Sous l’impulsion de Techland ce portage s’effectuera dans des conditions propices à la Xbox 360 afin qu’un gameplay FPS puisse corroborer avec les contrôles plus ou moins précis d’une manette de jeu. Des sortes de mécanismes de compensation seront par ailleurs mises à place dans le souci de rendre le jeu non seulement jouable mais aussi accessible par le grand public.
Relativement exigent sur PC, le jeu perd logiquement en précision pour toutefois gagner significativement en intensité. Pour contrecarrer un latent sentiment d’ennui, les développeurs ont eu la bonne idée d’implémenter un mode ralenti servant comme dans Red Steel, à abattre les ennemis dans la plus grande précision et propreté requise.
Extrêmement jouissif, ce « bullet-time » n’est accessible qu’après avoir attendu un certain laps de temps (une trentaine de secondes), et doit être utilisé à bon escient, notamment contre des groupes entiers de brigands.
Le Western comme on ne l’a jamais vu
Il n’est d’ailleurs réservé qu’au révérend Ray, ancien brigand et hors-la loi ce dernier s’est converti à la religion afin de s’expier de ses trop nombreuses fautes, et par-dessus tout de ses infâmes meurtres.
Alternant phases d’action et d’infiltration, Call of Juarez adopte le concept du chasseur/ chassé à la manière de Fahrenheit avec Ray dans le rôle du méchant mais efficace chasseur, et Billy de l’agile proie. Alors Billy n’est rien d’autre que le neveu de Ray, on pourra se demander quelles sont les motivations profondes de Ray à vouloir tout bonnement tuer son neveu.
Témoin malheureux du meurtre de ses parents (dont le frère de Ray), Billy va tenter de persuader les forces de l’ordre et par dessus tout Ray qu’il est victime d’un sombre complot judiciaire.
Date de sortie prévue pour le 30 Juin 2007 sur Xbox 360.
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