On ne sait encore pas avec certitude ce que nous prépare Nintendo avec sa prochaine console de salon, et c'est pourquoi les rumeurs se bousculent. On savait depuis longtemps que Nintendo souhaitait bouleverser la façon dont le joueur aborderait sa machine, en proposant une console hybride capable de fonctionner dans un salon raccordée à un téléviseur, mais également en mobilité à l'image de ses précédentes consoles portables.

Ce que l'on sait désormais, c'est que Foxconn a déjà engagé la phase d'essai de production. Selon Digitimes, le sous-traitant de Nintendo aurait ainsi lancé une chaine d'assemblage pour réaliser des tests et permettre d'envisager la logistique nécessaire aux objectifs de Nintendo de fabriquer 10 millions de machines par an.

Nintendo NX.

Le chiffre parait bien optimiste quand on sait que la Wii-U n'aura finalement trouvé que 13 millions d'acheteurs depuis 2012.

Le lancement des tests de production respecterait ainsi le calendrier imposé par Nintendo, qui a confirmé souhaiter vendre sa machine à partir du mois de mars 2017, plus précisément le 4 mars 2017 à en croire certains indices.

La semaine passée, on découvrait à nouveau le caractère hybride de la machine, qui misera sur une station fixe et une manette équipée d'un écran capable d'opérer seule.

La station serait équipée d'un disque dur et d'un port cartouche et serait raccordée au téléviseur. Cette dernière serait également équipée d'un processeur et des connexions sans fil habituelles. La manette équipée de l'écran disposerait également de sa propre unité de calcul pour apporter un renfort de puissance à la console fixe lors des jeux dans le salon, tout en se voulant autonome lors des déplacements. Son écran serrait de 6 pouces en définition 720 p.

Enfin dernière rumeur en date, le revendeur Tesco a récemment publié une page du produit sur son site en ligne. Y étaient évoqués la date de sortie de la NX fixée au 31 décembre, à un prix de 350 livres (400 €). Une date qui se veut fausse d'après les annonces de Nintendo, ce qui jette le doute sur la crédibilité du prix avancé.

Source : Digitimes