Parmi les faits qui ont marqué l’actualité de la semaine précédente, on rappellera la fermeture de Fuckbook, les poursuites engagées contre Apple au sujet d’une pornographie mal filtrée, l’enquête au sujet d’aides indument perçues par Numéricâble, le rappel à l’ordre d’Orange par le CSA et la libération d'un ado accusé de menaces terrorismes via Facebook.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Libération d’un ado emprisonné pour des propos terroristes sur Facebook : Justin Carter, un adolescent habitant le Texas, aux États-Unis, vient d’être libéré de prison après qu’un donateur anonyme ait versé les 500 000 dollars de caution. Il est accusé d’avoir partagé des menaces terroristes sur le réseau social Facebook en début d’année. Justin est donc libre jusqu’à son audience préliminaire qui se tiendra le 12 aout.


Fuckbook.fr et ses fuckfriends doivent plier bagage : le réseau social Facebook remporte un procès contre le site de rencontre pour adultes Fuckbook.fr. La justice a ainsi interdit à la société française exploitant Fuckbook.fr l'utilisation de " fuckbook " et a ordonné le transfert à Facebook de plusieurs noms de domaine qui ont recours à ce terme. Cette décision est sous astreinte de 1 000 euros par jour de retard. Elle est accompagnée du versement de 15 000 euros de dommages-intérêts à Facebook. Le fondateur de Fuckbook.fr a indiqué que cette décision de justice l'oblige à " liquider la société et stopper toute activité ".

C’est la faute d’Apple, si ça le démange : un ancien avocat reproche à Apple son addiction à la pornographie. Pour Chris Sevier, la firme à la pomme n'a pas fait le nécessaire pour filtrer la pornographie, notamment au sein de son navigateur Web Safari.


Fessée du CSA pour Orange : le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel a adressé une mise en garde à Orange Cinema Séries. Un abonné Orange avait eu droit à un film pornographique en lieu et place du film fantastique souhaité.

Numéricâble indûment aidé : la Commission européenne enquête sur des aides publiques indûment perçues par l’opérateur Numéricâble. En cause, les infrastructures cédées à titre gracieux par 33 municipalités entre 2003 et 2006.