Le site français du Huffington Post parle en ce moment anglais pour indiquer qu'en raison de coupures de courant dues au passage de l'ouragan Sandy aux États-Unis, le site éprouve des difficultés techniques.

Une roue de secours semble avoir été trouvée par le Huffington Post qui parvient tout de même à publier quelques billets centrés sur la couverture médiatique de Sandy. Une solution de repli est également exploitée via Facebook et Twitter.

Le Huffington Post est loin d'être le seul site dans ce cas là. D'autres sites à fort trafic comme Gizmodo ( version US ) ou encore Gawker sont affectés par les dégâts provoqués par Sandy. A priori, les inondations sont les coupables avec des dégâts dans des centres de données.

Wired évoque notamment un data center situé à Manhattan et le cas de sites importants étant hébergés par le fournisseur Datagram basé à New York. Celui-ci a écrit combattre des inondations et des pannes de fibre dans le centre ville de New York et dans le Connecticut ( au nord-est des USA ).

D'après l'AFP, Sandy a touché une zone avec près de 150 data centers " entre les États de Virginie, du New Jersey et de New York ". Selon le responsable d'un opérateur européen : " des milliers, voire des dizaines de milliers de sites internet, de toute taille et partout dans le monde, sont indisponibles. "

Devant les attaques malveillantes, ce sont les catastrophes naturelles qui sont principalement responsables des incidents et pannes les plus longues pour les infrastructures d'information et réseaux.

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