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Les conseils de bébert, le chef d'orchestre.

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bebert
ien des auditeurs font trop confiance en leur matériel: ils pensent
qu'il suffit de l'acheter, de bonne qualité, et hop, c'est fini!

A la vérité, cela est bien faux: certes, on n'obtiendra jamais rien de
bon avec du mauvais matériel mais cela ne signifie pas que l'on
obtiendra du bon avec du matériel coûteux.

Car la moitié du résultat final, au moins,dépend de la mise en oeuvre;
et là,la tâche n'est pas facile.

Voici donc une série de conseils de bébert, le chef d'orchestre.

Commençons aujourd'hui par le disque noir avec deux conseils:

1. Pas d'écoute sans disque froid:

La pâte utilisée, surtout depuis les années 60 -elle était de qualité
supérieure avant-est très sensible à la température et perd sa rigidité
avec l'élévation de la température: point n'est besoin d'atteindre des
températures de 30 ° où le disque se met à gondoler de façon visible; le
phénomène est plus sournois et la pâte perd ses qualités, de façon
progressive, à partir de 10/12°.
Elle commence alors à mollir et ne permet plus un guidage optimal du
diamant d'où un son qui a tendance à se boursoufler quelque peu. Cela
devient très net à partir de 19/20°, température habituelle de nos
salles d'écoute.
Pour y remédier, on peut achetr une machine dans laquelle on place le
disque deux minutes avant l'écoute et qui projette un aérosol de gaz
refroidissant . Inconvénient: la machine coûte 3000$ soit plus de 4000
euros au cours actuel du $
Il existe une autre solution gratuite: placer les disques au moins 6
heures dans un réfrigérateur.

La différence est ahurissante.

Pour ma part, j'ai installé un petit congélateur de 200 l, à côté de ma
salle d'écoute (en isolant l'ensemble pour ne pas percevoir le moindre
bruit de compresseur) et je place les disques que je vais écouter le
lendemain et le surlendemain. Réglage pour le froid minimum(soit moins 5
° car un froid trop intense -moins 15 ou+) peut provoquer des
microfendillements de la pâte.

2. Chasser les particules ypsen:

Le disque noir est aussi sensible aux particules dites "ypsen" dont
l'effet a été récemment mis en évidence par la physique contemporaine.
Ces particules, partout présentes surtout près du sol, ont tendance à
s'agglutiner autour des disques noirs sans qu'il s'agisse ni
d'électricité statique ni de charges magnétiques.Elles suivent des
trajectoires variables et connaissent des concentrations aléatoires et
épisodiques que la science actuelle n'arrive encore pas à expliquer
véritablement.

Elles sont gênantes pour nous car elles donnent des informations,
amplifiées ensuite, qui perturbent notamment les silences bien qu'on ne
puisse les percevoir directement. Il s'agirait là d'une des causes
possibles de l'expérience faite pat tout un chacun: il y a des jours où
le son est bon et d'autres moins bon sans que le matériel ait changé le
moins du monde. Voir sur les ypsens les travaux très récents de
Friedrich Karlst (Université de BERLIN, départ. U32).

Le combat contre les ypsens est difficile mais une solution consiste à
laisser le disque entre deux plaques métalliques verticales: l'une de
zinc non relié à la terre et l'autre de cuivre reliée à la terre. Ces
plaques auront la surface du disque( ou supérieure peu importe) et le
disque sera enserré entre ces plaques deux à trois secondes. Le contact
plaque/disque doit se faire mais attention à ne pas rayer ce dernier.
J'ai installé un système calibré qui permet de presser juste ce qu'il
faut avec une ouverture automatique d'une des deux plaques pour dégager
le disque. J'insiste bien sur le fait que l'ensemble (plaque+disque)doit
être strictement vertical (pour l'écoulement des ypsens).

Voici pour aujourd'hui.
le chef d'orchestre.

10 réponses

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era
bebert a écrit :
ien des auditeurs font trop confiance en leur matériel: ils pensent
qu'il suffit de l'acheter, de bonne qualité, et hop, c'est fini!

A la vérité, cela est bien faux: certes, on n'obtiendra jamais rien de
bon avec du mauvais matériel mais cela ne signifie pas que l'on
obtiendra du bon avec du matériel coûteux.

Car la moitié du résultat final, au moins,dépend de la mise en oeuvre;
et là,la tâche n'est pas facile.

Voici donc une série de conseils de bébert, le chef d'orchestre.

Commençons aujourd'hui par le disque noir avec deux conseils:

1. Pas d'écoute sans disque froid:

La pâte utilisée, surtout depuis les années 60 -elle était de qualité
supérieure avant-est très sensible à la température et perd sa rigidité
avec l'élévation de la température: point n'est besoin d'atteindre des
températures de 30 ° où le disque se met à gondoler de façon visible; le
phénomène est plus sournois et la pâte perd ses qualités, de façon
progressive, à partir de 10/12°.
Elle commence alors à mollir et ne permet plus un guidage optimal du
diamant d'où un son qui a tendance à se boursoufler quelque peu. Cela
devient très net à partir de 19/20°, température habituelle de nos
salles d'écoute.
Pour y remédier, on peut achetr une machine dans laquelle on place le
disque deux minutes avant l'écoute et qui projette un aérosol de gaz
refroidissant . Inconvénient: la machine coûte 3000$ soit plus de 4000
euros au cours actuel du $
Il existe une autre solution gratuite: placer les disques au moins 6
heures dans un réfrigérateur.

La différence est ahurissante.

Pour ma part, j'ai installé un petit congélateur de 200 l, à côté de ma
salle d'écoute (en isolant l'ensemble pour ne pas percevoir le moindre
bruit de compresseur) et je place les disques que je vais écouter le
lendemain et le surlendemain. Réglage pour le froid minimum(soit moins 5
° car un froid trop intense -moins 15 ou+) peut provoquer des
microfendillements de la pâte.

2. Chasser les particules ypsen:

Le disque noir est aussi sensible aux particules dites "ypsen" dont
l'effet a été récemment mis en évidence par la physique contemporaine.
Ces particules, partout présentes surtout près du sol, ont tendance à
s'agglutiner autour des disques noirs sans qu'il s'agisse ni
d'électricité statique ni de charges magnétiques.Elles suivent des
trajectoires variables et connaissent des concentrations aléatoires et
épisodiques que la science actuelle n'arrive encore pas à expliquer
véritablement.

Elles sont gênantes pour nous car elles donnent des informations,
amplifiées ensuite, qui perturbent notamment les silences bien qu'on ne
puisse les percevoir directement. Il s'agirait là d'une des causes
possibles de l'expérience faite pat tout un chacun: il y a des jours où
le son est bon et d'autres moins bon sans que le matériel ait changé le
moins du monde. Voir sur les ypsens les travaux très récents de
Friedrich Karlst (Université de BERLIN, départ. U32).

Le combat contre les ypsens est difficile mais une solution consiste à
laisser le disque entre deux plaques métalliques verticales: l'une de
zinc non relié à la terre et l'autre de cuivre reliée à la terre. Ces
plaques auront la surface du disque( ou supérieure peu importe) et le
disque sera enserré entre ces plaques deux à trois secondes. Le contact
plaque/disque doit se faire mais attention à ne pas rayer ce dernier.
J'ai installé un système calibré qui permet de presser juste ce qu'il
faut avec une ouverture automatique d'une des deux plaques pour dégager
le disque. J'insiste bien sur le fait que l'ensemble (plaque+disque)doit
être strictement vertical (pour l'écoulement des ypsens).

Voici pour aujourd'hui.
le chef d'orchestre.



N'importe quoi !
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Dominique Bourdeau
"bebert" a écrit dans le message de news:
OpxZi.12$
ien des auditeurs font trop confiance en leur matériel: ils pensent qu'il
suffit de l'acheter, de bonne qualité, et hop, c'est fini!

A la vérité, cela est bien faux: certes, on n'obtiendra jamais rien de bon
avec du mauvais matériel mais cela ne signifie pas que l'on obtiendra du
bon avec du matériel coûteux.

Car la moitié du résultat final, au moins,dépend de la mise en oeuvre; et
là,la tâche n'est pas facile.

Voici donc une série de conseils de bébert, le chef d'orchestre.

Commençons aujourd'hui par le disque noir avec deux conseils:

1. Pas d'écoute sans disque froid:

La pâte utilisée, surtout depuis les années 60 -elle était de qualité
supérieure avant-est très sensible à la température et perd sa rigidité
avec l'élévation de la température: point n'est besoin d'atteindre des
températures de 30 ° où le disque se met à gondoler de façon visible; le
phénomène est plus sournois et la pâte perd ses qualités, de façon
progressive, à partir de 10/12°.
Elle commence alors à mollir et ne permet plus un guidage optimal du
diamant d'où un son qui a tendance à se boursoufler quelque peu. Cela
devient très net à partir de 19/20°, température habituelle de nos salles
d'écoute.
Pour y remédier, on peut achetr une machine dans laquelle on place le
disque deux minutes avant l'écoute et qui projette un aérosol de gaz
refroidissant . Inconvénient: la machine coûte 3000$ soit plus de 4000
euros au cours actuel du $
Il existe une autre solution gratuite: placer les disques au moins 6
heures dans un réfrigérateur.

La différence est ahurissante.

Pour ma part, j'ai installé un petit congélateur de 200 l, à côté de ma
salle d'écoute (en isolant l'ensemble pour ne pas percevoir le moindre
bruit de compresseur) et je place les disques que je vais écouter le
lendemain et le surlendemain. Réglage pour le froid minimum(soit moins 5 °
car un froid trop intense -moins 15 ou+) peut provoquer des
microfendillements de la pâte.

2. Chasser les particules ypsen:

Le disque noir est aussi sensible aux particules dites "ypsen" dont
l'effet a été récemment mis en évidence par la physique contemporaine. Ces
particules, partout présentes surtout près du sol, ont tendance à
s'agglutiner autour des disques noirs sans qu'il s'agisse ni d'électricité
statique ni de charges magnétiques.Elles suivent des trajectoires
variables et connaissent des concentrations aléatoires et épisodiques que
la science actuelle n'arrive encore pas à expliquer véritablement.

Elles sont gênantes pour nous car elles donnent des informations,
amplifiées ensuite, qui perturbent notamment les silences bien qu'on ne
puisse les percevoir directement. Il s'agirait là d'une des causes
possibles de l'expérience faite pat tout un chacun: il y a des jours où le
son est bon et d'autres moins bon sans que le matériel ait changé le moins
du monde. Voir sur les ypsens les travaux très récents de Friedrich Karlst
(Université de BERLIN, départ. U32).

Le combat contre les ypsens est difficile mais une solution consiste à
laisser le disque entre deux plaques métalliques verticales: l'une de zinc
non relié à la terre et l'autre de cuivre reliée à la terre. Ces plaques
auront la surface du disque( ou supérieure peu importe) et le disque sera
enserré entre ces plaques deux à trois secondes. Le contact plaque/disque
doit se faire mais attention à ne pas rayer ce dernier.
J'ai installé un système calibré qui permet de presser juste ce qu'il faut
avec une ouverture automatique d'une des deux plaques pour dégager le
disque. J'insiste bien sur le fait que l'ensemble (plaque+disque)doit être
strictement vertical (pour l'écoulement des ypsens).

Voici pour aujourd'hui.
le chef d'orchestre.




Il nous prépare un opéra comique le chef d'orchestre !!!
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Bigjoe
"bebert" a écrit dans le message de
news:OpxZi.12$
ien des auditeurs font trop confiance en leur matériel: ils pensent
qu'il suffit de l'acheter, de bonne qualité, et hop, c'est fini!
<<<<<<<< cut
Le combat contre les ypsens est difficile mais une solution consiste à
laisser le disque entre deux plaques métalliques verticales: l'une de
zinc non relié à la terre et l'autre de cuivre reliée à la terre. Ces
plaques auront la surface du disque( ou supérieure peu importe) et le
disque sera enserré entre ces plaques deux à trois secondes. Le contact
plaque/disque doit se faire mais attention à ne pas rayer ce dernier.
J'ai installé un système calibré qui permet de presser juste ce qu'il
faut avec une ouverture automatique d'une des deux plaques pour dégager
le disque. J'insiste bien sur le fait que l'ensemble (plaque+disque)doit
être strictement vertical (pour l'écoulement des ypsens).




Est-il utile de prévoir un entonnoir pour pouvoir les récolter
dans un récipient ? Une fois récoltés, les ypsens peuvent-ils
avoir une utilité (laquelle) ou faut-il les détruire (comment) ?
L'entonnoir et/ou le récipient doivent-ils être constitués d'un
matériau particulier ? Plutôt synthétique ou métallique ?
Du mégacrétinium ultrasuractivé convient-il pour cet usage ?
Est-il préférable d'utiliser l'entonnoir côté évasé vers le haut,
placé sous le disque pour récolter les ypsens, ou côté évasé
orienté vers le bas et posé sur la tête de l'utilisateur ?
:-)



Voici pour aujourd'hui.
le chef d'orchestre.


Avatar
Jean-Pierre Roche
Bigjoe a écrit :

Est-il utile de prévoir un entonnoir pour pouvoir les récolter
dans un récipient ?



Surtout ne pas oublier de mettre l'entonnoir sur sa tête à
la fin de l'opération pour que les ypsens collés sur les
parois tombent dans la chevelure de l'opérateur et s'y
nichent. Terminer par une douche glacée pour s'en
débarrasser : c'est radical.

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...

http://jpierreroche.free.fr/
Avatar
roger_sale_et_gros
"Bigjoe" a écrit

Est-il utile de prévoir un entonnoir pour pouvoir les récolter
dans un récipient ? Une fois récoltés, les ypsens peuvent-ils
avoir une utilité (laquelle) ou faut-il les détruire (comment) ?
L'entonnoir et/ou le récipient doivent-ils être constitués d'un
matériau particulier ? Plutôt synthétique ou métallique ?
Du mégacrétinium ultrasuractivé convient-il pour cet usage ?
Est-il préférable d'utiliser l'entonnoir côté évasé vers le haut,
placé sous le disque pour récolter les ypsens, ou côté évasé
orienté vers le bas et posé sur la tête de l'utilisateur ?
:-)



D'autres solutions à mettre en oeuvre ici :
http://www.ffworld.com/?rubÿ9&page=s3_11-ypsen

MC
Avatar
sebastienmarty
bebert wrote:

ien des auditeurs font trop confiance en leur matériel: ils pensent
qu'il suffit de l'acheter, de bonne qualité, et hop, c'est fini!
[snip]



Merci pour cette bonne tranche de rigolade. Je vois que les charlatans
en tout genre ont encore de bons gogos idiophiles à plumer.

--
[SbM]
<http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr>
<http://sbm.ordinotheque.free.fr> - <http://palmiciel.free.fr>
"If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
Avatar
roger_sale_et_gros
"bebert" a écrit

Il existe une autre solution gratuite: placer les disques au moins 6
heures dans un réfrigérateur.



Et là, ça m'intéresse ! Où puis-je me procurer un
réfrigérateur gratuit ? A l'approche des fêtes, voilà un
cadeau inattendu mais qui en jette...

MC
Avatar
roger_sale_et_gros
"François Yves Le Gal" a écrit

Bien, mais insuffisant : il faut également régler ses tympans en
injectant
le bon mélange de gaz dans le conduit auriculaire. L'hélium est
nasillard,
l'oxygène vif, etc. Si liquéfié, le tympan se tend, rendant le son
plus
aigu, etc.



Attention tout de même : l'hélium gazeux n'est pas plus froid qu'un
pet de nonne... L'hélium liquide, ça, c'est pas du tout pareil.
Mais ce n'est pas le même prix...

MC
Avatar
simon
Dominique Bourdeau wrote:
"bebert" a écrit dans le message de news:
OpxZi.12$
ien des auditeurs font trop confiance en leur matériel: ils pensent
qu'il suffit de l'acheter, de bonne qualité, et hop, c'est fini!

A la vérité, cela est bien faux: certes, on n'obtiendra jamais rien
de bon avec du mauvais matériel mais cela ne signifie pas que l'on
obtiendra du bon avec du matériel coûteux.

Car la moitié du résultat final, au moins,dépend de la mise en
oeuvre; et là,la tâche n'est pas facile.

Voici donc une série de conseils de bébert, le chef d'orchestre.

Commençons aujourd'hui par le disque noir avec deux conseils:

1. Pas d'écoute sans disque froid:

La pâte utilisée, surtout depuis les années 60 -elle était de qualité
supérieure avant-est très sensible à la température et perd sa
rigidité avec l'élévation de la température: point n'est besoin
d'atteindre des températures de 30 ° où le disque se met à gondoler
de façon visible; le phénomène est plus sournois et la pâte perd ses
qualités, de façon progressive, à partir de 10/12°.
Elle commence alors à mollir et ne permet plus un guidage optimal du
diamant d'où un son qui a tendance à se boursoufler quelque peu. Cela
devient très net à partir de 19/20°, température habituelle de nos
salles d'écoute.
Pour y remédier, on peut achetr une machine dans laquelle on place le
disque deux minutes avant l'écoute et qui projette un aérosol de gaz
refroidissant . Inconvénient: la machine coûte 3000$ soit plus de
4000 euros au cours actuel du $
Il existe une autre solution gratuite: placer les disques au moins 6
heures dans un réfrigérateur.

La différence est ahurissante.

Pour ma part, j'ai installé un petit congélateur de 200 l, à côté de
ma salle d'écoute (en isolant l'ensemble pour ne pas percevoir le
moindre bruit de compresseur) et je place les disques que je vais
écouter le lendemain et le surlendemain. Réglage pour le froid
minimum(soit moins 5 ° car un froid trop intense -moins 15 ou+) peut
provoquer des microfendillements de la pâte.

2. Chasser les particules ypsen:

Le disque noir est aussi sensible aux particules dites "ypsen" dont
l'effet a été récemment mis en évidence par la physique
contemporaine. Ces particules, partout présentes surtout près du
sol, ont tendance à s'agglutiner autour des disques noirs sans qu'il
s'agisse ni d'électricité statique ni de charges magnétiques.Elles
suivent des trajectoires variables et connaissent des concentrations
aléatoires et épisodiques que la science actuelle n'arrive encore
pas à expliquer véritablement. Elles sont gênantes pour nous car elles
donnent des informations,
amplifiées ensuite, qui perturbent notamment les silences bien qu'on
ne puisse les percevoir directement. Il s'agirait là d'une des causes
possibles de l'expérience faite pat tout un chacun: il y a des jours
où le son est bon et d'autres moins bon sans que le matériel ait
changé le moins du monde. Voir sur les ypsens les travaux très
récents de Friedrich Karlst (Université de BERLIN, départ. U32).

Le combat contre les ypsens est difficile mais une solution consiste
à laisser le disque entre deux plaques métalliques verticales: l'une
de zinc non relié à la terre et l'autre de cuivre reliée à la terre.
Ces plaques auront la surface du disque( ou supérieure peu importe)
et le disque sera enserré entre ces plaques deux à trois secondes.
Le contact plaque/disque doit se faire mais attention à ne pas rayer
ce dernier. J'ai installé un système calibré qui permet de presser juste
ce
qu'il faut avec une ouverture automatique d'une des deux plaques
pour dégager le disque. J'insiste bien sur le fait que l'ensemble
(plaque+disque)doit être strictement vertical (pour l'écoulement des
ypsens). Voici pour aujourd'hui.
le chef d'orchestre.




Il nous prépare un opéra comique le chef d'orchestre !!!



Plutôt un opérette: la veuve noire!

Michel
Avatar
roger_sale_et_gros
"luc" a écrit

par exemple 1 barril de pretrol a 100 dollar ne vaut que 76.012 euro
(
le meme prix qu'il y a 5 ans)



De quoi se plaint-on alors ?
;-)
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