Parmi les faits à retenir de la semaine passée, on rappellera la réduction du budget Hadapi, l’avertissement public de la CNIL pour une commune, la condamnation de l’administrateur de Mania.fr et l’anticipation d’un remboursement des FAI par le gouvernement.

On pourra également évoquer l’amélioration de l’algorithme du moteur Google pour évincer les sites Internet non légitimes, la biographie à laquelle aura droit le patron de Free et le cap symbolique franchi par Facebook.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.

Biographie du patron de Free : le patron de Free aura droit à sa biographie cet automne dans un ouvrage intitulé : " Xavier Niel, l'homme Free ". Un livre non autorisé.


Google pénalise à nouveau : l'algorithme de Google est à nouveau ajusté pour faire la chasse dans les résultats de recherche aux sites de faible qualité avec un référencement abusif. Sont dans le viseur les sites avec un nom de domaine correspondant exactement à une requête.


La CNIL sanctionne une commune : la Commission nationale de l'informatique et des libertés adresse un avertissement public à la commune de Montreuil pour la diffusion sur le Net d'informations d'une liste électorale.


1,3 milliard d'euros à rembourser : le gouvernement anticipe de devoir rembourser 1,3 milliard d'euros aux fournisseurs d'accès à Internet pour la probable invalidation par Bruxelles de la taxe Copé.


Budget de fonctionnement diminué en 2013 : le gouvernement vient de confirmer une baisse du budget de fonctionnement de la Hadopi. En 2013, il sera de 8 millions d'euros.


Le milliard d'utilisateurs... c'est fait : créé en 2004, le réseau social Facebook vient d’officialiser le milliard d’utilisateurs. C'est très exactement le 14 septembre 2012 à 21h45 heure française que le cap symbolique a été franchi.


L'administrateur de Mania.fr condamné : l'administrateur entre 2008 et 2011 du site Mania.fr, qui proposait illégalement des œuvres en téléchargement et en streaming, a été condamné à six mois de prison avec sursis et 176 000 euros de dommages-intérêts. Il risquait pour rappel un an de prison avec sursis et plus de 900 000 euros de dommages-intérêts.