un des rares cas ou une profondeur de champ plus reduite serait souhaitable, avec une mise au point sur le regard de l'enfant et l'agneau (qui sont dans le meme plan focal, plus ou moins) Tout le reste est distraction (a mon tres humble avis).
Chacun a sa manière personnelle de voir et de décomposer un sujet.
Personnellement je trouve que ce qui attire immédiatement l'attention est le regard de l'enfant. Classique: les enfants et les indiens ont de si beaux yeux. Malheureusement ce regard d'enfant n'est nullement attiré par une potentielle côtelette d'agneau mais par le gros bonhomme. Pourquoi? Je n'en sais rien. Mais je regrette de ne pas voir ce visage qui alors complèterait la communication engagée. Le deuxième attrait est le visage rosé de l'homme - le père - en plein centre qui malheureusement a un air soit un peu fuyant soit dédoublé. A l'examen on peut supposer qu'il dit à la gamine "tu vois le petit agneau", sans grand succès, la faute du gros de dos. Que dire de plus? Foire paysanne, public, la ferme à la ville... Sans grand intérêt. Que des suppositions. L'ensemble des personnages centraux est suffisamment présent pour oublier l'arrière plan qui n'a pas besoin d'être flou ou même d'être redressé.
Cette photo est somme toute bonne mais aussi banale car principalement un instantanée d'une fillette aux beaux yeux.
Oh! Je sacrifiais l'agneau à l'autel de mon analyse intello. Pauvre bête d'accompagnement qui n'a pas vraiment de rôle dans l'image étant la seule consciente de l'instant photographique. Il est oublié de tous - sauf du photographe - malgré cette légère caresse de la femme, pour se faire pardonner, qui elle aussi regarde encore le gros de dos!
Je sais bien que je mets une touche d'ironie dans mon interprétation mais je la crois aussi valable - et même bien plus car c'est la mienne - que d'y voir un "contraste ville/campagne" ou autres supposition sur ce que la fillette a en tête.
Les gens sont sympatiques - l'agneau aussi; en tant que scène de rue prise en instantanée la photo telle quelle est bonne et a un intérêt certain, avec cependant certaines faiblesses qui ont été soulevés. Pour faire mieux il faut mitrailler un peu et souvent avoir une certaine chance. C'est une photo de reportage et je suis certain que les meilleurs reporters reviennent souvent avec des images trop banales.
Chacun a sa manière personnelle de voir et de décomposer un sujet.
of corse
Personnellement je trouve que ce qui attire immédiatement l'attention est le regard de l'enfant. Classique: les enfants et les indiens ont de si beaux yeux.
oui
Malheureusement ce regard d'enfant n'est nullement attiré par une potentielle côtelette d'agneau mais par le gros bonhomme. Pourquoi? Je n'en sais rien. Mais je regrette de ne pas voir ce visage qui alors complèterait la communication engagée.
bien sûr que si qu'il est attiré par l'agneau ! Vers quoi tend-il la main ? mais comme la peluche est tenue par un gros monsieur inconnu, il voudrait bien savoir s'il a la permission.
Le deuxième attrait est le visage rosé de l'homme - le père - en plein centre qui malheureusement a un air soit un peu fuyant soit dédoublé. A l'examen on peut supposer qu'il dit à la gamine "tu vois le petit agneau", sans grand succès, la faute du gros de dos.
le papa est parfait, très heureux de sa fille et de sa femme — je comprends parfaitement.
Que dire de plus? Foire paysanne, public, la ferme à la ville... Sans grand intérêt. Que des suppositions.
Tout de même ! Ça se passe en ville, pas dans la ferme de l'éleveur ; le sens de cette rencontre n'est pas tout à fait le même.
L'ensemble des personnages centraux est suffisamment présent pour oublier l'arrière plan qui n'a pas besoin d'être flou ou même d'être redressé.
toutafé
Cette photo est somme toute bonne mais aussi banale car principalement un instantanée d'une fillette aux beaux yeux.
Non. Demandez à l'éleveur, c'est beaucoup plus que ça. Et demandez à la petite citadine. Il y a des bonheurs simples qu'il faut avoir la chance de capter.
Oh! Je sacrifiais l'agneau à l'autel de mon analyse intello. Pauvre bête d'accompagnement qui n'a pas vraiment de rôle dans l'image étant la seule consciente de l'instant photographique.
Ça, c'est dommage ; et passer complètement à côté de l'image.
Je sais bien que je mets une touche d'ironie dans mon interprétation...
Là, je suis rassuré.
charles
René a écrit :
"André" <machin@truc.fr> wrote:
> J'aime bien celle ci surtout pour le regard de l'enfant
> http://cjoint.com/?AFgkxIKzntq
Chacun a sa manière personnelle de voir et de décomposer un sujet.
of corse
Personnellement je trouve que ce qui attire immédiatement l'attention
est le regard de l'enfant. Classique: les enfants et les indiens ont de
si beaux yeux.
oui
Malheureusement ce regard d'enfant n'est nullement attiré par une
potentielle côtelette d'agneau mais par le gros bonhomme. Pourquoi? Je
n'en sais rien. Mais je regrette de ne pas voir ce visage qui alors
complèterait la communication engagée.
bien sûr que si qu'il est attiré par l'agneau ! Vers quoi tend-il la
main ? mais comme la peluche est tenue par un gros monsieur inconnu, il
voudrait bien savoir s'il a la permission.
Le deuxième attrait est le visage rosé de l'homme - le père - en plein
centre qui malheureusement a un air soit un peu fuyant soit dédoublé. A
l'examen on peut supposer qu'il dit à la gamine "tu vois le petit
agneau", sans grand succès, la faute du gros de dos.
le papa est parfait, très heureux de sa fille et de sa femme — je
comprends parfaitement.
Que dire de plus? Foire paysanne, public, la ferme à la ville... Sans
grand intérêt. Que des suppositions.
Tout de même ! Ça se passe en ville, pas dans la ferme de l'éleveur ; le
sens de cette rencontre n'est pas tout à fait le même.
L'ensemble des personnages centraux est suffisamment présent pour
oublier l'arrière plan qui n'a pas besoin d'être flou ou même d'être
redressé.
toutafé
Cette photo est somme toute bonne mais aussi banale car principalement
un instantanée d'une fillette aux beaux yeux.
Non. Demandez à l'éleveur, c'est beaucoup plus que ça. Et demandez à la
petite citadine. Il y a des bonheurs simples qu'il faut avoir la chance
de capter.
Oh! Je sacrifiais l'agneau à l'autel de mon analyse intello. Pauvre bête
d'accompagnement qui n'a pas vraiment de rôle dans l'image étant la
seule consciente de l'instant photographique.
Ça, c'est dommage ; et passer complètement à côté de l'image.
Je sais bien que je mets une touche d'ironie dans mon interprétation...
Chacun a sa manière personnelle de voir et de décomposer un sujet.
of corse
Personnellement je trouve que ce qui attire immédiatement l'attention est le regard de l'enfant. Classique: les enfants et les indiens ont de si beaux yeux.
oui
Malheureusement ce regard d'enfant n'est nullement attiré par une potentielle côtelette d'agneau mais par le gros bonhomme. Pourquoi? Je n'en sais rien. Mais je regrette de ne pas voir ce visage qui alors complèterait la communication engagée.
bien sûr que si qu'il est attiré par l'agneau ! Vers quoi tend-il la main ? mais comme la peluche est tenue par un gros monsieur inconnu, il voudrait bien savoir s'il a la permission.
Le deuxième attrait est le visage rosé de l'homme - le père - en plein centre qui malheureusement a un air soit un peu fuyant soit dédoublé. A l'examen on peut supposer qu'il dit à la gamine "tu vois le petit agneau", sans grand succès, la faute du gros de dos.
le papa est parfait, très heureux de sa fille et de sa femme — je comprends parfaitement.
Que dire de plus? Foire paysanne, public, la ferme à la ville... Sans grand intérêt. Que des suppositions.
Tout de même ! Ça se passe en ville, pas dans la ferme de l'éleveur ; le sens de cette rencontre n'est pas tout à fait le même.
L'ensemble des personnages centraux est suffisamment présent pour oublier l'arrière plan qui n'a pas besoin d'être flou ou même d'être redressé.
toutafé
Cette photo est somme toute bonne mais aussi banale car principalement un instantanée d'une fillette aux beaux yeux.
Non. Demandez à l'éleveur, c'est beaucoup plus que ça. Et demandez à la petite citadine. Il y a des bonheurs simples qu'il faut avoir la chance de capter.
Oh! Je sacrifiais l'agneau à l'autel de mon analyse intello. Pauvre bête d'accompagnement qui n'a pas vraiment de rôle dans l'image étant la seule consciente de l'instant photographique.
Ça, c'est dommage ; et passer complètement à côté de l'image.
Je sais bien que je mets une touche d'ironie dans mon interprétation...