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Guillermito
In article , says...
J'aimerais savoir quelles sont les applications de l'Intelligence Artificielle à la Virologie Informatique.
Le seul exemple pratique que je connais est HMVS, un scanner pour virus macros qui n'existe plus depuis longtemps, et qui utilisait un réseau neuronal, entrainé sur une collection de virus connus, pour détecter de nouveaux virus inconnus.
http://www.freedownloadscenter.com/Utilities/Anti-Virus_Utilities/HMVS.ht ml
-- Guillermito http://www.guillermito2.net
In article <mn.15587d53770f9dc6.27222@wanadoo.fr>, wawaye@wanadoo.fr
says...
J'aimerais savoir quelles sont les applications de l'Intelligence
Artificielle à la Virologie Informatique.
Le seul exemple pratique que je connais est HMVS, un scanner pour virus
macros qui n'existe plus depuis longtemps, et qui utilisait un réseau
neuronal, entrainé sur une collection de virus connus, pour détecter de
nouveaux virus inconnus.
http://www.freedownloadscenter.com/Utilities/Anti-Virus_Utilities/HMVS.ht
ml
J'aimerais savoir quelles sont les applications de l'Intelligence Artificielle à la Virologie Informatique.
Le seul exemple pratique que je connais est HMVS, un scanner pour virus macros qui n'existe plus depuis longtemps, et qui utilisait un réseau neuronal, entrainé sur une collection de virus connus, pour détecter de nouveaux virus inconnus.
http://www.freedownloadscenter.com/Utilities/Anti-Virus_Utilities/HMVS.ht ml
-- Guillermito http://www.guillermito2.net
Pierre Vandevenne
wawaye wrote in news:mn.15587d53770f9dc6.27222 @wanadoo.fr:
Bonsoir, J'aimerais savoir quelles sont les applications de l'Intelligence Artificielle à la Virologie Informatique. Merci...
comme la plupart des papiers virus de Kephart, qui ont été publiés et republiés à mort par une certaine presse "scientifique", ce genre de truc mérite de trouver une place dans les "annales de la recherche improbable".
C'est, dans le cas présent, perdre toute perspective quand à l'importance du sujet (les virus de boot, un truc d'avenir en 1999), abandonner tout réalisme quant aux moyens déployés (un réseau neuronal c'est lourd pour compter en gros les appels aux interruptions 13h).
-- Pierre Vandevenne - DataRescue sa/nv - www.datarescue.com The IDA Pro Disassembler & Debugger - world leader in hostile code analysis PhotoRescue - advanced data recovery for digital photographic media latest review: http://www.pcmag.com/article2/0,1759,1590497,00.asp
wawaye <wawaye@wanadoo.fr> wrote in news:mn.15587d53770f9dc6.27222
@wanadoo.fr:
Bonsoir,
J'aimerais savoir quelles sont les applications de l'Intelligence
Artificielle à la Virologie Informatique.
Merci...
comme la plupart des papiers virus de Kephart, qui ont été publiés et
republiés à mort par une certaine presse "scientifique", ce genre de truc
mérite de trouver une place dans les "annales de la recherche improbable".
C'est, dans le cas présent, perdre toute perspective quand à l'importance
du sujet (les virus de boot, un truc d'avenir en 1999), abandonner tout
réalisme quant aux moyens déployés (un réseau neuronal c'est lourd pour
compter en gros les appels aux interruptions 13h).
--
Pierre Vandevenne - DataRescue sa/nv - www.datarescue.com
The IDA Pro Disassembler & Debugger - world leader in hostile code analysis
PhotoRescue - advanced data recovery for digital photographic media
latest review: http://www.pcmag.com/article2/0,1759,1590497,00.asp
comme la plupart des papiers virus de Kephart, qui ont été publiés et republiés à mort par une certaine presse "scientifique", ce genre de truc mérite de trouver une place dans les "annales de la recherche improbable".
C'est, dans le cas présent, perdre toute perspective quand à l'importance du sujet (les virus de boot, un truc d'avenir en 1999), abandonner tout réalisme quant aux moyens déployés (un réseau neuronal c'est lourd pour compter en gros les appels aux interruptions 13h).
-- Pierre Vandevenne - DataRescue sa/nv - www.datarescue.com The IDA Pro Disassembler & Debugger - world leader in hostile code analysis PhotoRescue - advanced data recovery for digital photographic media latest review: http://www.pcmag.com/article2/0,1759,1590497,00.asp
Guillermito
In article , says...
comme la plupart des papiers virus de Kephart, qui ont été publiés et republiés à mort par une certaine presse "scientifique", ce genre de truc mérite de trouver une place dans les "annales de la recherche improbable".
Tiens, d'ailleurs, je n'ai jamais vu qu'un seul et unique cas de papier scientifique publié dans une revue, disons, de "hard science" (pas de vulgarisation) dont le sujet était centré sur les virus informatiques. Si je me souviens bien, c'était dans Science, et ça parlait plus ou moins d'épidémiologie simulée d'un virus ou d'un worm dans un réseau. Les auteurs faisaient varier divers paramètres du réseau (nombre de noeuds, de connexions, de sous-réseaux...) et observaient ce que ça donnait au niveau de la diffusion du ver. J'ai un peu la flemme de retrouver la référence exacte.
Ah, sinon une fois j'ai vu un article d'écologie in silico qui utilisait Tierra. Mais on s'éloigne des virus, là.
C'est, dans le cas présent, perdre toute perspective quand à l'importance du sujet (les virus de boot, un truc d'avenir en 1999), abandonner tout réalisme quant aux moyens déployés (un réseau neuronal c'est lourd pour compter en gros les appels aux interruptions 13h).
C'est lourd, mais c'est marrant. Et puis bon, IBM peut se permettre de payer quelques chercheurs à perdre leur temps sur divers problèmes sans intérêt pratique et immédiat. Ca me rappelle le type qui utilise des algorithmes complexes de reconnaissance de forme pour savoir si son chat a le droit de rentrer dans la maison :)
In article <Xns960F629BF03Fdatarescue@194.183.224.11>, pierre@datarescue.com
says...
comme la plupart des papiers virus de Kephart, qui ont été publiés et
republiés à mort par une certaine presse "scientifique", ce genre de truc
mérite de trouver une place dans les "annales de la recherche improbable".
Tiens, d'ailleurs, je n'ai jamais vu qu'un seul et unique cas de papier
scientifique publié dans une revue, disons, de "hard science" (pas de
vulgarisation) dont le sujet était centré sur les virus informatiques. Si je
me souviens bien, c'était dans Science, et ça parlait plus ou moins
d'épidémiologie simulée d'un virus ou d'un worm dans un réseau. Les auteurs
faisaient varier divers paramètres du réseau (nombre de noeuds, de
connexions, de sous-réseaux...) et observaient ce que ça donnait au niveau de
la diffusion du ver. J'ai un peu la flemme de retrouver la référence exacte.
Ah, sinon une fois j'ai vu un article d'écologie in silico qui utilisait
Tierra. Mais on s'éloigne des virus, là.
C'est, dans le cas présent, perdre toute perspective quand à l'importance
du sujet (les virus de boot, un truc d'avenir en 1999), abandonner tout
réalisme quant aux moyens déployés (un réseau neuronal c'est lourd pour
compter en gros les appels aux interruptions 13h).
C'est lourd, mais c'est marrant. Et puis bon, IBM peut se permettre de payer
quelques chercheurs à perdre leur temps sur divers problèmes sans intérêt
pratique et immédiat. Ca me rappelle le type qui utilise des algorithmes
complexes de reconnaissance de forme pour savoir si son chat a le droit de
rentrer dans la maison :)
comme la plupart des papiers virus de Kephart, qui ont été publiés et republiés à mort par une certaine presse "scientifique", ce genre de truc mérite de trouver une place dans les "annales de la recherche improbable".
Tiens, d'ailleurs, je n'ai jamais vu qu'un seul et unique cas de papier scientifique publié dans une revue, disons, de "hard science" (pas de vulgarisation) dont le sujet était centré sur les virus informatiques. Si je me souviens bien, c'était dans Science, et ça parlait plus ou moins d'épidémiologie simulée d'un virus ou d'un worm dans un réseau. Les auteurs faisaient varier divers paramètres du réseau (nombre de noeuds, de connexions, de sous-réseaux...) et observaient ce que ça donnait au niveau de la diffusion du ver. J'ai un peu la flemme de retrouver la référence exacte.
Ah, sinon une fois j'ai vu un article d'écologie in silico qui utilisait Tierra. Mais on s'éloigne des virus, là.
C'est, dans le cas présent, perdre toute perspective quand à l'importance du sujet (les virus de boot, un truc d'avenir en 1999), abandonner tout réalisme quant aux moyens déployés (un réseau neuronal c'est lourd pour compter en gros les appels aux interruptions 13h).
C'est lourd, mais c'est marrant. Et puis bon, IBM peut se permettre de payer quelques chercheurs à perdre leur temps sur divers problèmes sans intérêt pratique et immédiat. Ca me rappelle le type qui utilise des algorithmes complexes de reconnaissance de forme pour savoir si son chat a le droit de rentrer dans la maison :)
C'est lourd, mais c'est marrant. Et puis bon, IBM peut se permettre de payer quelques chercheurs à perdre leur temps sur divers problèmes sans intérêt pratique et immédiat.
et qui n'en auront jamais. Ce n'est pas différent de la reconnaissance d'un A parmi des assemblage divers de trois segments de droite.
Et cela a un effet pervers que tu apprécieras, je suis sûr: le fait qu'IBM se livre à de telles idioties donne une certaine crédibilité à n'importe quel zozo qui prétendrait avoir développé une méthode infaillible basée sur des techniques avancées ésotériques ;-)
Tiens, je ferais bien un petit réseau neuronal qui examine les binaires d'un anti-virus et détermine s'il a besoin de mise-à-jour ou pas :-)
Ca me rappelle le type qui utilise des algorithmes complexes de reconnaissance de forme pour savoir si son chat a le droit de rentrer dans la maison :)
Bof, il ne reconnait même pas son chat, juste s'il a quelque chose en bouche... ;-)
Guillermito <guillermito@pipo.com> wrote in
news:4227b3bd$0$3984$636a15ce@news.free.fr:
C'est lourd, mais c'est marrant. Et puis bon, IBM peut se permettre de
payer quelques chercheurs à perdre leur temps sur divers problèmes
sans intérêt pratique et immédiat.
et qui n'en auront jamais. Ce n'est pas différent de la reconnaissance d'un
A parmi des assemblage divers de trois segments de droite.
Et cela a un effet pervers que tu apprécieras, je suis sûr: le fait qu'IBM
se livre à de telles idioties donne une certaine crédibilité à n'importe
quel zozo qui prétendrait avoir développé une méthode infaillible basée sur
des techniques avancées ésotériques ;-)
Tiens, je ferais bien un petit réseau neuronal qui examine les binaires
d'un anti-virus et détermine s'il a besoin de mise-à-jour ou pas :-)
Ca me rappelle le type qui utilise
des algorithmes complexes de reconnaissance de forme pour savoir si
son chat a le droit de rentrer dans la maison :)
C'est lourd, mais c'est marrant. Et puis bon, IBM peut se permettre de payer quelques chercheurs à perdre leur temps sur divers problèmes sans intérêt pratique et immédiat.
et qui n'en auront jamais. Ce n'est pas différent de la reconnaissance d'un A parmi des assemblage divers de trois segments de droite.
Et cela a un effet pervers que tu apprécieras, je suis sûr: le fait qu'IBM se livre à de telles idioties donne une certaine crédibilité à n'importe quel zozo qui prétendrait avoir développé une méthode infaillible basée sur des techniques avancées ésotériques ;-)
Tiens, je ferais bien un petit réseau neuronal qui examine les binaires d'un anti-virus et détermine s'il a besoin de mise-à-jour ou pas :-)
Ca me rappelle le type qui utilise des algorithmes complexes de reconnaissance de forme pour savoir si son chat a le droit de rentrer dans la maison :)