Méconnue en France, la série Crazy Machines connait pourtant un intéressant succès dans des pays comme les Etats-Unis et l’Allemagne où son côté casse-tête a su rassembler jeunes et moins jeunes.
Crazy Machines 2 ressemble ni plus ni moins au jeu The Incredible Machine (TIM pour les intimes) sorti en 1992, le moteur graphique et physique en moins. Dans un univers spatialement limité, le joueur se doit en effet d’accomplir une flopée d’objectifs à l’aide d’objets à placer et exploiter ainsi qu’un environnement interactif à souhait.
Sorti en Allemagne depuis le mois d’octobre dernier, ce nouvel opus s’en est relativement bien sorti outre-Rhin grâce notamment à son tout nouveau moteur graphique qui loin de faire honneur aux consoles next-gen se montre relativement honnête vis-à-vis des autres jeux de réflexion et fait part d’exigences techniques peu élevées.
Une transition logique en CM2 Les objectifs proposés consistent la plupart du temps à activer une machine donnée ou bien à convoyer un objet en faisant appel à des moyens de transports rustiques mais fort efficaces. En plus de devoir s’adapter à l’environnement, il nous faudra progressivement bâtir notre machine à gagner et par la même occasion neutraliser les quelques pièges présents.
Le concept exploite d’ailleurs le célèbre moteur physique Havok utilisé dans les Assassin’s Creed, Bioshock et autres The Elder Scrolls IV : Oblivion. Ce dernier servira notamment à introduire une véritable dynamique physique ne nécessitant aucun scriptage préalable et offre aux développeurs un notable gain de temps.
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