Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir
de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone
rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de
la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque
chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à
gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que
j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il
prétend n'avoir pas dit ?
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Aucune.
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
Cordialement.
-- Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Bonjour,
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous
a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de
conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone
rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de la
conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque chose
d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à gagner d'environ
3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que j'ai
enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Aucune.
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend
n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera
contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Aucune.
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
Cordialement.
-- Marc-Antoine
Boon
Marc-Antoine wrote:
Boon wrote:
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
C'est bien ce que je me disais...
Auriez-vous une référence au texte de loi pertinent, histoire que je ne meure pas idiot ?
Cordialement.
Marc-Antoine wrote:
Boon wrote:
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il
prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera
contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
C'est bien ce que je me disais...
Auriez-vous une référence au texte de loi pertinent, histoire que je ne
meure pas idiot ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
C'est bien ce que je me disais...
Auriez-vous une référence au texte de loi pertinent, histoire que je ne meure pas idiot ?
Cordialement.
Emma
Boon a écrit :
Bonjour,
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
début d epreuve, mais preuve de quoi ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
vous en servir auprès de qui ?
très risqué et face à un avocat ??
Il y a eut des enregistements, dans un cadre privé sans que la personne enregistrée ait donnée son accord, qui ont servi lors de procès ou litige. La raison avait été que c'était pour recherche de la vérité ou quelque chose d'approchant. Mais ce doit être plutôt rare
3000 euros et-ce que ça vaut le coup d'avoir un retour de bâton dans les dents. prenez un avocat en tout cas... :-))
Emma
-- (répondre en direct : virer le lezard qui sommeille dans mon adresse)
Boon a écrit :
Bonjour,
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir
de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone
rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de
la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque
chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à
gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que
j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
début d epreuve, mais preuve de quoi ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il
prétend n'avoir pas dit ?
vous en servir auprès de qui ?
très risqué
et face à un avocat ??
Il y a eut des enregistements, dans un cadre privé sans que la personne
enregistrée ait donnée son accord, qui ont servi lors de procès ou litige.
La raison avait été que c'était pour recherche de la vérité ou quelque
chose d'approchant.
Mais ce doit être plutôt rare
3000 euros et-ce que ça vaut le coup d'avoir un retour de bâton dans les
dents.
prenez un avocat en tout cas...
:-))
Emma
--
(répondre en direct : virer le lezard qui sommeille dans mon adresse)
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a payé un avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaphone rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralité de la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
début d epreuve, mais preuve de quoi ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
vous en servir auprès de qui ?
très risqué et face à un avocat ??
Il y a eut des enregistements, dans un cadre privé sans que la personne enregistrée ait donnée son accord, qui ont servi lors de procès ou litige. La raison avait été que c'était pour recherche de la vérité ou quelque chose d'approchant. Mais ce doit être plutôt rare
3000 euros et-ce que ça vaut le coup d'avoir un retour de bâton dans les dents. prenez un avocat en tout cas... :-))
Emma
-- (répondre en direct : virer le lezard qui sommeille dans mon adresse)
Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Marc-Antoine wrote:
Boon wrote:
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
C'est bien ce que je me disais...
Auriez-vous une référence au texte de loi pertinent, histoire que je ne meure pas idiot ?
Cordialement.
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui: ... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
-- Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Marc-Antoine wrote:
Boon wrote:
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend
n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera
contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
C'est bien ce que je me disais...
Auriez-vous une référence au texte de loi pertinent, histoire que je ne meure
pas idiot ?
Cordialement.
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de
45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque,
volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée
d'autrui:
... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement*
de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il prétend n'avoir pas dit ?
Et le dit avocat (qui doit s'y connaître en droit ;-) ) se retournera contre toi, enregistrement sans consentement de la personne.
C'est bien ce que je me disais...
Auriez-vous une référence au texte de loi pertinent, histoire que je ne meure pas idiot ?
Cordialement.
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui: ... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
-- Marc-Antoine
Bernard Guérin
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b827a9$0$17194$
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui: ... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
-- Bernard Guérin
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 48b827a9$0$17194$426a34cc@news.free.fr...
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E
d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de
porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui:
... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de
leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b827a9$0$17194$
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui: ... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
-- Bernard Guérin
Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b827a9$0$17194$
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui: ... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
-- Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 48b827a9$0$17194$426a34cc@news.free.fr...
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E
d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de
porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui:
... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de
leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b827a9$0$17194$
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui: ... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
-- Marc-Antoine
Bernard Guérin
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
-- Bernard Guérin
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir
de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une
action publique que privée ?
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
-- Bernard Guérin
Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est confidentielle une consultation chez le médecin.
-- Marc-Antoine
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de
conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une
action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je qualifierait
donc cet entretien de confidentiel, comme est confidentielle une
consultation chez le médecin.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est confidentielle une consultation chez le médecin.
-- Marc-Antoine
Moisse
Dans le message 48b87128$0$23840$, Bernard Guérin exprime ceci:
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
Non Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés. A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos sont publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans autorisation. A+
--
Dans le message 48b87128$0$23840$426a74cc@news.free.fr, Bernard Guérin
<bguerin@hotmail.com> exprime ceci:
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial,
qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos
sont publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
Dans le message 48b87128$0$23840$, Bernard Guérin exprime ceci:
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
Non Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés. A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos sont publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans autorisation. A+
--
Moisse
Dans le message 48b88809$0$22688$, Marc-Antoine exprime ceci:
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non. L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses interlocuteurs. Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient n'est tenu à rien. A+
--
Dans le message 48b88809$0$22688$426a74cc@news.free.fr, Marc-Antoine
<antoine@marcom.invalid> exprime ceci:
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un
d'impartial, qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses interlocuteurs.
Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient n'est tenu à rien.
A+
Dans le message 48b88809$0$22688$, Marc-Antoine exprime ceci:
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non. L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses interlocuteurs. Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient n'est tenu à rien. A+