Apple

 On le sait, le meilleur des mondes Windows/Unix, c' est le Mac d' autant plus qu' il reste insensible aux virus et autres calamités du monde Windows.

Les " .exe ", supports des virus, ne fonctionnent pas sur le Mac et l' installation d' un programme demande un mot de passe et barre la route aux programmes auto- exécutables.

Chez Windows, ce n' est pas le cas dans la configuration par défaut.

Windows dispose également de nombreux ports ouverts par lesquels les virus s' infiltrent, alors que le Mac OS X n' en a aucun.

La grande puissance du Mac reste sans doute son architecture UNIX particulièrement sécurisée et il faut savoir qu' une partie du code de MAC OS X s' ouvre au monde de l' opensource ou des petites mains oeuvrent et réparent les failles.

Bien sûr, le nombre de virus reste peu élevé compte tenu des parts de marché d' Apple, qui frise les 3.51 %, qui donc n' intéresse pas le créateur de virus qui préfère infester le plus grand nombre de machines.

Mac os x

Entourage, le logiciel de messagerie du Mac, ne ressemble pas à son homologue Outlook qui lui, autorise le lancement de scripts cachés qui sont expédiés en pièce jointe via la boite à mails.

Contrairement à Windows, Mac OS X n'autorise pas l'utilisateur principal à accéder aux fichiers vitaux et finalement, Mac OS X demande une vérification de votre mot de passe lors de l'installation d'un logiciel, Windows permet une installation transparente et un lancement automatique du logiciel.


Maintenant, les spécialistes comme ICSA Lab, ont recensé 50.000 virus pour PC sous Windows alors que sous Mac ce chiffre est estimé entre 40 et 100.

Windows xp


Il ne faudrait pas croire que le monde du Mac représente la panacée universelle.

Il n' y a pas de suite bureautique propre ( iWork renversera peut être la vapeur) et la logithèque ludique demeure aussi pauvre que celle de son confrère Linux.

Sans parler du prix exorbitant de la bête !

Windows XP reste l' un des meilleurs système d' exploitation Windows et l' adjonction de cerbères tels les antivirus, antispywares et pare-feu font de ce système une plate-forme pluridisciplinaires quoi que, encore insuffisament sécurisée. 

 

Source : Silicon