La quatrième et dernière licence UMTS suscite décidément bien des convoitises à tel point que l' ARCEP a décidé de préparer pour la mi-décembre un appel à candidature pour son attribution avec les premiers dépôts de candidature qui devraient être enregistrés au printemps 2007.
Mais nul besoin d'attendre ces échéances, les spéculations vont déjà bon train, divers acteurs du monde de la télécommunication ayant déjà fait état de façon plus ou moins officielle de leur intérêt pour cette ultime licence de téléphonie mobile 3G.
Bolloré en fin tacticien
Ainsi, après Iliad la maison mère du FAI Free, le câblo-opérateur Noos-Numericable, c'est au tour du groupe d'investissement Bolloré via Bolloré Télécom, d'entrer dans la danse mais relativement timidement puisque selon des propos rapportés par l' AFP, une source proche du dossier a déclaré : " Nous regardons le dossier mais aux conditions économiques actuelles, une candidature paraît difficile. "
Trop chère la licence
En somme, si Bolloré est manifestement intéressé, à l'instar des autres candidats hypothétiques, le groupe reproche le coût excessif d'acquisition de cette licence UMTS, soit 619 millions d'euros et en habitué du monde des affaires, tente d'user de son influence pour diminuer ce prix.
Reste à savoir, si cela suffira à faire chanceler l'intransigeance affichée par le ministre de l'industrie François Loos qui prévenait récemment que le prix avait été fixé par la loi en 2001 et qu'il serait de fait non négociable.
Mais nul besoin d'attendre ces échéances, les spéculations vont déjà bon train, divers acteurs du monde de la télécommunication ayant déjà fait état de façon plus ou moins officielle de leur intérêt pour cette ultime licence de téléphonie mobile 3G.
Bolloré en fin tacticien
Ainsi, après Iliad la maison mère du FAI Free, le câblo-opérateur Noos-Numericable, c'est au tour du groupe d'investissement Bolloré via Bolloré Télécom, d'entrer dans la danse mais relativement timidement puisque selon des propos rapportés par l' AFP, une source proche du dossier a déclaré : " Nous regardons le dossier mais aux conditions économiques actuelles, une candidature paraît difficile. "
Trop chère la licence
En somme, si Bolloré est manifestement intéressé, à l'instar des autres candidats hypothétiques, le groupe reproche le coût excessif d'acquisition de cette licence UMTS, soit 619 millions d'euros et en habitué du monde des affaires, tente d'user de son influence pour diminuer ce prix.
Reste à savoir, si cela suffira à faire chanceler l'intransigeance affichée par le ministre de l'industrie François Loos qui prévenait récemment que le prix avait été fixé par la loi en 2001 et qu'il serait de fait non négociable.
