_facebook_logo Le réseau social Facebook finira par entrer en Bourse, comme de nombreuses autres sociétés issues du Net, mais plutôt tard que précocement, contrairement à d'autres qui semblent prêts à faire le grand saut.

Mais les investisseurs sont impatients de pouvoir profiter de la croissance du réseau social et certains tentent de prendre les devants en rachetant les parts des employés. Début mars, la rumeur d'une tentative de rachat de parts de la part du fonds General Atlantic a suggéré une valorisation possible de Facebook à 65 milliards de dollars, contre 50 milliards de dollars estimée après la dernière levée de fonds, portée entre autres par le fonds Digital Sky et la banque d'affaires Goldman Sachs.


Une valorisation qui monte, qui monte...
Selon le Wall Street Journal, des discussions avec moins un gros investisseur auraient toujours cours, avec la possibilité de porter la valorisation de la société à plus de 60 milliards de dollars, voire plus de 70 milliards de dollars, si elles se concrétisaient.

Et si Facebook n'est pas tenu de dévoiler ses comptes, cela devrait changer cette année, quand la société aura passé la barre des 500 actionnaires. Elle sera alors tenue de publier régulièrement un rapport financier, en attendant d'entrer en Bourse, ce qui pourrait se faire en 2012.

Pendant ce temps, d'autres sociétés s'activent pour collecter des fonds et attirer les investisseurs, à l'image de l'éditeur Zynga, qui vient de lever 500 millions de dollars et qui s'approche d'une valorisation à 10 milliards de dollars.