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violence contre les enfants :Chronologie des faits

72 réponses
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Julie Amadis
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-contre-les-enfants-chronologie=
.html

Cette chronologie va =EAtre post=E9e pour le recteur de l'Acad=E9mie de
Rouen demain matin (Yanick Toutain est sous la menace d'une
inculpation suite =E0 une plainte en diffamation qu'a d=E9pos=E9e une des
brutes - V=E9ronique Combret -et celle qui soutient en me harcelant
depuis plusieurs mois (ma sup=E9rieure qui m'a embauch=E9 : Carole
Hervieu, principale du coll=E8gue varlin Le Havre.)
Le fait qu'ils aient recul=E9 apr=E8s leurs menaces d'arr=EAter mon salaire
(je refusais de retourner dans cette =E9cole maternelle brutale) est
plus que suffisant pour signer l'aveu de leur culpabilit=E9.
Ces dames cherchent =E0 obtenir d'un tribunal une attestation
d'honnet=E9 : elles veulent faire oublier que deux enfants ont =E9t=E9 tap=
=E9s
et qu'elles mentent depuis cinq mois.
Ils veulent baillonner la libre parole sur Internet. Que les
bloggueurs nous aident =E0 d=E9fendre la libre parole et =E0 d=E9fendre les
enfants qui sont tap=E9s dans les =E9coles.
=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D


Chronologie des =E9v=E8nements

Le 22 Janvier 2008 : Dans l'=E9cole maternelle Varlin, Le Havre suis
t=E9moin d'une fess=E9e donn=E9e par une ATSEM, Fran=E7oise, sur un enfant =
de
3 ans nomm=E9 K=E9vin. Ca s'est pass=E9 dans les sanitaires au premier
=E9tage, pendant l'heure du midi. L'enfant a =E9t=E9 attrap=E9, soulev=E9 p=
uis
fess=E9. La fess=E9e a =E9t=E9 violente. La porte =E9tant entrouverte, j'ai=
pu
voir la sc=E8ne. L'enfant a cri=E9 tr=E8s fort et a pleur=E9 longtemps apr=
=E8s.
(Je l'entendais pleurer, depuis la BCD o=F9 je me trouvais ensuite.)


Le 4 F=E9vrier : Apr=E8s m'=EAtre renseign=E9 aupr=E8s de l'assistante soci=
ale
sur la d=E9marche =E0 suivre, j'ai pr=E9venu la directrice de l'=E9cole, Mm=
e
V=E9ronique Combret.

Mon t=E9moignage n'a pas du tout =E9t=E9 bien per=E7u.


Elle m'a expliqu=E9 que si elle concevait que =E7a ne devait pas =EAtre une
habitude, elle n'y =E9tait pas pour autant hostile.


D=E8s le d=E9part, lorsque je lui fais cette r=E9v=E9lation, elle montre so=
n
=E9nervement envers moi, me reproche d'avoir =E9t=E9 voir l'infirmi=E8re et
l'assistante sociale. Alors que je lui dis que c'est interdit dans
l'=E9ducation nationale, elle m'explique qu'elle n'est pas hostile aux
fess=E9es.


Et elle me dit avoir d=E9j=E0 utilis=E9 ce proc=E9d=E9 : "par exemple Lucia=
no,
=E7a m'est d=E9j=E0 arriv=E9 de lui mettre une fess=E9e et je n'ai pas pour
autant culpabilis=E9 car =E0 ce moment l=E0, il y a que comme =E7a qu'il
pouvait comprendre".

Et elle argumente sur le fait que une fess=E9e =E7a arrive =E0 tout le
monde. Je lui r=E9pond : "moi, je sais que =E7a ne m'arrivera jamais parce
que je trouve cela trop grave". Elle riposte : "tu verras quand tu
seras plus vieille".


J'insiste sur le fait que ce soit interdit dans l'=E9ducation nationale
et sur le fait que l'assistante sociale et l'infirmi=E8re me l'aient
bien r=E9p=E9t=E9. Elle va finir par proposer de faire quelque chose : "je
vais discuter avec Fran=E7oise pour conna=EEtre le contexte", et "si tu
veux toi aussi, tu pourras en parler avec elle". Je lui r=E9ponds que
l'assistante sociale et l'infirmi=E8re m'ont conseill=E9 de ne pas g=E9rer
cette affaire seule et elles m'ont dit que c'=E9tait =E0 vous de vous en
occuper.


Je lui demande, aussi, si quelque chose a =E9t=E9 fait concernant le petit
Jordan =E0 qui j'avais demand=E9, voyant son menton recousu "ce qu'il
s'=E9tait fait "et qui m'avait r=E9pondu "c'est ma m=E8re qui m'a claqu=E9 =
par
terre". J'avais pr=E9venu son institutrice, Marielle, qui m'avait dit
que =E7a pouvait arriver et qu' il ne fallait pas s'inqui=E9ter outre
mesure, et que =E7a pouvait arriver =E0 tout le monde, que des fois les
enfants nous poussaient =E0 bout (elle a fait un signe avec les mains) .
Les autres institutrices du premier =E9tage =E9taient pr=E9sentes et =E0 to=
ur
de r=F4le, elles prenaient la parole pour "relativiser" ce qui me
semblait grave. J'avais pourtant =E9t=E9 voir sans leur en parler
l'infirmi=E8re juste avant pour lui demander son avis et ce qu'il
fallait faire. Sa r=E9action avait =E9t=E9 de dire que c'=E9tait grave, qu'=
il
fallait faire un signalement (mais que ce n'=E9tait pas =E0 moi de le
faire) et qu'il fallait en faire part =E0 son institutrice.


Aucun signalement n'a =E9t=E9 fait pour cet enfant l=E0 non plus. Lorsque
j'ai relat=E9 cet =E9pisode =E0 l'assistante sociale, sa r=E9action a =E9t=
=E9 de
dire : "ils ne vont pas bien l=E0 bas, la m=E8re ne va pas leur dire ce
qu'elle a fait".


La banalisation et l'=E9touffement des coups que re=E7oivent les enfants
est flagrante dans cette =E9cole.


A 17 h 30, ce m=EAme jour, je pr=E9viens Madame Hervieu de cette situation
et de ma crainte de repr=E9sailles ayant d=E9j=E0 fait l'exp=E9rience de
d=E9nonciation similaire dans un autre coll=E8ge (L=E9o Lagrange) et ayant
vu mon contrat ne pas =EAtre renouvel=E9 (sous un pr=E9texte absurde).

Je tiens =E0 mettre l'accent sur les faits suivants : alors que rien ne
m'y obligeait, j'avais, avant mon embauche, signal=E9 =E0 madame Hervieu,
les faits graves qui s'=E9taient produits au coll=E8ge L=E9o Lagrange. Elle
utilisera cela, lors de l'entretien du lundi 3 Mars suivant, quand
elle aura modifi=E9 sa position : elle se crut, alors, autoris=E9e =E0 me
dire : "c'est une r=E9currence chez vous ...".


Madame Carole Hervieu m'a entendu. Et m'a dit qu'elle =E9tait d'accord
avec moi lorsque je lui ai expos=E9 mon point de vue concernant les
cons=E9quences =E9ducatives catastrophiques =E0 banaliser la fess=E9e. Et a
m=EAme ajout=E9 : "qu'elle ne sait pas comment son fils aurait r=E9agi si s=
a
fille recevait une fess=E9e =E0 l'=E9cole". Mais elle a minimis=E9 les prop=
os
de Mme Combret : "elle a dit =E7a parce qu'elle n'a pas envi de perdre
son ATSEM" m'a-t-elle r=E9pondu. Mais elle a tenu =E0 se d=E9marquer de la
r=E9action de Mme Combret en indiquant que : "ce genre d'acte s'=E9tait
d=E9j=E0 produit au coll=E8ge; qu'elle avait fait le n=E9cessaire et que po=
ur
les personnes vis=E9es, =E7a ne s'=E9tait plus jamais reproduit"

Lorsque je lui ai dit "que je me posais la question d'aller plus loin
dans cette affaire", elle m'a r=E9pondu que "si un tel acte se
renouvelait, on irait plus loin".

Elle a =E9voqu=E9, ce jour-l=E0, le cas de Jos=E9 Laboureur - sans citer so=
n
nom - en expliquant alors la position de son fils.


Du 11 f=E9vrier au 25 f=E9vrier (les vacances) : J'=E9tudie un document sur
les droits de l'enfant que l'assistante sociale du coll=E8ge, Mme Cognet
m'a pass=E9. Je r=E9fl=E9chis aux solutions pour d=E9noncer cette affaire.


La semaine suivante, (le 25 f=E9vrier, apr=E8s les vacances) : l'ensemble
des enseignantes m'impose de travailler sur "le petit chaperon rouge"
pendant 8 semaines alors qu'en d=E9but d'ann=E9e scolaire, je leur ai fait
conna=EEtre mon d=E9saccord formel avec ce que v=E9hicule ce conte
(meurtre , cannibalisme) et mon refus absolu de le raconter. J'ai donc
consid=E9r=E9 cet ordre comme une provocation suite =E0 l'histoire de la
fess=E9e.


(J'ai envoy=E9 un courriel avec ces faits =E0 Monsieur Deplanque le 10
mars).


Du mardi 26 f=E9vrier au lundi 3 mars : Je suis arr=EAt=E9e. Le Jeudi 28
f=E9vrier, je t=E9l=E9phone =E0 Mme Hervieu, ma principale et la pr=E9viens=
de
mon refus de retourner =E0 la maternelle dans ces conditions. Le m=EAme
jour, je l'informe des textes sur Internet : "mon ami , =E7a l'a
tellement =E9nerv=E9 cette histoire qu'il a mis des textes sur Internet"
lui dis-je.


Le lundi 3 mars : Je suis convoqu=E9e au bureau de la principale. Mme
Loiseau, secr=E9taire du r=E9seau Ambition r=E9ussite est aussi pr=E9sente.=
A
la fin de l'entretien, alors que je refuse de retourner en maternelle,
Mme Hervieu me dit : "bon, pour l'instant vous restez au coll=E8ge.
Demain, je vois Mme Combret et on verra ce qu'on fait".

Le lendemain, mardi 4 mars, je demande =E0 ma principale un emploi du
temps pour le coll=E8ge, elle refuse et me menace : "c'est un refus de
mission".


Par ailleurs, Mme Hervieu ne m'a pas demand=E9 d'=EAtre pr=E9sente
lorsqu'elle a re=E7u Mme Combret. La seule information que je poss=E8de
concernant cet entretien me vient de Mme Loiseau, secr=E9taire du
r=E9seau : "Mme Combret a dit que si je ne voulais pas faire les contes
traditionnels. Elle souhaitait avoir une autre assistante
p=E9dagogique".


Il semble que Mme Hervieu choisisse d=E9lib=E9r=E9ment d'insister sur mon
refus de raconter le petit chaperon rouge afin de relativiser
l'essentiel du diff=E9rent : les fess=E9es donn=E9es sur le petit K=E9vin, =
3
ans et le petit Luciano, 4 ans.


Du lundi 3 mars au mercredi 2 Avril : N'ayant pas d'emploi du temps au
coll=E8ge, je travaille en collaboration avec les enseignants. J'aide
aussi les employ=E9s du CRED. Ils font les =E9tudes dirig=E9es et se
retrouvent parfois seule avec une classe enti=E8re (c'est le cas pour la
classe de 4=E8me 4). Je prends donc la moiti=E9 de la classe en charge.


Je peux prouver mon travail gr=E2ce =E0 des feuilles de pr=E9sence que j'ai
fait sign=E9es et que j'ai donn=E9es r=E9guli=E8rement =E0 ma principale. (=
Mme
Hervieu consid=E8re ces feuilles comme n'ayant aucune valeur, elle me
l'a r=E9p=E9t=E9 maintes et maintes fois. Sous ce pr=E9texte, elle a interd=
it
aux professeurs de m'accepter dans leur salle (propos r=E9p=E9t=E9s par Mr
Said et Mme Ferro, tous deux professeurs r=E9f=E9rents).


On a continu=E9 pendant tout ce temps =E0 me harceler pour que j'aille en
maternelle alors que j'avais =E9t=E9 remplac=E9e par une coll=E8gue assista=
nte
p=E9dagogique et que mon contrat (Mme Hervieu le savait) interdisait que
j'y aille puisque le seul lieu d'exercice inscrit est le coll=E8ge
Eug=E8ne Varlin.


Le lundi 10 Mars : J'envoie un mail =E0 l'inspecteur, Mr Patrick
Deplanque, relatant les faits. Je re=E7ois un accus=E9 de r=E9ception le
mardi 11 Mars.


Le Vendredi 14 Mars : Je suis convoqu=E9e par Monsieur Patrick
Deplanque, inspecteur de circonscription et Mme Hervieu, principale du
coll=E8ge et pilote du r=E9seau ambition r=E9ussite Eug=E8ne Varlin.

Mr Deplanque ne compte rien faire concernant cette affaire et soutient
l'attitude de la directrice Mme V=E9ronique Combret. Il en fait un
portrait =E9logieux.


Monsieur Patrick Deplanque me reproche d'avoir =E9t=E9 voir l'assistante
sociale : "mais pourquoi =EAtes vous allez voir l'assistante sociale ?".

Il y a l=E0 une volont=E9 d=E9lib=E9r=E9e d'=E9touffer l'affaire.

S'ensuit une s=E9rie de reproches qui n'ont aucune logique =E0 part celle
qui se r=E9sume =E0 ce proverbe "quand on veut tuer son chien, on dit
qu'il a la rage".


Entre autres, on me reproche de ne pas rester le midi avec mes
coll=E8gues de la maternelle. Et, Monsieur Deplanque se dit "inquiet
qu'une personne comme moi puisse devenir professeur des =E9coles" et
"quand on ne partage pas les valeurs de l'=C9ducation Nationale, il ne
faut pas y entrer"... Je lui r=E9ponds du tac au tac : " Ah bon parce
que les valeurs de l'=C9ducation nationale, c'est de taper les
enfants !!"


Le Mardi 18 Mars : C'est une journ=E9e de gr=E8ve. A l'Assembl=E9e G=E9n=E9=
rale
r=E9unissant une centaine d'enseignants du second degr=E9, je relate la
chronologie des faits qui d=E9bouche sur une menace de mise en demeure
et un licenciement cons=E9cutif. Les professeurs pr=E9sents sont r=E9volt=
=E9s
et vont jusqu'=E0 l'Inspection acad=E9mique pour demander un rendez vous
avec l'Inspecteur d'acad=E9mie en r=E9sidence au Havre.


Le Mercredi 19 Mars : Une d=E9l=E9gation de 4 repr=E9sentants syndicaux,
deux du SNES, un de FO et un de la CGT sont re=E7us par l'Inspecteur
d'Acad=E9mie. Ma pr=E9sence est refus=E9e. Je ne peux que retranscrire ce
qui m'a =E9t=E9 r=E9p=E9t=E9e par les syndicats.

Encore une fois, la m=EAme technique est utilis=E9e. L'inspecteur ne
trouve qu'=E0 me faire des reproches. Celui qui revient le plus : je ne
dois pas me substituer aux professeurs (on m'a pourtant bien demand=E9
de donner des cours (ATP Fran=E7ais et Maths) pendant l'ann=E9e 2006/2007.


J'ai pourtant bien r=E9alis=E9 le projet de cr=E9ation d'histoires avec les
CP, qui =E9tait visible sur Internet il y a un mois (Les 60 pages
personnalis=E9es des enfants ont =E9t=E9 effac=E9es !!!), seule et =E7a
arrangeait bien tout le monde, ma principale comme les professeurs qui
n'avaient pas de pr=E9parations suppl=E9mentaires =E0 faire !!


Aussi, cet inspecteur ment effront=E9ment en affirmant que la lettre de
mission dat=E9e de 2006/2007 serait toujours valable en 2007/2008 (pour
cette ann=E9e, je n'en ai pas re=E7ue et c'est le cas pour toutes les
assistantes p=E9dagogiques !).


Concernant les fess=E9es donn=E9es, Alain Ponvert, d=E9l=E9gu=E9 du SNES, m=
e dit
que "concernant la fess=E9e donn=E9e par l'Atsem (on ne s'occupe pas de
celle que la directrice, V. Combret avoue avoir donn=E9e sur
Luciano !!!) l'affaire va remonter jusqu'=E0 Rouen".

Mais l'Inspecteur d'acad=E9mie avait promis aux syndicats qu'il me
convoquerait prochainement. Je n'ai -depuis - jamais re=E7u de
convocation.


M=EAme =E0 ce niveau de hi=E9rarchie, on =E9touffe l'affaire des fess=E9es.


Les syndicats m'ont dit que "l'inspecteur =E9tait tr=E8s en col=E8re, et qu=
e
gr=E2ce =E0 eux je ne serais pas licenci=E9 de suite."

Je rapporte des violences contre des enfants, en tant que t=E9moin, je
suis l'objet de menaces, et l'Inspecteur d'acad=E9mie est en col=E8re
contre le t=E9moin !


Le Jeudi 20 Mars : deux professeurs avec qui je travaillais
auparavant, Mme Ferro et Mr Said me pr=E9viennent : "Mme Hervieu nous a
interdit de t'ouvrir la salle, c'est notre sup=E9rieur hi=E9rarchique,
nous devons lui ob=E9ir".

Elle cherche =E0 m'isoler et =E0 m'emp=EAcher de travailler.

Et renforce son harc=E8lement.

Le Samedi 22 Mars : Je re=E7ois une lettre accus=E9e de r=E9ception. Ma
principale me menace de retenue sur salaire.


Nous ne sommes pas pay=E9s par le coll=E8ge !!

Avez vous donn=E9 votre accord =E0 Mme Hervieu concernant cette menace ?

Cette menace est particuli=E8rement abjecte !! Ne gagnant que 534 euros
par mois, j'ai =E0 peine de quoi survivre. Et donc, pas d'argent de
cot=E9 ... dans le cas ou la menace aurait =E9t=E9 mise =E0 ex=E9cution, je
n'aurai pas pu payer mon loyer, l'=E9lectricit=E9, et il aurait =E9t=E9
difficile de me nourrir ...


Mercredi 26 Mars : Je pr=E9viens Mme Marais, pr=E9sidente de la PEEP de
cette affaire de fess=E9es et des pressions re=E7ues suite =E0 ces
d=E9nonciations. Elle me conseille de contacter Mme Dufour, adjointe au
maire charg=E9e de l'enseignement. Et concernant les pressions que je
re=E7ois (menace de retenue sur salaire entre autre) elle me dit
d'appeler le rectorat en demandant de sa part Mr Demazi=E8re, directeur
du cabinet du recteur et aussi" lorsque vous aurez la secr=E9taire" me
dit elle "vous pouvez dire que c'est de ma part". Mme Marais est tr=E8s
choqu=E9e de l'attitude de Mr Deplanque et de Mme Hervieu qui =E9touffe
manifestement cette affaire. Concernant l'ATSEM, selon elle, des
personnes qui ne savent pas se ma=EEtriser avec les enfants n'ont rien =E0
faire l=E0. Elle m'a r=E9p=E9t=E9e =E0 plusieurs reprises : "on ne l=E8ve p=
as la
main sur un enfant".


La pr=E9sidente de la FCPE a une r=E9action similaire =E0 celle de Mme
Marais. Elle me propose de demander un rendez-vous =E0 l'adjointe au
maire et de m'y accompagner afin de leur faire conna=EEtre ce qui se
passe dans cette =E9cole. Elle me dit : je vais en toucher deux mots =E0
Mr Deplanque car elle est r=E9volt=E9e face =E0 son comportement.


Au SNES Rouen, on me propose de prendre un rendez vous avec le recteur
et de m'accompagner. Mais ils n'insistent pas de trop sur les fess=E9es.
Ils veulent avant tout emp=EAcher ma principale de me licencier. Ils
s'int=E9ressent de pr=E8s =E0 mes conditions de travail et au fait notammen=
t
que je ne sois pas assur=E9e pour la maternelle et que je n'aie pas
re=E7ue de lettre de mission.


Le Jeudi 27 Mars : Je t=E9l=E9phone au rectorat. La secr=E9taire =E0 qui
j'explique les faits me passe directement la personne charg=E9e des
affaires juridiques au rectorat.

Celui ci me conseille d'envoyer une lettre sous couvert de ma
principale.


Le Vendredi 28 Mars : Mr Abbou, secr=E9taire au coll=E8ge Eug=E8ne Varlin
m'annonce vers 16 heure qu'il y a eu une r=E9union de direction et qu'
ils ont pris la d=E9cision de me donner un planning au coll=E8ge.


Ce m=EAme jour, le responsable de SEGPA me demande d'=EAtre pr=E9sente comm=
e
accompagnatrice =E0 la sortie Cybertech des 5=E8me SEGPA =E0 Rouen Mardi 1
Avril.


Mercredi 2 Avril : Mme Hervieu me donne un nouveau planning qu'elle me
fait dater et signer tout en me pr=E9cisant que "l'emploi du temps des
assistants p=E9dagogiques est flexible" et donc que mon planning pourra
changer. Il a en effet =E9t=E9 compl=E8tement modifi=E9 =E0 plusieurs repri=
ses
depuis. Elle me pr=E9vient : "que cette histoire aurait pu finir tout
autrement" et qu'elle n'acceptera "plus aucune contestation" de ma
part.


Vendredi 4 Avril : Une des cons=E9quences du harc=E8lement subi pendant 2
mois et de la peur de me retrouver sans ressource du jour au lendemain
se manifeste par mon absence aux =E9preuves du CAPLP Lettres histoire
pour lesquelles j'avais une convocation.


Mardi 29 et Mercredi 30 Avril : Je passe le concours de professeur des
=E9coles.


Vendredi 2 Mai : On me donne un nouvel emploi du temps au coll=E8ge.


Lundi 5 Mai : On =E9change mon emploi du temps contre un nouveau en
SEGPA : 18 heures aupr=E8s d'une professeur des =E9coles. Dans ces 2
classes, 6=E8me et les 5=E8me r=E8gne un d=E9sordre complet : envoi de
crayons, crachats, =E9l=E8ves qui sortent du cours seules... Une
assistante p=E9dagogique nouvellement embauch=E9e reprend mon pr=E9c=E9dent
planning.


Je commence le matin m=EAme et n'ai pas de temps de pr=E9venir mes anciens
=E9l=E8ves (ils ne seront d'ailleurs pas pr=E9venus par la hi=E9rarchie et =
me
demanderont des explications encore 1 mois apr=E8s).


Dans cette classe, mon r=F4le principal est de faire de la discipline :
aller chercher les =E9l=E8ves dans le couloir, les emp=EAcher de jeter des
crayons, d'insulter leur prof... Au bout d'une semaine de discipline,
j'ai =E0 mon tour subi le m=EAme sort que cette professeur : colle et
blanco sur ma chaise, insultes r=E9guli=E8res, moqueries... Je me suis
m=EAme fait entour=E9 et harcel=E9 par un groupe de 6 =E9l=E8ves en faisant=
mes
courses ...

Le responsable de Segpa a r=E9agi =E0 cette situation en me sortant de
cette classe. Mais Mme Hervieu n'a pas appr=E9ci=E9 cette d=E9cision et a
impos=E9 mon retour 4 jours plus tard.


Le travail que je m=E8ne n'est pas conforme aux missions d'un assistant
p=E9dagogique. Nous ne sommes pas l=E0 pour mettre de l'ordre dans les
classes. Je me suis entretenue avec l'adjointe, Mme Morel sur ce
sujet. Elle a propos=E9 de passer de temps en temps dans la classe.
Mais, alors que j'avais demand=E9 =E0 ce que un assistant d'=E9ducation soi=
t
constamment pr=E9sent =E0 proximit=E9 et qu'il y ait, si possible,
partiellement, une personne suppl=E9mentaire. Rien n' a =E9t=E9 fait qui
aille dans ce sens.


[ La dangerosit=E9 de ce contexte se r=E9sumera ainsi : alors que j'=E9tais
absente le lundi 16 juin, (l'accident s'est produit entre 11 et 12
heure et je finissais =E0 11 heure), leur professeur a re=E7u un compas
dans le dos. Elle a =E9t=E9 arr=EAt=E9e une semaine. Elle avait, deux semai=
nes
avant cette agression, contact=E9 l'Autonome de solidarit=E9 la=EFque. ]



Je trouve =E9trange qu'on cherche =E0 tout prix =E0 me laisser dans ce
climat de danger et que dans un m=EAme temps on ne cherche pas
manifestement =E0 calmer ces classes.


Mardi 6 Mai : Je croise la m=E8re de K=E9vin, l'enfant fess=E9, et lui
relate ce qui s'est pass=E9. La m=E8re de K=E9vin me dit ne pas avoir =E9t=
=E9
mis au courant ! Le seul engagement qu'avait pris Mr Patrick Deplanque
=E9tait de pr=E9venir les parents de l'enfant concern=E9 (concernant
l'enfant fess=E9 par la directrice, Luciano, il avait soigneusement
contourn=E9 le sujet).


Jeudi 29 Mai : Le responsable de la SEGPA, prend la d=E9cision de me
retirer de cette classe, de me faire travailler avec lui et avec une
autre professeur de SEGPA avec les 4=E8me, de prendre les =E9l=E8ves de la
classe de 6=E8me dans laquelle je travaillais auparavant,
individuellement et de leur donner des cours de soutien.


Mardi 3 juin : Lorsque j'arrive =E0 8 heure le CPE m'annonce que la
direction me donne l'ordre de retourner avec dans les classes o=F9 le
d=E9sordre le plus total r=E8gne et o=F9 on m'a r=E9cemment insult=E9 de "p=
ute"
et entour=E9 au supermarch=E9 du coin.

J'y retourne donc.


Mercredi 11 juin : Mon ami, Yanick Toutain et moi m=EAme sommes
auditionn=E9s par la police. Mme Carole Hervieu et Mme V=E9ronique Combret
ont port=E9 plainte pour diffamation. Yanick Toutain les a d=E9nonc=E9es su=
r
Internet en qualifiant de "brute" V=E9ronique Combret qui avoue avoir
tap=E9 Luciano et d'"incapable" Carole Hervieu.


Le dossier des plaintes contient : les impressions des articles
d'Internet (d=E9bats usenet o=F9 quiconque le souhaite, peut =E9crire
librement ses r=E9ponses), la lettre que j'ai envoy=E9e =E0 Mr Deplanque et
une lettre qui m'a =E9t=E9 pr=E9sent=E9e par le policier comme une r=E9pons=
e de
Mme Combret =E0 la lettre que j'avais envoy=E9e =E0 Mr Deplanque; cette
lettre date du 19 mars (de m=E9moire) (date ou les syndicats =E9taient
re=E7us par l'Inspecteur d'acad=E9mie).


Je n'avais jamais vu cette lettre. Ni Mme Hervieu, ni Mr Deplanque, ni
l'Inspecteur d'acad=E9mie n'ont remis en cause les faits lorsque je le
leur ai expos=E9s.


Et, voila que j'apprends le 11 juin, alors que je suis interrog=E9e par
le policier pour diffamation que Mme Combret a =E9crit que j'ai
menti !!!


Je n'ai pas pris tous ces risques (menace de licenciement, d' arr=EAt
sur salaire, harc=E8lement, contrat possiblement non renouvel=E9) pour
qu'on m'accuse de mensonge !!


Ma d=E9termination concernant le combat contre la violence sur les
enfants s'est d'autant plus renforc=E9.


Je ne m'arr=EAterai jamais de d=E9noncer les gens qui tapent les enfants
quoi qu'il arrive!!!


Je consid=E8re que l'utilisation des m=E9dias =E0 notre disposition est le
meilleur moyen de mener ce combat.

Par ailleurs, si l'affaire avait =E9t=E9 r=E9gl=E9 en interne rapidement., =
ces
textes =E9cris par Yanick Toutain n'auraient pas eu de raison d'=EAtre.



Mardi 17 juin : Je remarque sur Internet que les histoires des =E9l=E8ves
de CP mises en ligne en juin 2007 ne sont plus visibles du site du
coll=E8ge. Je vous demande de les remettre pour l'int=E9r=EAt des enfants.


Alors que je passe au local de la PEEP, Mme Marais, qui m'avait jusque
l=E0 soutenu et donn=E9 des conseils a une attitude compl=E8tement
diff=E9rente. Elle craint que je ne r=E9p=E8te le soutien qu'elle m'a
apport=E9.

Elle exige en criant que Yanick Toutain ne cite pas son nom sur
Internet et r=E9p=E8te deux fois qu'elle m'aurait "support=E9" en se
contentant de me donner des conseils.

Cette dame peut avoir la t=EAte haute sur tout le d=E9roulement initial de
cette affaire : elle fut une des rares =E0 mettre l'int=E9r=EAt des enfants
au premier plan.

Elle dit maintenant ne plus rien vouloir avoir =E0 faire avec "cette
histoire" et se retranche derri=E8re le fait que les parents des enfants
ne sont pas venus la voir.

Elle ne veut plus rien faire.


Ce revirement =E9trange semble totalement incompr=E9hensible. J'ai cru
d=E9celer de la peur dans sa col=E8re.

Peut-=EAtre a-t-elle re=E7u des menaces ...


Ce m=EAme-jour, monsieur Rufenacht, maire du Havre, rencontr=E9 par hasard
dans une rue du Havre a =E9t=E9 inform=E9 personnellement : "faisons un
front commun contre les coups envers les petits de trois ans" lui a
propos=E9 Yanick Toutain.

Il a conclu en promettant de mener l'enqu=EAte.


Notes :


N'ont pas =E9t=E9 inscrites pour plus de clart=E9 toutes mes correspondance=
s
avec les deux associations de parents d'=E9l=E8ves , la PEEP et la FCPE,
les pr=E9sidentes sont choqu=E9es par l'=E9touffement de cette affaire et
les attaques contre celle qui d=E9nonce. J'ai aussi effectu=E9 des
d=E9marches =E0 la mairie du Havre aupr=E8s de l'adjointe au maire charg=E9=
e
de l'enseignement gr=E2ce =E0 leurs soutiens. Et, j'ai re=E7u un mail de Mm=
e
Nathalie Martinet, chef du service coordination et Gestion du
personnel, qui me dit avoir pr=E9venu l'=E9ducation nationale et avoir
fait le n=E9cessaire (je ne connais pas les d=E9tails)


J'ai pu voir =E0 quel point ceux qui ne tol=E9raient pas ce type de
traitement envers les enfants =E9taient malmen=E9s. Cette plainte en
diffamation est la goutte d'eau qui fait d=E9border le vase. Non
seulement, on vous traite de menteur lorsque vous d=E9noncez de tels
actes (lettre de Mme Combret soutenue par Mme Hervieu qui a port=E9
plainte le m=EAme jour), on vous harc=E8le (Mr Deplanque et Mme Hervieu
m'ont cherch=E9 des fautes professionnelles et ont remis en cause ma
capacit=E9 =E0 devenir professeur des =E9coles), on ne vous prot=E8ge pas (=
une
hi=E9rarchie pour qui la violence contre les enfants n'est pas un sujet
=E0 banaliser m'aurait prot=E9g=E9. Et, de suite il m'aurait retir=E9 de ce
lieu. De plus, alors que j'avais =E9t=E9 remplac=E9e, on a continu=E9 =E0 m=
e
harceler pour que je retourne =E0 la maternelle).



J'avais d=E9j=E0 d=E9nonc=E9 les plaisanteries grivoises et le coup de pied
aux fesses qu'un professeur d'UPI avait donn=E9 =E0 une =E9l=E8ve (coll=E8g=
e L=E9o
Lagrange au Havre). Et j'ai vu mon contrat ne pas =EAtre renouvel=E9. Je
ne suis pas dans l'=E9ducation nationale pour assister passivement =E0 des
violences physiques contre les =E9l=E8ves.


Par ailleurs, la population doit =EAtre avertie de ce genre d'affaire.
C'est pourquoi, plusieurs textes sont visibles sur la toile.


=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D
J'ai aussi =E9crit:
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-lcole-on-laisse-le-personnel.h=
tml

Lire les derniers textes de Yanick Toutain qui rapportent mon
t=E9moignage (il est menac=E9 d'=EAtre poursuivi en diffamation par une des
deux coupables.)
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/fesses-contre-kevin-et-luciano-je-suis.=
html
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/la-brute-soutient-la-brute.html
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/bayrou-darcos-laboureur-combret-hervieu=
.html
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-contre-les-enfants-nous-avons.=
html
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violences-contre-les-enfants-lutte-des.=
html

10 réponses

1 2 3 4 5
Avatar
Stephane Catteau
Julie Amadis n'était pas loin de dire :

Cette chronologie va être postée pour le recteur de l'Académie de
Rouen



Et quelqu'un est suffisement stupide pour croire que la boîte aux
lettres, furent-elles électronique, de ce monsieur est l'un des forums
polués ?


(Yanick Toutain est sous la menace d'une inculpation suite à une
plainte en diffamation



Depuis le temps qu'il enchaîne les inepties et les propos à même de
lui valoir ce genre de plainte, il est plus que temps qu'il apprenne
que la liberté d'expression n'équivaut pas au droit d'insulter les gens
parce qu'ils n'ont pas le même avis que lui ou, pire, parce qu'ils ont
osé lui dire qu'il devrait arrêter la fumette.


[Snip un magnifique message qui vous vaudra probablement de rejoindre
Yanick Toutain sur le banc des accusés]


Fu2 (suivi de la discussion sur le forum) fr.misc.droit.internet
Avatar
dmkgbt
Stephane Catteau wrote:

Julie Amadis n'était pas loin de dire :



> (Yanick Toutain est sous la menace d'une inculpation suite à une
> plainte en diffamation

Depuis le temps qu'il enchaîne les inepties et les propos à même de
lui valoir ce genre de plainte, il est plus que temps qu'il apprenne
que la liberté d'expression n'équivaut pas au droit d'insulter les gens
parce qu'ils n'ont pas le même avis que lui ou, pire, parce qu'ils ont
osé lui dire qu'il devrait arrêter la fumette.



Tiens, vous ne parlez pas de terrorisme judiciaire à propos de cette
plainte ?


[Snip un magnifique message qui vous vaudra probablement de rejoindre
Yanick Toutain sur le banc des accusés]



Ha bon ?

Fu2 (suivi de la discussion sur le forum) fr.misc.droit.internet



Hum.
Je propose un petit détour...
--
Dominique G
Avatar
dmkgbt
Stephane Catteau wrote:

Julie Amadis n'était pas loin de dire :



> (Yanick Toutain est sous la menace d'une inculpation suite à une
> plainte en diffamation

Depuis le temps qu'il enchaîne les inepties et les propos à même de
lui valoir ce genre de plainte, il est plus que temps qu'il apprenne
que la liberté d'expression n'équivaut pas au droit d'insulter les gens
parce qu'ils n'ont pas le même avis que lui ou, pire, parce qu'ils ont
osé lui dire qu'il devrait arrêter la fumette.



Tiens, vous ne parlez pas de terrorisme judiciaire à propos de cette
plainte ?


[Snip un magnifique message qui vous vaudra probablement de rejoindre
Yanick Toutain sur le banc des accusés]



Ha bon ?

Fu2 (suivi de la discussion sur le forum) fr.misc.droit.internet



Hum.
Je propose un petit détour...
--
Dominique G
Avatar
Stephane Catteau
Dominique G n'était pas loin de dire :

Tiens, vous ne parlez pas de terrorisme judiciaire à propos de cette
plainte ?



Madame Dominique Gobeaut, je vous prie de garder pour vous vos
insinuations nauséabondes. Je n'ai jamais utilisé les termes de
"terrorisme judiciaire", pas plus à votre encore qu'à l'encontre de
n'importe qui d'autre.

Je vous prie donc, sans croire plus que cela que vous aurez la bonne
foi de le faire, madame Dominique Gobeaut, de vous excuser sur le champ
pour vos propos à mon égard.


Fu2 (suivi de la discussion sur le forum) fr.misc.droit.internet (par
défaut)
Avatar
Stephane Catteau
Dominique G n'était pas loin de dire :

Tiens, vous ne parlez pas de terrorisme judiciaire à propos de cette
plainte ?



Madame Dominique Gobeaut, je vous prie de garder pour vous vos
insinuations nauséabondes. Je n'ai jamais utilisé les termes de
"terrorisme judiciaire", pas plus à votre encore qu'à l'encontre de
n'importe qui d'autre.

Je vous prie donc, sans croire plus que cela que vous aurez la bonne
foi de le faire, madame Dominique Gobeaut, de vous excuser sur le champ
pour vos propos à mon égard.


Fu2 (suivi de la discussion sur le forum) fr.misc.droit.internet (par
défaut)
Avatar
Julie Amadis
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/lettre-au-recteur-de-lacadmie-de-rouen. html
postée en recommandé accusé de réception le jeudi 19 juin 2008
========================= ========
De Julie Amadis,

assistante pédagogique

collège Eugène Varlin Le Havre



A l'intention de Monsieur le Recteur de Rouen,


PJ :

- Chronologie du déroulement des faits

- Contrat de travail

- Lettre de mission 2006/2007

- Lettre de menace de retenue sur salaire

- Mail de Mr Deplanque

- Lettre remise à l'Inspecteur d'académie


Objet :

Affaire de fessées dénoncées (faits étouffés)

Le Havre,

Le 19 avril 2008


Monsieur le Recteur,


Je vous rappelle brièvement les faits évoqués à la personne charg ée
des affaires juridiques au rectorat lors de mon appel du Jeudi 27
Mars.

Le 22 mars, j'ai reçu en accusé de réception une lettre de mise en
demeure avec menace de retenue sur salaire suite à mon refus de
travailler dans une école ou j'avais dénoncé une fessée auprès de la
directrice de maternelle Mme Véronique Combret qui a couvert son ATSEM
en avouant avoir déjà agi de manière similaire : ""par exemple
Luciano, ça m'est déjà arrivé de lui mettre une fessée et je n'ai pas
pour autant culpabilisé car à ce moment là, il y a que comme ça qu' il
pouvait comprendre"".


Cette affaire a été étouffée par toute la hiérarchie.


Lors de mon entretien avec Mr Deplanque vendredi 14 Mars, j'ai
clairement exprimé ma position : "je ne retournerai pas dans cette
maternelle tant qu'aucune sanction ne sera prise contre les personnes
qui ont tapé les enfants". Rien n'a été fait qui aille dans ce sens.
L'enquête n'a même pas été menée. Les parents du petit Kevin n'on t pas
été mis au courant de cette affaire. (j'ai rencontré, par hasard, sa
mère, il y a un mois). Je suppose qu'il en est de même pour le petit
Luciano (je n'ai pas vu ses parents depuis).


J'attends de vous que vous meniez enfin l'enquête concernant ce qu'ont
subi Kévin et Luciano et que vous fassiez le nécessaire pour protéger
les enfants de cette école.

Aussi, j'espère que les mesures nécessaires pour qu'à l'avenir de tel s
évènements ne se reproduisent plus, seront prises. Le personnel de
l'éducation nationale ne doit à aucun moment lever la main sur un
enfant.


Depuis mon appel téléphonique au rectorat, l'ignominie envers ceux qui
combattent la violence envers les enfants a atteint un degré
supplémentaire. Il ne 'agit plus ni de harcèlement, ni de menace de
retenue sur salaire mais de plainte en diffamation.

Mme Carole Hervieu, principale du collège Eugène Varlin et Mme
Véronique Combret, directrice d'école porte plainte parce que mon ami
Yanick Toutain a rapporté, tel un journaliste, les faits dont elles
sont protagonistes, sur Internet, en y ajoutant le qualificatif de
"brute" pour Véronique Combret qui avoue avoir fessé Luciano, 4 ans et
d'"incapable" Carole Hervieu qui a étouffé cette affaire, qui m'a
harcelé et menacé de retenue sur salaire et de licenciement. Mme
Véronique Combret ose me traiter de menteuse.

Je tiens à vous préciser, monsieur le Recteur, que personne ne m'avait
jamais avant ces dames traité de menteuse (cf. lettre de Véronique
Combret intégrée au dossier de plainte qui ose prétendre "Julie Amadi s
a donc menti")

Ce n'est certainement pas concernant les brutalités subies par deux
petits de trois et quatre ans que je vais laisser de pareilles
insultes calomniatrices se répandre.

Les menaces pour faire taire les témoins de violence contre des petits
sont véritablement des méthodes scandaleuses.

Je ne commencerai pas une carrière d'enseignante en cautionnant tout
cela par mon silence. Je ne cèderai devant aucune intimidation.

Je précise que l'inspecteur d'Académie en résidence au Havre qui
s'était engagé, devant une délégation de plusieurs syndicalistes, à me
convoquer, ne l'a jamais fait.


En conséquence, et comme votre responsable des affaires juridiques
joint au téléphone me l'avait conseillé, je vous écris le déroule ment
des faits sous une forme chronologique (voir ci-joint la chronologie).


Je vous remercie d'étudier avec sérieux ce dossier.


(Naturellement, au vu de l'ampleur des pressions inqualifiables dont
je suis l'objet, je rends ce courrier public.)


Veuillez recevoir, Monsieur Le Recteur, mes meilleures salutations


Julie Amadis

Assistante pédagogique au collège Eugène Varlin, le Havre


PS : il y a un troisième cas de violence, parentale celle-là, avec
refus de signalement sur cette école maternelle Varlin. (menton
recousu à l'hôpital). Le petit Jordan (4 ans) m'a déclaré "Ma mèr e m'a
claqué par terre". Plusieurs enseignantes l'avaient déjà entendu leur
dire. Sans aucune réaction. Elle se sont moquées de moi. Je l'avais
aussi signalé à madame Hervieu ainsi qu'à l'infirmière de l'école et
l'assistante sociale du collège.


PPS : J'ai découvert hier que mon travail avec des petits élèves de C P
(mise en ligne de 6 histoires écrites entièrement et illustrées par 6 0
petits enfants de cours préparatoire) a été effacé du site du coll ège
Varlin.

Je trouve, là encore, ces méthodes scandaleuses : quand on veut
accuser son chien on dit qu'il a la rage. Il s'agit pour les
protagonistes de cette affaire d'effacer toute preuve de mes
compétences professionnelles.

Cette fois-ci, encore, au détriment des enfants : tous les travaux des
élèves devront être archivés pour qu'ils puissent les consulter tou t
au long de leur vie et les montrer à leurs propres enfants et petits-
enfants.

Je réclame de vos services que ces textes soient remis en ligne aux
mêmes adresses télématiques que précédemment : Je ne suis pas dup e du
fait qu'il s'agit de déclencher des erreurs pour celles et ceux qui
voudraient suivre les liens que j'ai déposés sur Internet depuis deux
ans pour faire connaître mon travail et celui des petits élèves de
cours préparatoires.

Sachez que si vos services persistaient à censurer ces travaux, je
mettrai en ligne moi-même les histoires des petits écrivains.(De toute
façon Google a archivé la preuve de ces effacements)
Avatar
Julie Amadis
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/lettre-au-recteur-de-lacadmie-de-rouen. html
postée en recommandé accusé de réception le jeudi 19 juin 2008
========================= ========
De Julie Amadis,

assistante pédagogique

collège Eugène Varlin Le Havre



A l'intention de Monsieur le Recteur de Rouen,


PJ :

- Chronologie du déroulement des faits

- Contrat de travail

- Lettre de mission 2006/2007

- Lettre de menace de retenue sur salaire

- Mail de Mr Deplanque

- Lettre remise à l'Inspecteur d'académie


Objet :

Affaire de fessées dénoncées (faits étouffés)

Le Havre,

Le 19 avril 2008


Monsieur le Recteur,


Je vous rappelle brièvement les faits évoqués à la personne charg ée
des affaires juridiques au rectorat lors de mon appel du Jeudi 27
Mars.

Le 22 mars, j'ai reçu en accusé de réception une lettre de mise en
demeure avec menace de retenue sur salaire suite à mon refus de
travailler dans une école ou j'avais dénoncé une fessée auprès de la
directrice de maternelle Mme Véronique Combret qui a couvert son ATSEM
en avouant avoir déjà agi de manière similaire : ""par exemple
Luciano, ça m'est déjà arrivé de lui mettre une fessée et je n'ai pas
pour autant culpabilisé car à ce moment là, il y a que comme ça qu' il
pouvait comprendre"".


Cette affaire a été étouffée par toute la hiérarchie.


Lors de mon entretien avec Mr Deplanque vendredi 14 Mars, j'ai
clairement exprimé ma position : "je ne retournerai pas dans cette
maternelle tant qu'aucune sanction ne sera prise contre les personnes
qui ont tapé les enfants". Rien n'a été fait qui aille dans ce sens.
L'enquête n'a même pas été menée. Les parents du petit Kevin n'on t pas
été mis au courant de cette affaire. (j'ai rencontré, par hasard, sa
mère, il y a un mois). Je suppose qu'il en est de même pour le petit
Luciano (je n'ai pas vu ses parents depuis).


J'attends de vous que vous meniez enfin l'enquête concernant ce qu'ont
subi Kévin et Luciano et que vous fassiez le nécessaire pour protéger
les enfants de cette école.

Aussi, j'espère que les mesures nécessaires pour qu'à l'avenir de tel s
évènements ne se reproduisent plus, seront prises. Le personnel de
l'éducation nationale ne doit à aucun moment lever la main sur un
enfant.


Depuis mon appel téléphonique au rectorat, l'ignominie envers ceux qui
combattent la violence envers les enfants a atteint un degré
supplémentaire. Il ne 'agit plus ni de harcèlement, ni de menace de
retenue sur salaire mais de plainte en diffamation.

Mme Carole Hervieu, principale du collège Eugène Varlin et Mme
Véronique Combret, directrice d'école porte plainte parce que mon ami
Yanick Toutain a rapporté, tel un journaliste, les faits dont elles
sont protagonistes, sur Internet, en y ajoutant le qualificatif de
"brute" pour Véronique Combret qui avoue avoir fessé Luciano, 4 ans et
d'"incapable" Carole Hervieu qui a étouffé cette affaire, qui m'a
harcelé et menacé de retenue sur salaire et de licenciement. Mme
Véronique Combret ose me traiter de menteuse.

Je tiens à vous préciser, monsieur le Recteur, que personne ne m'avait
jamais avant ces dames traité de menteuse (cf. lettre de Véronique
Combret intégrée au dossier de plainte qui ose prétendre "Julie Amadi s
a donc menti")

Ce n'est certainement pas concernant les brutalités subies par deux
petits de trois et quatre ans que je vais laisser de pareilles
insultes calomniatrices se répandre.

Les menaces pour faire taire les témoins de violence contre des petits
sont véritablement des méthodes scandaleuses.

Je ne commencerai pas une carrière d'enseignante en cautionnant tout
cela par mon silence. Je ne cèderai devant aucune intimidation.

Je précise que l'inspecteur d'Académie en résidence au Havre qui
s'était engagé, devant une délégation de plusieurs syndicalistes, à me
convoquer, ne l'a jamais fait.


En conséquence, et comme votre responsable des affaires juridiques
joint au téléphone me l'avait conseillé, je vous écris le déroule ment
des faits sous une forme chronologique (voir ci-joint la chronologie).


Je vous remercie d'étudier avec sérieux ce dossier.


(Naturellement, au vu de l'ampleur des pressions inqualifiables dont
je suis l'objet, je rends ce courrier public.)


Veuillez recevoir, Monsieur Le Recteur, mes meilleures salutations


Julie Amadis

Assistante pédagogique au collège Eugène Varlin, le Havre


PS : il y a un troisième cas de violence, parentale celle-là, avec
refus de signalement sur cette école maternelle Varlin. (menton
recousu à l'hôpital). Le petit Jordan (4 ans) m'a déclaré "Ma mèr e m'a
claqué par terre". Plusieurs enseignantes l'avaient déjà entendu leur
dire. Sans aucune réaction. Elle se sont moquées de moi. Je l'avais
aussi signalé à madame Hervieu ainsi qu'à l'infirmière de l'école et
l'assistante sociale du collège.


PPS : J'ai découvert hier que mon travail avec des petits élèves de C P
(mise en ligne de 6 histoires écrites entièrement et illustrées par 6 0
petits enfants de cours préparatoire) a été effacé du site du coll ège
Varlin.

Je trouve, là encore, ces méthodes scandaleuses : quand on veut
accuser son chien on dit qu'il a la rage. Il s'agit pour les
protagonistes de cette affaire d'effacer toute preuve de mes
compétences professionnelles.

Cette fois-ci, encore, au détriment des enfants : tous les travaux des
élèves devront être archivés pour qu'ils puissent les consulter tou t
au long de leur vie et les montrer à leurs propres enfants et petits-
enfants.

Je réclame de vos services que ces textes soient remis en ligne aux
mêmes adresses télématiques que précédemment : Je ne suis pas dup e du
fait qu'il s'agit de déclencher des erreurs pour celles et ceux qui
voudraient suivre les liens que j'ai déposés sur Internet depuis deux
ans pour faire connaître mon travail et celui des petits élèves de
cours préparatoires.

Sachez que si vos services persistaient à censurer ces travaux, je
mettrai en ligne moi-même les histoires des petits écrivains.(De toute
façon Google a archivé la preuve de ces effacements)
Avatar
dmkgbt
Stephane Catteau wrote:

Dominique G n'était pas loin de dire :

> Tiens, vous ne parlez pas de terrorisme judiciaire à propos de cette
> plainte ?

Madame Dominique Gobeaut, je vous prie de garder pour vous vos
insinuations nauséabondes. Je n'ai jamais utilisé les termes de
"terrorisme judiciaire", pas plus à votre encore qu'à l'encontre de
n'importe qui d'autre.



Oui et ?

Je vous prie donc, sans croire plus que cela que vous aurez la bonne
foi de le faire, madame Dominique Gobeaut, de vous excuser sur le champ
pour vos propos à mon égard.



DTC :-)

Fu2 (suivi de la discussion sur le forum) fr.misc.droit.internet (par
défaut)



J'ai une autre idée.

--
Dominique G
Avatar
Stephane Catteau
Dominique G devait dire quelque chose comme ceci :

Je vous prie donc, sans croire plus que cela que vous aurez la bonne
foi de le faire, madame Dominique Gobeaut, de vous excuser sur le champ
pour vos propos à mon égard.



DTC :-)



Je n'en attendais pas moins de vous, madame Dominique Gobeaut. Vous
avez une grande gueule lorsque vous êtes bien planquée derrière un
serveur anonymisant et lorsqu'il s'agit de parler sans relache des
plaintes que vous avez déposées et qui ont abouties à un non-lieu en
première instance, mais dès lors qu'il s'agit d'assumer vos propos
infamants, c'est une toute autre histoire.
Avatar
dmkgbt
Stephane Catteau wrote:

Dominique G devait dire quelque chose comme ceci :

>> Je vous prie donc, sans croire plus que cela que vous aurez la bonne
>> foi de le faire, madame Dominique Gobeaut, de vous excuser sur le champ
>> pour vos propos à mon égard.
>
> DTC :-)

Je n'en attendais pas moins de vous, madame Dominique Gobeaut. Vous
avez une grande gueule lorsque vous êtes bien planquée derrière un
serveur anonymisant



Mon serveur est celui de l'Université de Berlin et n'est pas
anonymisant.
Il est même réputé pour faire droit avec diligence aux commissions
rogatoires internationales envoyées par un juge français, dans le cadre
de la coopération judiciaire européenne.


et lorsqu'il s'agit de parler sans relache des
plaintes que vous avez déposées et qui ont abouties à un non-lieu en
première instance



Arf, vous êtes sur un groupe de droit, ici, alors j'ai pitié et je vous
explique.
Un non-lieu est prononcé par un juge d'instruction sous la forme d'une
Ordonnance.
Il n'y a donc pas de "première instance" puisqu'on se situe à la fin de
la procédure d'instruction.

Bon, cette Ordonnance est susceptible d'appel devant la Chambre de
l'instruction et celle-ci décide soit de confirmer le non-lieu soit de
renvoyer au juge d'instruction pour complément d'information.

Et figurez vous que, justement...non, je ne vous dis rien, vous aurez la
surprise.

, mais dès lors qu'il s'agit d'assumer vos propos
infamants, c'est une toute autre histoire.



Faites ce que vous conseillez aux autres.

--
Dominique G
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