Ne prônant pas ouvertement pour un réalisme total, Dead Rising parvient à nous transmettre ce sentiment d’oppression permanente par l’intermédiaire d’un très grand nombre de zombies que le joueur devra éviter ou encore abattre.
Et c’est là qu’on aperçoit que le jeu offre de nombreuses possibilités afin de tuer cette énorme masse de zombies, de la télé plasma au pot de fleur en passant par la tondeuse à gazon le jeu se focalise principalement sur l’interactivité entre l’environnement et le joueur qui ne devra pas hésiter à utiliser tout le mobilier urbain présent dans le jeu afin d’assurer sa propre survie.
Durant cette longue période de survie, le joueur pourra physiquement évoluer en affinant sa technique de frappe ou encore sa force physique. Cette évolution est permise par l’utilisation quasi-systématique d’armes blanches ou de contact, qui tel Lifeforce ou plus récemment God of War servira à épauler le joueur durant sa longue quête.
En marge de ces combats au corps à corps, notre héros devra aussi accomplir son devoir de photojournaliste durant cette terrible prise d’otage. Il se devra ainsi de prendre à intervalle régulier des clichés émotionnellement parlant afin d’engranger un maximum de points qui serviront par la suite à conforter notre capital survie tel Resident Evil 4.
Afin de compenser le manque de photos croustillantes, et d’apaiser notre conscience morale, le héros aura la possibilité de sauver des innocentes et de les photographier par la suite dans des poses bien plus décontractées que le contexte pourrait le permettre.
Très attendu, Dead Rising dévoile peu à peu ses capacités vidéoludiques qui restent malheureusement bien basiques mais elles offrent au joueur une véritable occasion de se défouler sur des attroupements entiers de zombies affamés.
Date de sortie prévue pour le 8 septembre 2006 sur Xbox 360.
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