Google Print débarque sur le vieux contient.
Ce sont 8 pays, la France, l'Italie, l'Allemagne, la Hollande, la Belgique, l'Autriche, la Suisse, et l'Espagne, qui dispose de leur version localisée de Google Print, le projet de numérisation pharaonique de Google, lancé en décembre 2004.
Ainsi, l'utilisateur peuteffectuer des recherches dans les ouvrages fournis par les éditeurs des pays européens participant au projet, mais a également accès à des collections de livres en anglais provenant de la bibliothèque publique de New York, et des bibliothèques universitaires de Stanford, Harvard, d'Oxford et du Michigan.
Susan Wojcicki, Vice-présidente pour la gestion des produits chez Google, interrogée par le New York Times, annonce qu'il y a encore peu d'ouvrages disponibles, les livres ayant commencé à être numérisés il y a moins de deux mois, lorsque Google a commencé à contacter les éditeurs parmi lesquels on peut citer De Boeck et les éditions l'éclat pour la France, qui ont déjà signé un accord avec le géant américain.
Pour ce qui est de l'utilisation, c'est extrêmement simple. On lance une requête avec le ou les mots désirés. Le moteur affiche alors une liste de liens vers les ouvrages contenant ce mot et donne un accès partiel aux pages des livres concernés. A cela s'ajoute également des information relatives, tels le nom de l'auteur, l'année de publication ... mais aussi des liens vers les boutiques commercialisant ces ouvrages.
On attend toujours le concurrent européen de ce projet, la riposte Française Gallica mais également la réponse d'un farouche concurrent américain Yahoo.
Consulter le site de Google Print français
Ce sont 8 pays, la France, l'Italie, l'Allemagne, la Hollande, la Belgique, l'Autriche, la Suisse, et l'Espagne, qui dispose de leur version localisée de Google Print, le projet de numérisation pharaonique de Google, lancé en décembre 2004.
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Google Print est un projet inauguré en décembre 2004 par Google avec
comme objectif la numérisation de 15 millions d’écrits issus de grandes
universités et bibliothèques américaines. L’internaute pourra alors
consulter via Internet quelques pages numérisées d’un écrit avant
d’être redirigé sur un site pour acheter la version intégrale. ****
Ainsi, l'utilisateur peuteffectuer des recherches dans les ouvrages fournis par les éditeurs des pays européens participant au projet, mais a également accès à des collections de livres en anglais provenant de la bibliothèque publique de New York, et des bibliothèques universitaires de Stanford, Harvard, d'Oxford et du Michigan.
Susan Wojcicki, Vice-présidente pour la gestion des produits chez Google, interrogée par le New York Times, annonce qu'il y a encore peu d'ouvrages disponibles, les livres ayant commencé à être numérisés il y a moins de deux mois, lorsque Google a commencé à contacter les éditeurs parmi lesquels on peut citer De Boeck et les éditions l'éclat pour la France, qui ont déjà signé un accord avec le géant américain.
Pour ce qui est de l'utilisation, c'est extrêmement simple. On lance une requête avec le ou les mots désirés. Le moteur affiche alors une liste de liens vers les ouvrages contenant ce mot et donne un accès partiel aux pages des livres concernés. A cela s'ajoute également des information relatives, tels le nom de l'auteur, l'année de publication ... mais aussi des liens vers les boutiques commercialisant ces ouvrages.
On attend toujours le concurrent européen de ce projet, la riposte Française Gallica mais également la réponse d'un farouche concurrent américain Yahoo.
Consulter le site de Google Print français
