Killzone 2 4 Avec son statut de jeu "libérateur" de la Playstation 3, Killzone 2 n'a clairement pas le droit à l'erreur. Après avoir pu tâter de la démo disponible il y a quelques semaines sur le PSN, l'avis des joueurs est plus ou moins unanime, le jeu tient à peu près ses promesses. Si le gris est dans le top 3 de vos couleurs préférées, alors vos rétines devraient apprécier. Sorti de là, le soft de Guerrilla en jette techniquement, et nul doute qu'il aura fallu bien du temps et de la persévérance pour parvenir à un tel résultat. La facture en électricité a dû être salée en tout cas.


Ah, vous n'étiez pas au courant ?
Un jeu de la trempe de Killzone 2 demande des moyens au-dessus de la norme. Rien que le nombre d'employés, qui est passé de 45 à près de 200 à la fin de la production, peut en témoigner. Forcément, cela faisait une masse supplémentaire d'ordinateurs allumés qui fonctionnaient à plein régime. Il se trouve que le système d'alimentation d'Amsterdam (car Guerrilla est un studio néerlandais) n'a pas été en mesure de satisfaire à la demande.

Pour ainsi mener à terme le développement de Killzone 2 dans de bonnes conditions, Sony a été obligé de fournir à Guerrilla un générateur diesel, sans cela, nous aurions certainement vu la date de sortie du soft être une fois de plus repoussée.

Pas de panique au final car le jeu nous parviendra bien le 25 février de cette année, sur PS3.

Source : de Volkskrant