Mai et Juin auront été deux mois infernaux pour les réseaux britanniques
stratégiques, qui auront été la cible de Virus, malwares et autres
chevaux de Troie. Résultat, plus de 300 sites-clés dans la société
britannique ont été paralysés pendant quelques heures, assez pour faire
trembler les administrateurs réseaux des entreprises touchées.
Derrière ces attaques, un coupable se profilait déjà : Des serveurs chinois, à l'origine de l'attaque. Après enquête, il semblerait que ces serveurs n'auraient été que les victimes de "spoofing" (prise de contrôle afin de servir de relais par un hacker) dans le cadre des attaques contre les réseaux britannique, malgré des accusations un peu hâtives qui risquent de détériorer légèrement le climat britannico-chinois, encore en bons termes.
Après un mois, il semble aujourd'hui impossible de déterminer l'auteur véritable de cet assaut virtuel qui aura mis à mal l'informatique anglaise, mettant en avant sa faiblesse de protection.
Jusqu'ici, l'objectif des pirates auraient été de récupérer des informations de valeurs politique ou économique via des mails avec des fichiers associés nuisibles. Point positif, l'attaque motivera à l'avenir les responsables réseaux à s'équiper de meilleure protection et surtout, comme disait ma grand-mère, "de ne jamais ouvrir un mail que tu ne connais pas".
