Après la clôture de la trilogie Prince Of Persia, on se doutait que les développeurs n’allaient pas laisser tomber une telle licence. Il aura fallu attendre quelques mois avant de voir ces doutes se confirmer rapidement. On ignorait cependant que le titre allait prendre un tel tournant et adopter un style artistique unique.

Reposant sur le moteur graphique d’Assassin’s Creed (consultez notre test), le jeu se veut désormais plus ouvert et dynamique. Afin de sauver le monde de la corruption, le joueur pourra avoir une influence sur le bon déroulement des niveaux au travers notamment de ses choix logistiques. Choisir un niveau en particulier affectera en effet les difficultés qui nous seront proposées ultérieurement.


Trop simple ?
Mais des limites existent et empêcheront notre héros de sauter des étapes. Ce sont les pouvoirs d’Elika qui imposeront ces restrictions naturelles. Ces derniers, au nombre de quatre, s’obtiennent en terminant tout simplement l’un des quatre grands mondes proposés. Ils alternent en phase acrobatique et phase d’exploration.

Placé sous le signe de l’accessibilité, Prince Of Persia présente des mécanismes de combat simples basés uniquement sur le timing. Inutile de mémoriser des combos et autres enchainements, ici la tâche a été simplifiée au maximum pour nous permettre de gérer naturellement ces conflits, un choix plutôt osé.

Date de sortie prévue pour le 4 décembre 2008 sur PC, PS3 et Xbox 360.