Offre de rachat repousséePour rappel, le groupe français Vivendi possède dans son escarcelle de nombreuses sociétés leader dans leurs domaines, comme Universal Music, le premier éditeur
mondial de musique, SFR, second opérateur de téléphone
mobile français, le groupe Canal+ ou encore la main mise sur le domaine du jeu vidéo.
Offre de rachat repoussée Pour rappel, le groupe français Vivendi possède dans son escarcelle de nombreuses sociétés leader dans leurs domaines, comme Universal Music, le premier éditeur
mondial de musique, SFR, second opérateur de téléphone
mobile français, le groupe Canal+ ou encore la main mise sur le domaine du jeu vidéo. Bref, que du bon.
Vivendi vient de confirmer que le fonds d'investissement Kohlberg Kravis Roberts & Co était intéressé par son rachat mais que cela " n'a pas débouché sur une proposition et a pris fin".
Selon des informations publiées hier dans le New York Times, KKR aurait proposé 50 milliards de dollars (soit 40 milliards d'euros), pour racheter Vivendi, un montant sans précédent.
La France en cause ' Selon une source proche du dossier à nos confrères de Reuters, c'est "la législation fiscale française et d'autres problèmes, comme l'accord obligatoire de plusieurs pays, dont la France, pour mettre un point final à la transaction, qui ont contribué à l'échec des pourparlers".
Pour information, Vivendi avait déjà rejeté en mai dernier une offre similaire du fonds d'investissement norvégien Sebastian Holdings.
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