Comme son nom l’indique, Assassin’s Creed nous mettra dans la peau d’un assassin du nom d’Altair. Membre d’une puissante et secrète caste, notre héros est chargé tout comme ses compagnons de mettre un terme au meurtrier conflit séparant deux grandes familles. Pour se faire, il faudra tout simplement venir assassiner des hauts responsables chargés de mener à bien ce conflit avant bien sûr de refroidir les véritables auteurs.

Bien que le jeu se déroule au beau milieu des croisades médiévales, de nombreux indices laissent penser qu’un contexte futuriste entourerait l’ensemble comme des messages d’erreur informatiques ou encore des artefacts visuels. En attendant une confirmation officielle, on pourra néanmoins se concentrer sur cet aspect fort important du scénario.

Nous pourrons accomplir les missions de diverses façons allant du meurtre maquillé à l’exécution publique. La liberté est un point essentiel du jeu qui ne s’arrêtera pas aux simples scripts, mais offrira une large ouverture censée redéfinir le genre action/infiltration. Et à première vue, cette liberté fait diablement bien son travail pour le peu qu’on soit un exigeant joueur.


L’infiltration d’un autre genre
De plus, le concept respecte avec précision les faits historiques ayant eu lieu durant le Moyen Age et plus précisément durant le douzième siècle après JC. Ce respect, on le ressent à travers les décors, les textures ou encore les personnages locaux. A l’instar de Prince of Persia, Altair bénéficie d’une grande agilité lui permettant de grimper la plupart des édifices comme des échafaudages ou des maisonnettes.

On pourra par ailleurs exploiter le système de combat libre instauré de Prince of Persia : L’Ame Du Guerrier. Selon la position spatiale de notre héros et de ses assaillants, les coups différeront singulièrement du simple coup à la projection dans le vide.

Date de sortie prévue pour le mois de novembre 2007 sur PC, PS3 et Xbox 360.