Plus limité, le jeu nous offre l’unique possibilité d’attaquer nos ennemis à l’aide d’un simple mais meurtrier lance-roquettes que l’on pourra cependant améliorer via des bonus éparpillés à travers l’ensemble du niveau. Ces bonus confèrent à nos projectiles des capacités nouvelles comme la démultiplication ou encore l’autoguidage.

Les joueurs représentés de façon caricaturale auront la possibilité de se mouvoir par l’intermédiaire d’un puissant jetpack qui se montre d’ores et déjà d’une capitale importance. Rocket Riot ne cherche pas à s’imposer graphiquement et adopte une thématique 8 bit très particulière, mais au final elle semble visiblement bien coller à l’esprit minimaliste du titre.


Les temps changent
Au total, 80 missions solo ponctueront l’aventure en marge des quatre modes multi-joueurs jouables jusqu’à huit joueurs en simultané. Extrêmement accessible, le jeu se dénue d’un aspect stratégique certain et introduit une intensité de jeu qui le différencie notablement de Worms, cela pourrait malheureusement conduire à la confusion générale.

On ne sait d’ailleurs si le concept se base sur une stratégie au tour par tour ou en temps réel, car les images présentes ci-dessous laissent sous entendent plutôt un dynamisme entier. En attendant de plus amples informations, il faudra se contenter des quelques illustrations très colorées et artistiquement honnêtes.

Date de sortie prévue pour l’année 2008 sur Xbox 360 (XBLA).