Nous connaissons tous, au moins de nom, le célèbre logiciel d' échanges conviviaux, Kazaa qui outre sa simplicité n' en demeure pas moins un véritable générateur de spywares qui infectent notre PC ici .

C'est aujourd' hui que s' ouvre le procès de Kazaa ( Sharman Networks ) et les représentants de l' industrie du disque australienne.

Sharman Networks est accusé d' encourager le piratage à outrance d' oeuvres musicales par l' entremise de son logiciel de P2P en n' exerçant aucun contrôle de son utilité.

Kazaa compterait 100 millions d' adeptes dans le monde, qui s' échangeraient 3 milliards de fichiers chaque mois. Ce qui constitue un outil de violation des droits d' auteur.

Que l' on ne s' y méprenne pas, le but de ce procès n' est pas d' éradiquer Kazaa, mais de combattre ses activités illégales, nuance !

Ce ne sera pas le premier procès du genre, ni le dernier, mais depuis quelques temps les représentants des maisons de disque et du cinéma font la guerre contre le téléchargement illégal.

Pourtant en Hollande, Kazaa avait remporté le match sous le prétexte qu' il ne pouvait être responsable de l' utilisation de son logiciel à des fins malhonnêtes.

Un bel épisode à venir qui devrait passionner les foules.

Source : Branchez-vous .