Pas de grande originalité donc avec notamment un site piégé repéré par Microsoft Malware Protection Center, si ce n'est le certain professionnalisme qui se dégage de ce faux reprenant à s'y méprendre la forme du site officiel www.barackobama.com. Pour aider à trier le bon grain de l'ivraie, reste les fameux courriels aguicheurs auxquels il ne faut évidemment pas se fier.
A la dernière minute, Barack Obama refuse d'endosser ses responsabilités de président des USA. Un exemple parmi d'autres afin d'attirer du monde sur un site hébergeant un cheval de Troie Windows baptisé Waledac. Ce spécimen de troyen collecte les adresses e-mails et rapatrie plusieurs de ses congénères sur la machine infectée. Avant de s'attaquer à Obama, Waledac s'est fait les dents sur les voeux de la nouvelle année.
Microsoft a constaté que les noms de domaine des faux sites Obama sont constitués pour l'essentiel de trois mots. Le mot Obama est ainsi précédé d'un superlatif comme " great " ou " super ", et suivi de " direct ", " online " ou " guide ". Cela est le cas pour www.superobamaonline.com.
