Equipé du Vital Engine 3, White Gold : War In Paradise ne cherche point à innover par rapport à ses prédécesseurs directs, au lieu de cela ce dernier vise en premier lieu à poser de stables fondations conceptuelles on ne peut plus efficaces à mi-chemin entre FPS et RPG.

Comme son nom l’indique, la trame scénaristique nous poussera à suivre les traces d’un vaste trafic de drogues mortelles à la consommation. En tant qu’ancien agent spécial, notre héros sera alors chargé par le gouvernement américain de mener l’enquête et mettre à tout prix fin à la fabrication de cette substance illicite.

A partir de là, le joueur est libre d’évoluer librement au travers de ces larges étendues géographiques avec ou sans objectif précis en tête. Tandis que le joueur pressé pourra enchaîner les missions principales, le joueur patient et attentionné saura à terme bénéficier d’un lourd support logistique en nouant d’étroits liens avec l’une des sept factions présentes.


On prend les mêmes et on recommence
Placé sous le signe de la diversité et de la flexibilité, le concept offre désormais de plus amples choix dans la bonne réalisation des missions, mais aussi dans la bonne évolution de notre protagoniste. A l’instar d’un Oblivion, nous pourrons littéralement nous spécialiser à titre d’exemple dans le domaine de l’infiltration ou de la démolition.

Cependant, cela n’est qu’une question de temps et pratique. Les développeurs ont voulu laisser la porte ouverte aux joueurs polyvalents et par la même occasion lui conférer une réelle liberté. Trop semblable à son homologue Boiling Point, le jeu désire à première vue mettre un terme à ce retard technologique et limiter le nombre de bugs effectifs.

Date de sortie prévue pour le premier trimestre 2008 sur PC et Xbox 360.