Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
ce moment précis.
Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture
avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
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benoit
Benoit wrote:
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent. Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Une chose : le plan du duel ne dure « que » 8 minutes, il faut que je revois celui de « Le Bon, la Brute et le Truand » qui est, de mémoire, plus long et tourné 5 ans avant. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Benoit <benoit@com.invalid> wrote:
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
ce moment précis.
Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture
avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Une chose : le plan du duel ne dure « que » 8 minutes, il faut que je
revois celui de « Le Bon, la Brute et le Truand » qui est, de mémoire,
plus long et tourné 5 ans avant.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent. Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Une chose : le plan du duel ne dure « que » 8 minutes, il faut que je revois celui de « Le Bon, la Brute et le Truand » qui est, de mémoire, plus long et tourné 5 ans avant. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Thierry Houx
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
ce moment précis.
Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle
ils perdraient beaucoup de leur intérêt.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est
vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence
Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture
avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant
(c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus
Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Pierre Maurette
Thierry Houx :
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Pour le divertissement, c'est encore plus Vernes et ses excellents "Bob Morane". -- Pierre Maurette
Thierry Houx :
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
ce moment précis.
Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils
perdraient beaucoup de leur intérêt.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est
vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill
sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture
avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est
un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas
pour plus de divertissement.
Pour le divertissement, c'est encore plus Vernes et ses excellents "Bob
Morane".
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Pour le divertissement, c'est encore plus Vernes et ses excellents "Bob Morane". -- Pierre Maurette
Thierry Houx
Le 11/03/2019 à 09:24, Pierre Maurette a écrit :
Thierry Houx :
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Pour le divertissement, c'est encore plus Vernes et ses excellents "Bob Morane".
Tu as raison, ado, j'ai lu une quantité phénoménale des ses bouquins, ceux du domaine SF contre l'ombre jaune me plaisaient particulièrement. C'est ce qui m'a mis le pied à l'étrier pour lire des auteurs comme Van Vogt et Asimov, puis A.C. Clarke.
Le 11/03/2019 à 09:24, Pierre Maurette a écrit :
Thierry Houx :
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
ce moment précis.
Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans
elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant
est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un
Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture
avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant
(c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus
Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Pour le divertissement, c'est encore plus Vernes et ses excellents "Bob
Morane".
Tu as raison, ado, j'ai lu une quantité phénoménale des ses bouquins,
ceux du domaine SF contre l'ombre jaune me plaisaient particulièrement.
C'est ce qui m'a mis le pied à l'étrier pour lire des auteurs comme Van
Vogt et Asimov, puis A.C. Clarke.
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
Pour le divertissement, c'est encore plus Vernes et ses excellents "Bob Morane".
Tu as raison, ado, j'ai lu une quantité phénoménale des ses bouquins, ceux du domaine SF contre l'ombre jaune me plaisaient particulièrement. C'est ce qui m'a mis le pied à l'étrier pour lire des auteurs comme Van Vogt et Asimov, puis A.C. Clarke.
Alf92
Benoit :
Une chose : le plan du duel ne dure « que » 8 minutes, il faut que je revois celui de « Le Bon, la Brute et le Truand » qui est, de mémoire, plus long et tourné 5 ans avant.
un duel à 3 c'est un truel ?
Benoit :
Une chose : le plan du duel ne dure « que » 8 minutes, il faut que je
revois celui de « Le Bon, la Brute et le Truand » qui est, de mémoire,
plus long et tourné 5 ans avant.
Une chose : le plan du duel ne dure « que » 8 minutes, il faut que je revois celui de « Le Bon, la Brute et le Truand » qui est, de mémoire, plus long et tourné 5 ans avant.
un duel à 3 c'est un truel ?
Alf92
Thierry Houx :
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
plutot dans la veine western comique. ce n'est pas du Sergio Leone. bon film mais n'arrive pas à la cheville des deux autres sus cités.
Thierry Houx :
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
ce moment précis.
Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle
ils perdraient beaucoup de leur intérêt.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est
vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence
Hill sorti de ses sornettes habituelles.
plutot dans la veine western comique.
ce n'est pas du Sergio Leone.
bon film mais n'arrive pas à la cheville des deux autres sus cités.
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt. Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
plutot dans la veine western comique. ce n'est pas du Sergio Leone. bon film mais n'arrive pas à la cheville des deux autres sus cités.
benoit
Thierry Houx wrote:
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt.
100% d'accord.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Réalisateur : Sergio Leone :)
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
C'est avec ce genre de temps passé à regarder, apprendre, comprendre, s'inspirer, copier (à ma façon) ce qu'ont fait les autres, que je me persuade que je m'améliore, que je ne suis pas trop nul. Tu vois, j'ai laissé l'appareil de côté depuis quelques jours. Je regarde ce que j'ai fait, ce que j'ai en cours et je dors, je rêve, j'imagine là où je dois aller maintenant. Pour l'instant c'est refaire ex nihilo une série avec un meilleur matériel et plus de connaissance technique. N.B. J'ai fait un tirage de ma dernière musaraigne (40 x 1,20m). Très mal cadré et surtout trop petit. ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Le 11/03/2019 à 00:33, Benoit a écrit :
> Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et
> j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour
> moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si
> on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à
> ce moment précis.
>
> Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une
> dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle
ils perdraient beaucoup de leur intérêt.
100% d'accord.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est
vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence
Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Réalisateur : Sergio Leone :)
> Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture
> avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
>
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant
(c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus
Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
C'est avec ce genre de temps passé à regarder, apprendre, comprendre,
s'inspirer, copier (à ma façon) ce qu'ont fait les autres, que je me
persuade que je m'améliore, que je ne suis pas trop nul.
Tu vois, j'ai laissé l'appareil de côté depuis quelques jours. Je
regarde ce que j'ai fait, ce que j'ai en cours et je dors, je rêve,
j'imagine là où je dois aller maintenant. Pour l'instant c'est refaire
ex nihilo une série avec un meilleur matériel et plus de connaissance
technique.
N.B. J'ai fait un tirage de ma dernière musaraigne (40 x 1,20m). Très
mal cadré et surtout trop petit. ;)
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Je viens de revoir, re^n voir, « Il était une fois dans l'Ouest » et j'ai passé du temps à regarder les cadrages. C'est une grande leçon pour moi qui connaissais des règles, mais là on sait pourquoi s'en sont et si on ne les perspecte pas en fait on en respecte une autre, spécifique à ce moment précis. Je suis persuadé que les trois heures de dialogues tiennent sur une dizaine de pages et pourtant elles suffisent.
Ne surtout pas négliger la place de la musique dans ces films, sans elle ils perdraient beaucoup de leur intérêt.
100% d'accord.
Et il y a un film de la même veine, souvent oublié, et qui pourtant est vraiment très bon: Mon nom est personne, avec Henry Fonda et un Térence Hill sorti de ses sornettes habituelles.
Réalisateur : Sergio Leone :)
Il est heureux le gars Benoît, après l'alaphabet il découvre la lecture avec Vernes, Balzac, Musset, Rabelais, Zola...
Oui, des auteurs à connaître. Mais il ne faut pas négliger Maupassant (c'est un devoir pour le cauchois que je suis) et Victor Hugo, plus Alexandre Dumas pour plus de divertissement.
C'est avec ce genre de temps passé à regarder, apprendre, comprendre, s'inspirer, copier (à ma façon) ce qu'ont fait les autres, que je me persuade que je m'améliore, que je ne suis pas trop nul. Tu vois, j'ai laissé l'appareil de côté depuis quelques jours. Je regarde ce que j'ai fait, ce que j'ai en cours et je dors, je rêve, j'imagine là où je dois aller maintenant. Pour l'instant c'est refaire ex nihilo une série avec un meilleur matériel et plus de connaissance technique. N.B. J'ai fait un tirage de ma dernière musaraigne (40 x 1,20m). Très mal cadré et surtout trop petit. ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Stephane Legras-Decussy
On 03/11/2019 04:00 PM, Benoit wrote:
C'est avec ce genre de temps passé à regarder, apprendre, comprendre, s'inspirer, copier (à ma façon) ce qu'ont fait les autres, que je me persuade que je m'améliore, que je ne suis pas trop nul.
toutafé... re-regarder les films en se focalisant sur un point technique, ya rien de mieux. et c'est surtout les choses insignifiantes qui font la différence... par exemple revoir l'âge d'or Spielberg avant qu'il devienne débile : les dents de la mer. chef d'oeuvre total où on peut s'interesser à comment quelqu'un entre dans une pièce et répond au téléphone qui sonne... scène insignifiante mais tellement difficile à faire correctement. on peut regarder aussi des daubes absolues pour voir tout ce qu'il ne faut pas faire, avant de faire l'erreur soi-même. la belle grosse merde du moment (en DVD) : Kursk. ensuite comparer avec Das Boot.
On 03/11/2019 04:00 PM, Benoit wrote:
C'est avec ce genre de temps passé à regarder, apprendre, comprendre,
s'inspirer, copier (à ma façon) ce qu'ont fait les autres, que je me
persuade que je m'améliore, que je ne suis pas trop nul.
toutafé... re-regarder les films en se focalisant sur un point
technique, ya rien de mieux.
et c'est surtout les choses insignifiantes qui font la différence... par
exemple revoir l'âge d'or Spielberg avant qu'il devienne débile : les
dents de la mer.
chef d'oeuvre total où on peut s'interesser à comment quelqu'un entre
dans une pièce et répond au téléphone qui sonne... scène insignifiante
mais tellement difficile à faire correctement.
on peut regarder aussi des daubes absolues pour voir tout ce qu'il ne
faut pas faire, avant de faire l'erreur soi-même.
C'est avec ce genre de temps passé à regarder, apprendre, comprendre, s'inspirer, copier (à ma façon) ce qu'ont fait les autres, que je me persuade que je m'améliore, que je ne suis pas trop nul.
toutafé... re-regarder les films en se focalisant sur un point technique, ya rien de mieux. et c'est surtout les choses insignifiantes qui font la différence... par exemple revoir l'âge d'or Spielberg avant qu'il devienne débile : les dents de la mer. chef d'oeuvre total où on peut s'interesser à comment quelqu'un entre dans une pièce et répond au téléphone qui sonne... scène insignifiante mais tellement difficile à faire correctement. on peut regarder aussi des daubes absolues pour voir tout ce qu'il ne faut pas faire, avant de faire l'erreur soi-même. la belle grosse merde du moment (en DVD) : Kursk. ensuite comparer avec Das Boot.