La qualité Nikon
Pour ceux qui auraient hiverné sur Mars depuis plusieurs décennies, rappelons que Nikon est une firme créée en 1917, initialement (et pour la petite histoire) à la demande du gouvernement japonais soucieux de la supériorité démontrée par l’armée allemande pendant la guerre.
Depuis presque 90 ans, la firme a su développer de nombreux modèles, qui ont parfois marqué l’histoire, à l’image du SP, du FA ou du D1 (premier réflexe numérique professionnel industriel).
Inutile donc de rappeler que le constructeur nippon demeure une valeur sûre dans le milieu. La qualité a d’ailleurs toujours été remarquée sur la plupart des modèles produits.
La famille D
Ce D40 est le dernier né de la famille D, qui s’était déjà agrandie en août dernier avec le modèle D80 offrant une résolution de 10 mégapixels (cf. cette actualité).
40 étant inférieur à 80, il est logique de constater que ce modèle D40 propose une résolution moindre que son grand frère le D80. En revanche, il est un peu moins logique que le D80 ne soit pas un modèle 8 mégapixels et ce D40 un modèle 4 mégapixels... La logique des chiffres aurait pu être bien plus accessible pour le grand public.
Une future star
Nikon a pris un soin tout particulier à rendre son D40 très facile d’usage. Cela commence avec le boîtier lui-même, aux formes compactes tenant bien dans la main. L’ergonomie est très soignée, comme de coutume chez Nikon. Reflex oblige, le viseur a particulièrement été soigné et dispose d’un zoom 0,8x. L’écran au dos de l’appareil propose une dimension de 2,5 pouces de diagonale (6,35 cm).
Le capteur, comme nous vous le disions, propose une résolution de 6,1 millions de pixels. Celui-ci bénéficie d’un processeur de traitement d’images spécialement développé par la marque. La réussite des photos est garantie par ce capteur, capable d’appréhender le contraste et la luminosité puis d’ajuster au mieux les valeurs d’exposition (le tout au regard d’une base de données interne de 30 000 cas de figure).
Pour le reste, le démarrage de l’appareil s’effectue en moins de 0,2 secondes alors que l’autofocus (issu du D200 et du D80) permet une mise au point très précise. Au regard de toutes ces fonctionnalités, il vous sera difficile de justifier une photographie ratée...
A coup sûr un futur best-seller dans la catégorie des 6 mégapixels. Voire même au sein de catégories supérieures, car qu'on se le dise, la qualité des pixels est parfois préférable à leur nombre...
Pour ceux qui auraient hiverné sur Mars depuis plusieurs décennies, rappelons que Nikon est une firme créée en 1917, initialement (et pour la petite histoire) à la demande du gouvernement japonais soucieux de la supériorité démontrée par l’armée allemande pendant la guerre.
Depuis presque 90 ans, la firme a su développer de nombreux modèles, qui ont parfois marqué l’histoire, à l’image du SP, du FA ou du D1 (premier réflexe numérique professionnel industriel).
Inutile donc de rappeler que le constructeur nippon demeure une valeur sûre dans le milieu. La qualité a d’ailleurs toujours été remarquée sur la plupart des modèles produits.
La famille D
Ce D40 est le dernier né de la famille D, qui s’était déjà agrandie en août dernier avec le modèle D80 offrant une résolution de 10 mégapixels (cf. cette actualité).
40 étant inférieur à 80, il est logique de constater que ce modèle D40 propose une résolution moindre que son grand frère le D80. En revanche, il est un peu moins logique que le D80 ne soit pas un modèle 8 mégapixels et ce D40 un modèle 4 mégapixels... La logique des chiffres aurait pu être bien plus accessible pour le grand public.
Une future star
Nikon a pris un soin tout particulier à rendre son D40 très facile d’usage. Cela commence avec le boîtier lui-même, aux formes compactes tenant bien dans la main. L’ergonomie est très soignée, comme de coutume chez Nikon. Reflex oblige, le viseur a particulièrement été soigné et dispose d’un zoom 0,8x. L’écran au dos de l’appareil propose une dimension de 2,5 pouces de diagonale (6,35 cm).
Le capteur, comme nous vous le disions, propose une résolution de 6,1 millions de pixels. Celui-ci bénéficie d’un processeur de traitement d’images spécialement développé par la marque. La réussite des photos est garantie par ce capteur, capable d’appréhender le contraste et la luminosité puis d’ajuster au mieux les valeurs d’exposition (le tout au regard d’une base de données interne de 30 000 cas de figure).
Pour le reste, le démarrage de l’appareil s’effectue en moins de 0,2 secondes alors que l’autofocus (issu du D200 et du D80) permet une mise au point très précise. Au regard de toutes ces fonctionnalités, il vous sera difficile de justifier une photographie ratée...
A coup sûr un futur best-seller dans la catégorie des 6 mégapixels. Voire même au sein de catégories supérieures, car qu'on se le dise, la qualité des pixels est parfois préférable à leur nombre...
