Le regard posé par Mike Gallagher sur ce microcosme vidéoludique dans lequel nous vivons, et de la façon dont il s'est développé au fil des années, faisant émerger des utilisations diverses au jeu vidéo comme celles liées à la santé ou l'éducation, lui ont fait dégager cinq principes fondamentaux. Cinq règles essentielles qui placent le joueur de base au sommet de la pyramide.
"D'abord et avant tout, nous ne devons pas oublier notre base. Nous ne devons jamais oublier nos principaux clients. Les joueurs [...] ont été avec nous depuis le début, et nous devons nous souvenir que nous élargissons cette offre."
Ensuite, il a demandé à cette même industrie d'accepter en son sein les "convertis" qui se sont récemment joints à elle, en développant les offres de contenu et en fournissant de nouveaux choix de jeux.
"Le mot d'ordre est 'jouer', mais les jeux vidéo ne sont plus seulement des loisirs, mais sont également impliqués dans des activités plus sérieuses. La génération qui a grandi avec les jeux... intègre naturellement cet aspect éducatif dans leur vie."
De l'importance des parents
Mike a ensuite fait part de son souhait que soient mis en œuvre les mesures nécessaires, afin que les jeux auxquels les enfants s'essayent soient approuvés par leurs parents. D'après Gallagher, qui se base sur des statistiques FTC (Federal Trade Commission) , quatre-vingts pour cent des enfants ne peuvent acheter des jeux au contenu mature.
"C'est un bond de 433% depuis que le FTC s'est penché sur le dossier en 2000. Cela nous place au-dessus du cinéma, ça nous place au-dessus de la musique quand il s'agit de nouer des partenariats avec les parents."
Pour finir, il a exigé que l'industrie soutienne les Etats qui encouragent la bonne santé du secteur du jeu vidéo, comme la Géorgie, le Texas et le Wisconsin.
Mike invite ceux désirant s'unir à l'ESA dans la lutte contre la législation inconstitutionnelle anti-jeu en rejoignant le Video Game Voters Network. Son objectif : 200 000 partisans d'ici l'E3 prochain.
"D'abord et avant tout, nous ne devons pas oublier notre base. Nous ne devons jamais oublier nos principaux clients. Les joueurs [...] ont été avec nous depuis le début, et nous devons nous souvenir que nous élargissons cette offre."
Ensuite, il a demandé à cette même industrie d'accepter en son sein les "convertis" qui se sont récemment joints à elle, en développant les offres de contenu et en fournissant de nouveaux choix de jeux.
"Le mot d'ordre est 'jouer', mais les jeux vidéo ne sont plus seulement des loisirs, mais sont également impliqués dans des activités plus sérieuses. La génération qui a grandi avec les jeux... intègre naturellement cet aspect éducatif dans leur vie."
De l'importance des parents
Mike a ensuite fait part de son souhait que soient mis en œuvre les mesures nécessaires, afin que les jeux auxquels les enfants s'essayent soient approuvés par leurs parents. D'après Gallagher, qui se base sur des statistiques FTC (Federal Trade Commission) , quatre-vingts pour cent des enfants ne peuvent acheter des jeux au contenu mature.
"C'est un bond de 433% depuis que le FTC s'est penché sur le dossier en 2000. Cela nous place au-dessus du cinéma, ça nous place au-dessus de la musique quand il s'agit de nouer des partenariats avec les parents."
Pour finir, il a exigé que l'industrie soutienne les Etats qui encouragent la bonne santé du secteur du jeu vidéo, comme la Géorgie, le Texas et le Wisconsin.
Mike invite ceux désirant s'unir à l'ESA dans la lutte contre la législation inconstitutionnelle anti-jeu en rejoignant le Video Game Voters Network. Son objectif : 200 000 partisans d'ici l'E3 prochain.
Source :
Kotaku
