C'est à dire, aussi: "mais comment a-t-on pu en arriver là ? "
Une âme [...] pour m'expliquer?
Autrefois les journalistes, de la plume, du doigt, montraient ce qu'ils voulaient qu'on vît ; aujourd'hui, c'est leur doigt, leur plume, le ur nez qu'ils nous incitent à contempler.
C'est à dire, aussi: "mais comment a-t-on pu en arriver là ? "
Une âme [...] pour m'expliquer?
Autrefois les journalistes, de la plume, du doigt, montraient ce qu'ils
voulaient qu'on vît ; aujourd'hui, c'est leur doigt, leur plume, le ur nez
qu'ils nous incitent à contempler.
C'est à dire, aussi: "mais comment a-t-on pu en arriver là ? "
Une âme [...] pour m'expliquer?
Autrefois les journalistes, de la plume, du doigt, montraient ce qu'ils voulaient qu'on vît ; aujourd'hui, c'est leur doigt, leur plume, le ur nez qu'ils nous incitent à contempler.
Richard Hachel
Le 29/03/2014 à 21:26, "Didier Wagner" a écrit :
Richard Hachel :
Quelle bite, ce mec, c'est incroyable.
On voit sa gueule partout...
Nan mais attendez, je comprends pas.
Comment on peut en arriver là?
Je me rappelle qu'au bon vieux temps de l'ORTF, un responsable avait fait annuler un reportage, parce qu'on voyait, de dos, l'épaule de journaliste.
Maintenant, c'est pu l'épaule, c'est la gueule.
Et la gueule, devant le micro, elle arrête pu de parler.
Et si l'éclairage est pas bien fait, on refait la prise.
Etc...etc...etc...
Nan mais attendez, je comprends pas...
Comment on en est arrivé là?
Je trouve ça surréaliste.
Quelqu'un a une idée?
Je répète: "Les sanglots longs des violons de l'automne, bercent mon coeur, d'une langueur monotone".
C'est à dire, aussi: "mais comment a-t-on pu en arriver là?"
Une âme [...] pour m'expliquer?
Autrefois les journalistes, de la plume, du doigt, montraient ce qu'ils voulaient qu'on vît ; aujourd'hui, c'est leur doigt, leur plume, leur nez qu'ils nous incitent à contempler.
C'est quand même vachement dramatique.
Personnellement, ça ne me fait pas rire du tout.
Ils ne voient même plus qu'ils sont grotesques à vouloir se faire tant aimer, admirer, regarder...
Mais même un âne, tu le lui racontes, il rit.
Il rit parce que ça le fait rire.
Bien sûr.
Et ils sont tous devenus comme lui.
Autre chose, est-ce que tu as remarqué la façon dont les présentatrices sont maintenant debout, les jambes écartées?
La façon dont elles écartent les jambes, faut être con pour pas comprendre, ou pas rire.
Moi, ça me fait rire.
Ca me fait rire parce que c'est risible.
La planète des singes grandeur nature, c'est forcément risible devant une humanité de singes regardant d'autres singes faire leurs singeries.
T'as d'un côté Beaugrand qui squattent l'image, et retour sur le plateau, avec une femme qui écarte sans cesse les jambes sans que tu comprennes le pourquoi du comment.
Mais c'est débile.
C'EST débile.
Ha oui... l'audimat...
R.H.
Le 29/03/2014 à 21:26, "Didier Wagner" a écrit :
Richard Hachel :
Quelle bite, ce mec, c'est incroyable.
On voit sa gueule partout...
Nan mais attendez, je comprends pas.
Comment on peut en arriver là?
Je me rappelle qu'au bon vieux temps de l'ORTF, un responsable avait
fait
annuler un reportage, parce qu'on voyait, de dos, l'épaule de
journaliste.
Maintenant, c'est pu l'épaule, c'est la gueule.
Et la gueule, devant le micro, elle arrête pu de parler.
Et si l'éclairage est pas bien fait, on refait la prise.
Etc...etc...etc...
Nan mais attendez, je comprends pas...
Comment on en est arrivé là?
Je trouve ça surréaliste.
Quelqu'un a une idée?
Je répète:
"Les sanglots longs
des violons
de l'automne,
bercent mon coeur,
d'une langueur
monotone".
C'est à dire, aussi: "mais comment a-t-on pu en arriver là?"
Une âme [...] pour m'expliquer?
Autrefois les journalistes, de la plume, du doigt, montraient ce qu'ils
voulaient qu'on vît ; aujourd'hui, c'est leur doigt, leur plume, leur nez
qu'ils nous incitent à contempler.
C'est quand même vachement dramatique.
Personnellement, ça ne me fait pas rire du tout.
Ils ne voient même plus qu'ils sont grotesques à vouloir se faire tant
aimer,
admirer, regarder...
Mais même un âne, tu le lui racontes, il rit.
Il rit parce que ça le fait rire.
Bien sûr.
Et ils sont tous devenus comme lui.
Autre chose, est-ce que tu as remarqué la façon dont les présentatrices
sont maintenant debout, les jambes écartées?
La façon dont elles écartent les jambes, faut être con pour pas
comprendre,
ou pas rire.
Moi, ça me fait rire.
Ca me fait rire parce que c'est risible.
La planète des singes grandeur nature, c'est forcément risible devant
une
humanité de singes regardant d'autres singes faire leurs singeries.
T'as d'un côté Beaugrand qui squattent l'image, et retour sur le
plateau,
avec une femme qui écarte sans cesse les jambes sans que tu comprennes
le pourquoi du comment.
Je me rappelle qu'au bon vieux temps de l'ORTF, un responsable avait fait annuler un reportage, parce qu'on voyait, de dos, l'épaule de journaliste.
Maintenant, c'est pu l'épaule, c'est la gueule.
Et la gueule, devant le micro, elle arrête pu de parler.
Et si l'éclairage est pas bien fait, on refait la prise.
Etc...etc...etc...
Nan mais attendez, je comprends pas...
Comment on en est arrivé là?
Je trouve ça surréaliste.
Quelqu'un a une idée?
Je répète: "Les sanglots longs des violons de l'automne, bercent mon coeur, d'une langueur monotone".
C'est à dire, aussi: "mais comment a-t-on pu en arriver là?"
Une âme [...] pour m'expliquer?
Autrefois les journalistes, de la plume, du doigt, montraient ce qu'ils voulaient qu'on vît ; aujourd'hui, c'est leur doigt, leur plume, leur nez qu'ils nous incitent à contempler.
C'est quand même vachement dramatique.
Personnellement, ça ne me fait pas rire du tout.
Ils ne voient même plus qu'ils sont grotesques à vouloir se faire tant aimer, admirer, regarder...
Mais même un âne, tu le lui racontes, il rit.
Il rit parce que ça le fait rire.
Bien sûr.
Et ils sont tous devenus comme lui.
Autre chose, est-ce que tu as remarqué la façon dont les présentatrices sont maintenant debout, les jambes écartées?
La façon dont elles écartent les jambes, faut être con pour pas comprendre, ou pas rire.
Moi, ça me fait rire.
Ca me fait rire parce que c'est risible.
La planète des singes grandeur nature, c'est forcément risible devant une humanité de singes regardant d'autres singes faire leurs singeries.
T'as d'un côté Beaugrand qui squattent l'image, et retour sur le plateau, avec une femme qui écarte sans cesse les jambes sans que tu comprennes le pourquoi du comment.
Mais c'est débile.
C'EST débile.
Ha oui... l'audimat...
R.H.
jr
Richard Hachel wrote:
Quelqu'un a une idée?
Je répète: "Les sanglots longs des violons de l'automne, bercent mon coeur, d'une langueur monotone".
Vous débarquez?
-- jr
Richard Hachel <r.hachel@biscotte.fr> wrote:
Quelqu'un a une idée?
Je répète:
"Les sanglots longs
des violons
de l'automne,
bercent mon coeur,
d'une langueur
monotone".