D'abord ce mea culpa. Dans des news précédentes, j'avais annoncé Mercenaries 2 sur Xbox 360. Une erreur à l'époque, concernant un jeu alors uniquement voué à sortir sur PS3, officiellement. Mais qui relevait peut-être (on va dire ça), du pressentiment puisque Pandemic, qui le développe, annonce maintenant que le titre pourrait bien finalement faire une apparition sur la console de Microsoft.
Le site IGN rapporte en effet que le studio, s'il ne travaille actuellement que sur les kits de développement PS3, n'exclut pas de travailler aussi à le finaliser pour la 360. Une façon pour Pandemic d'offrir plus de visibilité à son bébé qui pour l'instant n'a aucun éditeur. LucasArts, sous les couleurs duquel le premier opus était paru sur Xbox et PS2, n'a en effet cette fois pas suivi.
Mercenaries 2, interdit de séjour au Vénézuela
Pour une sortie quoi qu'il advienne, sans trop d'accrocs, il faudra aussi que Pandemic parvienne à faire taire définitivement les accusations des supporters du président vénézuélien Hugo Chavez. Pour ces derniers, le jeu qui met en scène des soldats américains embarqués dans une guerre pour le pétrole dans ce pays d'Amérique du sud accréditerait dans l'esprit des joueurs des Etats-Unis l'idée qu'une offensive contre cette République est envisageable. De la propagande en somme.
On le sait que les relations entre Etats-Unis et Vénézuela sont tendues. Pandemic s'est évidemment défendu de faire autre chose que raconter une histoire fictive s'inspirant de l'actualité. Reste que le jeu devrait être interdit dans le pays de Chavez, sous couvert d'une loi contre la violence dans les jeux vidéo.
Le site IGN rapporte en effet que le studio, s'il ne travaille actuellement que sur les kits de développement PS3, n'exclut pas de travailler aussi à le finaliser pour la 360. Une façon pour Pandemic d'offrir plus de visibilité à son bébé qui pour l'instant n'a aucun éditeur. LucasArts, sous les couleurs duquel le premier opus était paru sur Xbox et PS2, n'a en effet cette fois pas suivi.
Mercenaries 2, interdit de séjour au Vénézuela
Pour une sortie quoi qu'il advienne, sans trop d'accrocs, il faudra aussi que Pandemic parvienne à faire taire définitivement les accusations des supporters du président vénézuélien Hugo Chavez. Pour ces derniers, le jeu qui met en scène des soldats américains embarqués dans une guerre pour le pétrole dans ce pays d'Amérique du sud accréditerait dans l'esprit des joueurs des Etats-Unis l'idée qu'une offensive contre cette République est envisageable. De la propagande en somme.
On le sait que les relations entre Etats-Unis et Vénézuela sont tendues. Pandemic s'est évidemment défendu de faire autre chose que raconter une histoire fictive s'inspirant de l'actualité. Reste que le jeu devrait être interdit dans le pays de Chavez, sous couvert d'une loi contre la violence dans les jeux vidéo.
