Relatifs à 2012, ceux-ci révèlent un chiffre d’affaires de 29,3 milliards de dollars, en recul de 1 % par rapport à l’année précédente.

De son côté, le bénéfice net au cours des douze mois s’élève à 16,6 milliards de dollars, en progression de 4,7 % comparé à celui enregistré en 2011. C’est plus que ce que pensaient les analyses du secteur.

Ce fort décalage entre le chiffre d’affaires et le bénéfice net s’explique pour l’amélioration de la rentabilité, qui est devenue une constante chez le géant américain.

Celle-ci a été aidée par la réorientation vers les activités liées au logiciel, plus rentables, grâce à de nombreuses acquisitions. Le groupe espère d’ailleurs des bénéfices provenant pour la moitié des logiciels dès 2015.

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La situation inquiète toutefois les analystes comme Benoît Flamant, du cabinet FOURPOINTS IM, qui ne voit pas une équation viable à long terme.

Source : Les Echos