JuNy, le virus preneur d'otage est de retour !
Une nouvelle version du célèbre virus JuNy, nommée JuNy.b, circule actuellement en Russie. Internet, ne connaissant pas les frontières, on peut s'attendre à ce qu'il se répande chez nous.
Ce virus agit de façon particulière, puisqu'il prend vos données en otages. Une fois installé sur votre machine, via une faille ou lors de la visite d'un site Web (qu'il ne fallait pas visiter apparement!), il crypte en effet vos données personnelles. Le fautif est vicieux, il ne crypte pas toutes vos données d'un coup, afin que tout cela reste transparent à vos yeux. Qui plus est, il s'attaque en premier à vos fichiers personnels (texte, feuilles de calcul, photo, ...), les fichiers qui vous importent donc le plus.
Une fois sa tâche terminée, le virus crée un fichier texte dans lequel il invite la victime à prendre contact par email avec ses créateurs. La clé nécessaire pour décrypter et récupérer ses données lui est, bien entendu, facturée.
Rappels sur la première version :
C'est en mai dernier qu'est apparue la première version, alors repérée par l'éditeur Websense. Ses auteurs exigeaient le versement de 200 dollars sur un compte. L'outil utilisé pour le chiffrement des données était PGP, mais il semblait possible de contourner le chiffrement en analysant le code du virus.
Mettez donc votre antivirus à jour, vous diminuerez ainsi le risque d'avoir affaire à ce virus.
Une nouvelle version du célèbre virus JuNy, nommée JuNy.b, circule actuellement en Russie. Internet, ne connaissant pas les frontières, on peut s'attendre à ce qu'il se répande chez nous.
Ce virus agit de façon particulière, puisqu'il prend vos données en otages. Une fois installé sur votre machine, via une faille ou lors de la visite d'un site Web (qu'il ne fallait pas visiter apparement!), il crypte en effet vos données personnelles. Le fautif est vicieux, il ne crypte pas toutes vos données d'un coup, afin que tout cela reste transparent à vos yeux. Qui plus est, il s'attaque en premier à vos fichiers personnels (texte, feuilles de calcul, photo, ...), les fichiers qui vous importent donc le plus.
Une fois sa tâche terminée, le virus crée un fichier texte dans lequel il invite la victime à prendre contact par email avec ses créateurs. La clé nécessaire pour décrypter et récupérer ses données lui est, bien entendu, facturée.
Rappels sur la première version :
C'est en mai dernier qu'est apparue la première version, alors repérée par l'éditeur Websense. Ses auteurs exigeaient le versement de 200 dollars sur un compte. L'outil utilisé pour le chiffrement des données était PGP, mais il semblait possible de contourner le chiffrement en analysant le code du virus.
Mettez donc votre antivirus à jour, vous diminuerez ainsi le risque d'avoir affaire à ce virus.
Source :
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