Symantec et Spybot n’étaient déjà pas les meilleurs amis du monde, mais leur inimitié réciproque semble être montée d’un cran.
Sur son site Web, l’éditeur du logiciel anti-spyware Spybot Search and Destroy indique que les incompatibilités d’humeur entre son produit phare et les applications de protection Norton de Symantec ne sont toujours pas résolues.
En avril 2005 déjà, Norton Antivirus traitait Spybot comme une menace, à tort, bien entendu, donnant lieu à ce que l’on nomme dans ce domaine un ‘’faux écho’’ (en anglais : false positive). L’éditeur californien, leader mondial des logiciels de protection, avait traîné à réagir, obligeant Spybot à publier un article pour le moins véhément sur son site. Les choses étaient ensuite rentrées dans l’ordre, et Norton avait fini par ne plus traiter Spybot comme un intrus.
Aujourd’hui, c’est Symantec qui remet le couvert, en accusant Spybot de saboter le travail de son logiciel de sauvegarde Norton Ghost. Sans que l’on connaisse les détails de ce que l’un reproche à l’autre, il apparaît que les images de disque dur générées par Norton Ghost seraient, selon Symantec, ‘’altérées’’ par la présence de Spybot.
Symantec s’est lancé voici quelques mois sur le marché de l’anti-spyware, notamment à travers diverses acquisitions majeures. Faut-il voir dans cette nouvelle orientation de l’éditeur américain une des raison de son emportement à l’égard de ce vieux briscard qu’est Spybot ' En d’autres termes, Symantec essaierait-il de faire perdre à son rival sa notoriété durement gagnée ' C’est en tout cas l’explication qu’avancent les éditeurs de Spybot.
Chez Symantec, pour l’heure, le mot d’ordre est ‘’silence radio’’. Mais nous restons à l’écoute.
Sur son site Web, l’éditeur du logiciel anti-spyware Spybot Search and Destroy indique que les incompatibilités d’humeur entre son produit phare et les applications de protection Norton de Symantec ne sont toujours pas résolues.
En avril 2005 déjà, Norton Antivirus traitait Spybot comme une menace, à tort, bien entendu, donnant lieu à ce que l’on nomme dans ce domaine un ‘’faux écho’’ (en anglais : false positive). L’éditeur californien, leader mondial des logiciels de protection, avait traîné à réagir, obligeant Spybot à publier un article pour le moins véhément sur son site. Les choses étaient ensuite rentrées dans l’ordre, et Norton avait fini par ne plus traiter Spybot comme un intrus.
Aujourd’hui, c’est Symantec qui remet le couvert, en accusant Spybot de saboter le travail de son logiciel de sauvegarde Norton Ghost. Sans que l’on connaisse les détails de ce que l’un reproche à l’autre, il apparaît que les images de disque dur générées par Norton Ghost seraient, selon Symantec, ‘’altérées’’ par la présence de Spybot.
Symantec s’est lancé voici quelques mois sur le marché de l’anti-spyware, notamment à travers diverses acquisitions majeures. Faut-il voir dans cette nouvelle orientation de l’éditeur américain une des raison de son emportement à l’égard de ce vieux briscard qu’est Spybot ' En d’autres termes, Symantec essaierait-il de faire perdre à son rival sa notoriété durement gagnée ' C’est en tout cas l’explication qu’avancent les éditeurs de Spybot.
Chez Symantec, pour l’heure, le mot d’ordre est ‘’silence radio’’. Mais nous restons à l’écoute.
Source :
Slashdot
