marché DLC US Les DLC ont pris de l'ampleur ces dernières années. Nouvelle politique des éditeurs pour faire perdurer leurs jeux vidéo et ressource financière non négligeable, la technique du contenu supplémentaire titille la grogne des joueurs mais s'installe de plus en plus dans leur quotidien. Si le DLC n'est pas toujours apprécié, il est désormais entré dans les moeurs.

Une étude orchestrée par un organisme américain, l'EEDAR, s'est interrogée sur la place de ces téléchargements dans les foyers américains et canadiens. Au cours des 12 derniers mois, ils sont prêts de 51 % de joueurs à avoir acheté un DLC pour un de leur jeu. Ils étaient 40 % en 2010 et 34 % en 2009.

Le marché du DLC évolue et ces chiffres devraient inciter les éditeurs à persévérer dans cette nouvelle approche. D'autant plus quand on sait, toujours d'après cette même étude, que ces téléchargements ont rapporté à l'industrie 875 millions de dollars.

L'autre intérêt de cette étude porte sur les non-acheteurs, ces 49 % d'irréductibles qui n'ont pas donné plus d'argent aux éditeurs que celui versé pour le jeu lui-même. Cette partie des joueurs expliquent pourquoi ils ne sont pas passés de l'autre côté. La première raison évoquée dans la majorité des cas n'est pas le prix pratiqué, qui n'arrive finalement qu'en troisième position, mais un problème sur la vie privée et le manque de retour des éditeurs sur ce contenu.

Vous pouvez retrouver l'ensemble de l'étude à cette adresse.