Un autre nom était parfois cité dans la course au bloc de fréquences réservé à un nouvel entrant, celui du groupe néerlandais KPN qui a lancé en début d'année l'opérateur virtuel Simyo. Pourtant, celui-ci vient d'indiquer lors du sommet TMT ( Télécoms, Médias, Technologie ) qu'il n'était pas intéressé.
D'abord, consolider sa position en France
" On ne peut jamais exclure quelque chose pour le futur, mais pour le moment, nous ne sommes pas intéressés ", a déclaré Stan Miller, directeur général de la division mobile à l'international de KPN, interrogé par Reuters. " Je veux d'abord savoir si nous pouvons réussir ce que nous avons démarré en France avant de nous mettre à dépenser beaucoup d'argent des actionnaires sur ce marché. "
Il se serait dit très optimiste pour le marché français tout se gardant de présenter des résultats. KPN est comme d'autres groupes touché par la crise et voit son activité se ralentir depuis quelques trimestres, l'obligeant à chercher à réduire ses coûts.
Free reste donc pour le moment le principal prétendant au bloc de fréquences de 5 MHz que proposera l' Arcep dans son appel d'offres qui devrait débuter après le feu vert de la Commission des transferts, en train d'évaluer le prix de 206 millions d'euros formulé en début d'année.
Publié le
par Christian D.
Source :
Reuters
Journaliste GNT spécialisé en mobilité / Ante-Geek des profondeurs du Web et d'ailleurs
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