Reparti pour un tour...
Comme tous les ans, la revue Diapason nous égrène à partir du mois de
septembre _ses_ choix des meilleurs matériels "du monde"...
Et comme d'habitude, le contenu des "analyses" [sic] est tout
simplement hallucinant de bêtise, d'un surréaliste pathétique, d'une
confondante ineptie, d'une totale inanité...
Et comme dabe, ça commence par les enceintes acoustiques...Les
meilleures du marché, de 500 à 16000 roros...
À lire ce salmigondis de jus de crâne, les Mission sont aussi
extraordinaires que les B&W...
Tiens...Tannoy fait partie des 8 meilleures enceintes de la planète,
dites donc !...La Glenair...Mais le modèle 10, plus petit que le Mien,
et moins cher aussi (et avec un 25 cm à la place d'un 38)...Mébon...
/D'emblée on est frappé par une impression de vie et de spontanéité,
proche du concert "live"...L'équilibre spectral est homogène, même si
un manque probable de rodage - toujours fort long avec les Tannoy,
parfois plusieurs centaies d'heures [d'ailleurs les Miennes, qui ont
maintenant 18 mois au compteur, ne sont pas encore rodées]- laisse
percevoir une sorte de verdeur. La restitution des timbres s'accompagne
d'une _succulence_, d'une fraîcheur singulière semblable à celle
ressentie avec la fameuse et incomparable Mini Autograph, Diapason d'Or
2007. Les voix retrouvent leurs plénitude harmonique mais aussi lmeur
grain naturel/
Etc...Etc...Etc...
Signé d'un certain Thierry Soveaux...Dont Je ne connais en aucune
manière les _compétences_ en électronique, acoustique et musique
enregistrée...
Dire que ce dernier est (plusou moins directement) payé par les
fabricants serait faire acte de diffamation...Je M'en garderai donc
bien...D'autant que quelqu'un qui dit du bien de *Tannoy* ne peut pas
être intrinsèquement malhonnête, n'est-ce pas...
Menfin...Cette revue est malgré tout la meilleure selon Moi des trois
revues de musique "classique" français (les deux autres étant "le Monde
de la Musique et Classica)...
J'attends avec impatience le test du convertisseur Tempo 2.6, qui doit
paraître dans le numéro de septembre de Je ne sais plus quelle revue
hi-fi...Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
"SbM" a écrit dans le message de news: 1imb8eu.az7ffz10068haN%
MELMOTH wrote:
[d'ailleurs les Miennes, qui ont maintenant 18 mois au compteur, ne sont pas encore rodées]
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Aida
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce
que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement
béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
lambert
"Aida" a écrit dans le message de news: g92u6k$b2r$
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur. Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
"Aida" <aida@wana.fr> a écrit dans le message de news:
g92u6k$b2r$1@aioe.org...
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que
ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat,
comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur.
Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
"Aida" a écrit dans le message de news: g92u6k$b2r$
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur. Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Aida
lambert a écrit :
"Aida" a écrit dans le message de news: g92u6k$b2r$
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur. Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Croire que l'on est plus que ce que l'on est est source de malheurs. Mais ne le dites-pas, vous vous feriez trop d'ennemis.
lambert a écrit :
"Aida" <aida@wana.fr> a écrit dans le message de news:
g92u6k$b2r$1@aioe.org...
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que
ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat,
comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur.
Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Croire que l'on est plus que ce que l'on est est source de malheurs.
Mais ne le dites-pas, vous vous feriez trop d'ennemis.
"Aida" a écrit dans le message de news: g92u6k$b2r$
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur. Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Croire que l'on est plus que ce que l'on est est source de malheurs. Mais ne le dites-pas, vous vous feriez trop d'ennemis.
iel B
C'est qd même vrai que la prose des magazine laisse beaucoup de place à une totale subjectivité.....
--
"Aida" a écrit dans le message de news: g937mb$hl5$
lambert a écrit :
"Aida" a écrit dans le message de news: g92u6k$b2r$
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur. Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Croire que l'on est plus que ce que l'on est est source de malheurs. Mais ne le dites-pas, vous vous feriez trop d'ennemis.
C'est qd même vrai que la prose des magazine laisse beaucoup de place à une
totale subjectivité.....
--
D@nyBoc
"Aida" <aida@wana.fr> a écrit dans le message de news:
g937mb$hl5$1@aioe.org...
lambert a écrit :
"Aida" <aida@wana.fr> a écrit dans le message de news:
g92u6k$b2r$1@aioe.org...
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce
que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement
béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur.
Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Croire que l'on est plus que ce que l'on est est source de malheurs. Mais
ne le dites-pas, vous vous feriez trop d'ennemis.
C'est qd même vrai que la prose des magazine laisse beaucoup de place à une totale subjectivité.....
--
"Aida" a écrit dans le message de news: g937mb$hl5$
lambert a écrit :
"Aida" a écrit dans le message de news: g92u6k$b2r$
MELMOTH a écrit :
Et qui fera peut-être orgasmer Mes Glenair à Moi que J'aime...
Joli cas de substitution: le monsieur aime tout ce qu'il possède parce que ce qu'il possède, c'est lui. Il s'aime lui-même, d'un contentement béat, comme ces bourgeois ventripotents et satisfaits du XIX) siècle.
Apprécier ce qu'on a et ce qu'on est est un des ingrédients du bonheur. Mais, ne l'ébruitez pas, notre société est basée sur l'idée contraire.
Croire que l'on est plus que ce que l'on est est source de malheurs. Mais ne le dites-pas, vous vous feriez trop d'ennemis.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Dominique BOURDEAU nous susurrait, le mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48b4ef57$0$899$, les doux mélismes suivants :
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Le problème, avec les cons, c'est que dès que tu n'assaisonnes pas la moindre de tes phrases avec un tombereau d'émoticons, prennent tout au premier degré, que c'est est pathétique...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique BOURDEAU nous susurrait, le
mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu
sales quand même, et dans le message
<48b4ef57$0$899$ba4acef3@news.orange.fr>, les doux mélismes suivants :
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Le problème, avec les cons, c'est que dès que tu n'assaisonnes pas la
moindre de tes phrases avec un tombereau d'émoticons, prennent tout au
premier degré, que c'est est pathétique...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique BOURDEAU nous susurrait, le mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48b4ef57$0$899$, les doux mélismes suivants :
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Le problème, avec les cons, c'est que dès que tu n'assaisonnes pas la moindre de tes phrases avec un tombereau d'émoticons, prennent tout au premier degré, que c'est est pathétique...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Stéphane Guillard
'jour,
"MELMOTH" a écrit dans le message de news:
Reparti pour un tour... Comme tous les ans, la revue Diapason nous égrène à partir du mois de septembre _ses_ choix des meilleurs matériels "du monde"... Et comme d'habitude, le contenu des "analyses" [sic] est tout simplement hallucinant de bêtise, d'un surréaliste pathétique, d'une confondante ineptie, d'une totale inanité...
Moi ce qui me délecte dans la prose de Soveaux c'est l'usage récurrent du qualificatif "d'essence musicale", je trouve ça si poétique !
Cordialement, -- Stéphane
'jour,
"MELMOTH" <theo@free.fr> a écrit dans le message de
news:mn.d41c7d88b5f6c803.12355@free.fr...
Reparti pour un tour...
Comme tous les ans, la revue Diapason nous égrène à partir du mois de
septembre _ses_ choix des meilleurs matériels "du monde"...
Et comme d'habitude, le contenu des "analyses" [sic] est tout simplement
hallucinant de bêtise, d'un surréaliste pathétique, d'une confondante
ineptie, d'une totale inanité...
Moi ce qui me délecte dans la prose de Soveaux c'est l'usage récurrent du
qualificatif "d'essence musicale", je trouve ça si poétique !
Reparti pour un tour... Comme tous les ans, la revue Diapason nous égrène à partir du mois de septembre _ses_ choix des meilleurs matériels "du monde"... Et comme d'habitude, le contenu des "analyses" [sic] est tout simplement hallucinant de bêtise, d'un surréaliste pathétique, d'une confondante ineptie, d'une totale inanité...
Moi ce qui me délecte dans la prose de Soveaux c'est l'usage récurrent du qualificatif "d'essence musicale", je trouve ça si poétique !
Cordialement, -- Stéphane
MELMOTH
(supersedes )
Ce cher mammifère du nom de Dominique BOURDEAU nous susurrait, le mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48b4ef57$0$899$, les doux mélismes suivants :
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Le problème, avec les cons, c'est que dès que tu n'assaisonnes pas la moindre de tes phrases avec un tombereau d'émoticons, prennent tout au premier degré, que c'en est pathétique...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
(supersedes <mn.db607d889827538e.12355@free.fr>)
Ce cher mammifère du nom de Dominique BOURDEAU nous susurrait, le
mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu
sales quand même, et dans le message
<48b4ef57$0$899$ba4acef3@news.orange.fr>, les doux mélismes suivants :
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Le problème, avec les cons, c'est que dès que tu n'assaisonnes pas la
moindre de tes phrases avec un tombereau d'émoticons, prennent tout au
premier degré, que c'en est pathétique...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique BOURDEAU nous susurrait, le mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48b4ef57$0$899$, les doux mélismes suivants :
Comment en juges-tu ?
Ce devait être de l'humour !
Le problème, avec les cons, c'est que dès que tu n'assaisonnes pas la moindre de tes phrases avec un tombereau d'émoticons, prennent tout au premier degré, que c'en est pathétique...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Stéphane Guillard nous susurrait, le mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48b55011$0$30870$, les doux mélismes suivants :
Moi ce qui me délecte dans la prose de Soveaux
Je ne sais pas d'où ce type a débarqué... Il pollue Diapason de saprose fleurie autant qu'inepte depuis maintenant deux ans environ, et pas seulement les dossiers hi-fi...Mais aussi les critiques de disques... Au moins, la revue Classica s'est toujours refusé, elle, d'inclure dans ses pages des dossiers hi-fi...
On peut d'ailleurs se demander comment et pourquoi il existe toujours autant de revues de haute fidélité haut de gamme, quand on voit l'état de délabrement et de déliquescence complète du marché !...
Je Me demande bien, parmi les mélosiciens passionnés de (bonnes) musiques, _combien_ utilisent pour les savourer des installations à la hauteur (disons, pour simplifier, de 3000 à 10000 euros le tout)... On peut d'ailleurs se demander par la même occasion _combien d'heures par jour_ ils écoutent /réellement/ de la musique...
Oui...On peut se le demander...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Stéphane Guillard nous susurrait, le
mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu
sales quand même, et dans le message
<48b55011$0$30870$426a74cc@news.free.fr>, les doux mélismes suivants :
Moi ce qui me délecte dans la prose de Soveaux
Je ne sais pas d'où ce type a débarqué...
Il pollue Diapason de saprose fleurie autant qu'inepte depuis
maintenant deux ans environ, et pas seulement les dossiers hi-fi...Mais
aussi les critiques de disques...
Au moins, la revue Classica s'est toujours refusé, elle, d'inclure dans
ses pages des dossiers hi-fi...
On peut d'ailleurs se demander comment et pourquoi il existe toujours
autant de revues de haute fidélité haut de gamme, quand on voit l'état
de délabrement et de déliquescence complète du marché !...
Je Me demande bien, parmi les mélosiciens passionnés de (bonnes)
musiques, _combien_ utilisent pour les savourer des installations à la
hauteur (disons, pour simplifier, de 3000 à 10000 euros le tout)...
On peut d'ailleurs se demander par la même occasion _combien d'heures
par jour_ ils écoutent /réellement/ de la musique...
Oui...On peut se le demander...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Stéphane Guillard nous susurrait, le mercredi 27/08/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48b55011$0$30870$, les doux mélismes suivants :
Moi ce qui me délecte dans la prose de Soveaux
Je ne sais pas d'où ce type a débarqué... Il pollue Diapason de saprose fleurie autant qu'inepte depuis maintenant deux ans environ, et pas seulement les dossiers hi-fi...Mais aussi les critiques de disques... Au moins, la revue Classica s'est toujours refusé, elle, d'inclure dans ses pages des dossiers hi-fi...
On peut d'ailleurs se demander comment et pourquoi il existe toujours autant de revues de haute fidélité haut de gamme, quand on voit l'état de délabrement et de déliquescence complète du marché !...
Je Me demande bien, parmi les mélosiciens passionnés de (bonnes) musiques, _combien_ utilisent pour les savourer des installations à la hauteur (disons, pour simplifier, de 3000 à 10000 euros le tout)... On peut d'ailleurs se demander par la même occasion _combien d'heures par jour_ ils écoutent /réellement/ de la musique...
Oui...On peut se le demander...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant