Notre confrère 01Net propose un article intéressant sur le premier test grandeur nature du vote électronique qui s'est déroulé il y a peu pour les élections des réprésentants au Conseil supérieur des Français à l'Etranger.

Malgré les promesses du vote électronique, la participation est restée modeste, 16,5% au lieu de 14% en 2000.

"En théorie, le vote électronique doit revitaliser la vie politique française en ramenant aux urnes les électeurs qui s'en détournaient."

"...ce pourcentage ne cessait de décroître avec les élections. Mais un échec, comparé aux ambitions du projet. « On espérait un bond nettement plus important », explique Christophe Monier, tête de liste ADFE (1) pour la côte Est. De fait, les défenseurs du vote en ligne en assuraient la promotion d'abord en promettant un taux de participation nettement plus important."

"Les participants à cette élection n'enterrent pas pour autant le vote électronique. Parce qu'il s'agit d'une première. Et parce que les électeurs perçoivent mal l'intérêt des élections au CSFE, un organisme qui joue pourtant un rôle important dans le quotidien des expatriés et qui désigne les neuf sénateurs les représentant."


Un test à suivre de près car le vote électronique est également à l'étude en France pour de futures élections (présidentielle, référendum,...).

On ne peut qu'espérer que cette nouvelle façon de voter, particulièrement simple, permette de redonner aux citoyens que nous sommes l'envie de participer à la vie du pays.

Reste encore la question du contrôle des fraudes qui reste à étudier.


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