en fait je m'a trompé.... c'est pas une carte de référence qu'il me faut (carte utilisée pour caractériser le boitier si j'ai bien compris) mais une carte de balance des blancs...
Ca me laisse toujours aussi perplexe le coup de la balance de blancs... On faisant comment avant le numérique ? On se baladait avec un thermocolorimètre et une valise de filtres ?
On avait effectivement quelques filtres, mais surtout, on acceptait les interprétations des films couleurs parce qu'il n'y avait guère moyen de faire autrement. Par exemple, on préférait les couleurs de certaines grandes marques japonaises aux couleurs d'aussi grandes marques américaines. On disait aussi parfois que «l'oeil ne le voit pas, mais c'est comme ça». Maintenant, on dit plutôt que puisque l'oeil ne le voit pas, pourquoi donc le montrerait-on quand même ? C'est maintenant au photographe de décider. Une responsabilité de plus.
Charles
Jean-Pierre Roche wrote:
en fait je m'a trompé.... c'est pas une carte de référence qu'il me
faut (carte utilisée pour caractériser le boitier si j'ai bien
compris) mais une carte de balance des blancs...
Ca me laisse toujours aussi perplexe le coup de la balance de blancs...
On faisant comment avant le numérique ? On se baladait avec un
thermocolorimètre et une valise de filtres ?
On avait effectivement quelques filtres, mais surtout, on acceptait les
interprétations des films couleurs parce qu'il n'y avait guère moyen de
faire autrement. Par exemple, on préférait les couleurs de certaines
grandes marques japonaises aux couleurs d'aussi grandes marques
américaines. On disait aussi parfois que «l'oeil ne le voit pas, mais
c'est comme ça». Maintenant, on dit plutôt que puisque l'oeil ne le voit
pas, pourquoi donc le montrerait-on quand même ? C'est maintenant au
photographe de décider. Une responsabilité de plus.
en fait je m'a trompé.... c'est pas une carte de référence qu'il me faut (carte utilisée pour caractériser le boitier si j'ai bien compris) mais une carte de balance des blancs...
Ca me laisse toujours aussi perplexe le coup de la balance de blancs... On faisant comment avant le numérique ? On se baladait avec un thermocolorimètre et une valise de filtres ?
On avait effectivement quelques filtres, mais surtout, on acceptait les interprétations des films couleurs parce qu'il n'y avait guère moyen de faire autrement. Par exemple, on préférait les couleurs de certaines grandes marques japonaises aux couleurs d'aussi grandes marques américaines. On disait aussi parfois que «l'oeil ne le voit pas, mais c'est comme ça». Maintenant, on dit plutôt que puisque l'oeil ne le voit pas, pourquoi donc le montrerait-on quand même ? C'est maintenant au photographe de décider. Une responsabilité de plus.
Charles
Charles VASSALLO
Florent wrote:
donc je vais me fendre d'une carte de référence (gris blanc, noir, petits hommes verts) mais j'hésite assez...
bon, le prix livré est correct, avec une toute petite en plus....
rha, je sais pas trop du coup...
bon je vais réfléchir et voir les autres avis.
merci :)
Jean-Claude Péclard
... C'est maintenant au photographe de décider. Une responsabilité de plus.
Et une pique de plus dans le "c'est tout facile" qui est sous entendu dans l'idée de la photo numérique. Plus j'avance dans la recherche de la compréhension de ce qui compose la chaîne de production d'une photo, plus je mesure l'étendue de la complexification. Et au passage, je comprends de plus en plus que les ingénieurs s'ingénient à automatiser le plus d'opérations possibles. Ce faisant, la maîtrise de tous ces paramètres devient l'affaire de spécialistes de plus en plus pointus.
-- Salut, Jean-Claude www.maintenant.ch
... C'est maintenant au
photographe de décider. Une responsabilité de plus.
Et une pique de plus dans le "c'est tout facile" qui est sous entendu dans
l'idée de la photo numérique.
Plus j'avance dans la recherche de la compréhension de ce qui compose la
chaîne de production d'une photo, plus je mesure l'étendue de la
complexification.
Et au passage, je comprends de plus en plus que les ingénieurs s'ingénient
à automatiser le plus d'opérations possibles. Ce faisant, la maîtrise de
tous ces paramètres devient l'affaire de spécialistes de plus en plus
pointus.
... C'est maintenant au photographe de décider. Une responsabilité de plus.
Et une pique de plus dans le "c'est tout facile" qui est sous entendu dans l'idée de la photo numérique. Plus j'avance dans la recherche de la compréhension de ce qui compose la chaîne de production d'une photo, plus je mesure l'étendue de la complexification. Et au passage, je comprends de plus en plus que les ingénieurs s'ingénient à automatiser le plus d'opérations possibles. Ce faisant, la maîtrise de tous ces paramètres devient l'affaire de spécialistes de plus en plus pointus.
-- Salut, Jean-Claude www.maintenant.ch
Florent
Jean-Claude Péclard avait soumis l'idée :
Jean-Claude Péclard avait soumis l'idée :
justement... j'ai pas compris :D mais bon, si tu veux pas m'expliquer j'en fais pas un drame ;-)
C'est pas que je ne veux pas expliquer :-) Pour dire ça autrement : La petite phrase qui termine le propos de Charles est pour moi un élément de plus pour illustrer l'erreur des arguments marketing qui disent, plus ou moins directement, qu'avec la photo numérique, c'est tout facile. La suite, c'est en référence à la façon dont je me rends compte que toute cette chaîne est complexe.
ha ben voilà j'ai tout compris :)
au départ c'était tout en double. mais c'est depuis ton message que ça part sur labo.numerique. du pour ce que j'en ai vu....
J'ai répondu sur fr.rec.photo et au moment d'envoyer la réponse, mon lecteur (40tude) m'a averti qu'il y avait un follow-up. J'ai alors coché le groupe en question dans la case ad-hoc. Me serais-je gourré en selectionnant le groupe ? Je le crains :(
oui :D
je relance aux endroits de départ, si c'est une erreur ;-)
Jean-Claude Péclard avait soumis l'idée :
Jean-Claude Péclard avait soumis l'idée :
justement... j'ai pas compris :D mais bon, si tu veux pas m'expliquer
j'en fais pas un drame ;-)
C'est pas que je ne veux pas expliquer :-)
Pour dire ça autrement :
La petite phrase qui termine le propos de Charles est pour moi un élément
de plus pour illustrer l'erreur des arguments marketing qui disent, plus ou
moins directement, qu'avec la photo numérique, c'est tout facile.
La suite, c'est en référence à la façon dont je me rends compte que toute
cette chaîne est complexe.
ha ben voilà j'ai tout compris :)
au départ c'était tout en double. mais c'est depuis ton message que ça
part sur labo.numerique. du pour ce que j'en ai vu....
J'ai répondu sur fr.rec.photo et au moment d'envoyer la réponse, mon
lecteur (40tude) m'a averti qu'il y avait un follow-up. J'ai alors coché le
groupe en question dans la case ad-hoc. Me serais-je gourré en
selectionnant le groupe ?
Je le crains :(
oui :D
je relance aux endroits de départ, si c'est une erreur ;-)
justement... j'ai pas compris :D mais bon, si tu veux pas m'expliquer j'en fais pas un drame ;-)
C'est pas que je ne veux pas expliquer :-) Pour dire ça autrement : La petite phrase qui termine le propos de Charles est pour moi un élément de plus pour illustrer l'erreur des arguments marketing qui disent, plus ou moins directement, qu'avec la photo numérique, c'est tout facile. La suite, c'est en référence à la façon dont je me rends compte que toute cette chaîne est complexe.
ha ben voilà j'ai tout compris :)
au départ c'était tout en double. mais c'est depuis ton message que ça part sur labo.numerique. du pour ce que j'en ai vu....
J'ai répondu sur fr.rec.photo et au moment d'envoyer la réponse, mon lecteur (40tude) m'a averti qu'il y avait un follow-up. J'ai alors coché le groupe en question dans la case ad-hoc. Me serais-je gourré en selectionnant le groupe ? Je le crains :(
oui :D
je relance aux endroits de départ, si c'est une erreur ;-)
Florent
Ricco vient de nous annoncer :
je ne sais pas d'ou est venue cette notion que c'est plus facile en numérique
ben du marketing qui veut vendre pardi :)
Ricco vient de nous annoncer :
je ne sais pas d'ou est venue cette notion que c'est plus facile en
numérique
je ne sais pas d'ou est venue cette notion que c'est plus facile en numérique
ben du marketing qui veut vendre pardi :)
Jean-Claude Péclard
ben du marketing qui veut vendre pardi :)
Je pense que les gens du marketing sont assez malin pour ne pas être affirmatifs sur ce point. Du reste, je n'ai pas souvenir d'une pub ou d'un argument qui dise celà clairement. C'est quelque chose qui est induit, visuellement. Un exemple probant est l'annonce par Sigma de l'avant première de son "obusier blindé" le 200-500mm f2,8. On voit l'engin posé et à côté, une jolie blonde qui ne donne en tous cas pas l'impression que l'engin doit peser ses 12 ou 17 kilos ! (Il y a eu un fil là-dessus, que je ne trouve plus)
-- Salut, Jean-Claude www.maintenant.ch
ben du marketing qui veut vendre pardi :)
Je pense que les gens du marketing sont assez malin pour ne pas être
affirmatifs sur ce point.
Du reste, je n'ai pas souvenir d'une pub ou d'un argument qui dise celà
clairement. C'est quelque chose qui est induit, visuellement.
Un exemple probant est l'annonce par Sigma de l'avant première de son
"obusier blindé" le 200-500mm f2,8. On voit l'engin posé et à côté, une
jolie blonde qui ne donne en tous cas pas l'impression que l'engin doit
peser ses 12 ou 17 kilos !
(Il y a eu un fil là-dessus, que je ne trouve plus)
Je pense que les gens du marketing sont assez malin pour ne pas être affirmatifs sur ce point. Du reste, je n'ai pas souvenir d'une pub ou d'un argument qui dise celà clairement. C'est quelque chose qui est induit, visuellement. Un exemple probant est l'annonce par Sigma de l'avant première de son "obusier blindé" le 200-500mm f2,8. On voit l'engin posé et à côté, une jolie blonde qui ne donne en tous cas pas l'impression que l'engin doit peser ses 12 ou 17 kilos ! (Il y a eu un fil là-dessus, que je ne trouve plus)
