Lorsque Microsoft a racheté Nokia et mis la main sur ses smartphones Lumia, le contrat stipulait que le constructeur finlandais ne pouvait reprendre une activité similaire avant le troisième trimestre 2016.
La filiale trouve son financement des royalties générées par son large portefeuille de brevets. D'ailleurs, la firme propose déjà un lanceur d'applications sous Android, baptisé Z Launcher.
Nokia était également déjà revenue sur le marché du matériel grand public avec sa tablette N1 sous Android, présentée comme une concurrente de l'iPad.
Reste que si Nokia revient dans la course, la marque pourrait ne pas se charger de la fabrication de ses dispositifs. Nokia pourrait ainsi concevoir les produits et les vendre sous la forme de licences à des sociétés qui se chargeraient de la production ainsi que de la distribution ( comme le font aujourd'hui Polaroid ou Kodak).
En marge du mobile, Nokia devrait également revenir avec des "projets technologiques ambitieux" et notamment dans l'univers de la réalité virtuelle...
