La mécanique est déjà bien connue sur l'ordinateur. Toutefois, Google indique qu'apporter une même protection sur des appareils mobiles a été plus compliqué. Avec un environnement mobile, il faut prendre en considération des contraintes comme le coût de la bande passante, la vitesse de connexion et la qualité du réseau mobile, sans compter la batterie d'un appareil.
Google dit alors avoir travaillé sur la compression des données autant que possible, la minimisation du trafic réseau généré, l'économie de la mémoire et de la charge processeur. Des choix ont aussi été pris.
Certaines attaques d'ingénierie sociale ne concernant que des régions géographiques spécifiques, l'information pour la protection des appareils ne sera envoyée que pour les utilisateurs de ces régions. Par ailleurs, l'information pour les sites considérés les plus dangereux sera envoyée en priorité.
La mise à jour pour Safe Browsing fait partie des Google Play Services d'Android. Son exploitation dans Chrome nécessite la version 46.
