Après la croisade d’Apple contre les dérivés et déclinaisons du mot « pod », on savait que tôt ou tard, les avocats de Steve Jobs allaient tomber sur une affaire cocasse. Cela n’a point tardé car, après « Profit Pod » et « TightPod », c’est au tour de gPod de subir les foudres légales de la pomme.


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Il est où ton gPod '
Plus précisément, ce litige a trait à un objet singulier baptisé du nom explicite de gPod. Ses créateurs ont réussi à trouver un moyen de le connecter à un iPod pour que le "jouet" vibre en rythme avec la musique de l'iPod.

Explications sur ce « pod » (gare au procès !) vibratoire aux conséquences telluriques – et légales – fâcheuses : 2 frères, Ichiro et Jii Kameda, co-présidents d’une société spécialisée dans le « pimentage » - excusez le néologisme – des « vies solitaires ou de couple », voudraient mettre en vente ce fameux gPod. Or, la justice a empêché toute commercialisation du rutilant objet suite à l’action d’Apple.


De la mécanique du G
Le mécanisme est d’une simplicité renversante : le gPod n’est qu’une espèce de générateur de rythme intégrant 3 moteurs activables par le son. En le branchant sur un iPod, un téléphone mobile ou tout autre lecteur MP3, il émet certaines vibrations dont on peut régler l’intensité avec le bouton de volume de l’appareil émetteur de sons.


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Pas la peine d’entrer dans les détails pour expliquer que cet « outil » (dixit les Kameda) est avant tout un fidèle adjuvant de la gent féminine. Aussi est-il intéressant de préciser que le gPod en question peut être déclenché par des voix humaines.

Rappelons que l’organisme japonais responsable de la délivrance des brevets a octroyé aux Kameda le droit d’utiliser le « gadget » en août dernier et que le nom choisi et déposé avait été approuvé 2 mois plus tard. Tout cela bien sûr avant qu’Apple ne vienne fourrer son nez dans les affaires des frères Kameda…
Source : Mainichi News