Très intéressée par l'acquisition de la dernière licence mobile 3G, à l'instar des autres prétendants, la filiale du groupe Iliad trouve son prix de 619 millions d'euros bien excessif comme l'a récemment exprimé son directeur général, Michaël Boukhobza, ce dernier espérant une baisse utopique de ce prix clairement annoncé non négociable ou à défaut l'étalement de son paiement (prévu en une seule échéance au 30 septembre); des revendications jugées judicieuses par l' Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes elle-même.


Non, non et encore non !
Du lobbying toutefois bien insuffisant compte tenu des récents propos tenus par François Loos dans un entretien accordé au journal Les Echos (propos relayés par Univers Freebox) dans lequel il a déclaré :

" Le montant et les conditions de paiement des licences UMTS sont très précisément définis dans la loi. Il n'y a pas d'élément économique nouveau qui justifierait de les modifier. (...) Il est parfaitement normal que l' Etat n'accorde aucun passe-droit à telle ou telle société, au détriment de l'intérêt des contribuables. L'étalement des paiements en lui-même constitue un avantage financier. Et la licence en elle-même n'est qu'une petite partie des investissements nécessaires. Donc, qu'un candidat soit en mesure de payer cette licence garantit qu'il sera ensuite capable de financer le reste du projet. "