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decision du bâtonnier à l'encontre d'un "client particulièrement exigeant"

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pierre_leplus
Bonjour,
J'ai =C3=A9t=C3=A9 tr=C3=A8s surpris de l'interpr=C3=A9tation qu'a fait le =
B=C3=A2tonnier
des pi=C3=A8ces et des =C3=A9l=C3=A9ments qui lui ont =C3=A9t=C3=A9 communi=
qu=C3=A9slors d'une
demande de taxation d'honoraires.
J'avais en effet d=C3=A9nonc=C3=A9 mon avocat qui avait lanc=C3=A9 une proc=
=C3=A9dure
en r=C3=A9f=C3=A9r=C3=A9 aupr=C3=A8s du CPH alors qu'il devait au pr=C3=A9a=
lable
1) demander une confirmation des faits aupr=C3=A8s du comptable de mon
entreprise,
2) m'aider =C3=A0 trouver un compromis avec mon patron avant de lancer
cette proc=C3=A9dure. Pour information j'ai d=C3=BB faire radier la proc=
=C3=A9dure
par mon nouvel avocat.

Les emails =C3=A9chang=C3=A9s avec mon avocat confirment notre accord sur c=
es
pr=C3=A9alables, et n'ont pas =C3=A9t=C3=A9 contest=C3=A9s. Mon ex-avocat n=
e conteste
pas ces deux pr=C3=A9alables mais indique, contradictoirement, que je lui
aurais donn=C3=A9 mon accord (allez chercher l'erreur).

Ni mon (ex) avocat, ni moi m=C3=AAme, relatons qu'il y a eu rapprochement
avec mon patron, n=C3=A9anmoins le B=C3=A2tonnier inscrit dans sa d=C3=A9ci=
sion:
=C2=AB il est donc incontestable en premier lieu que Ma=C3=AEtre X a bien
=C3=A9t=C3=A9 mandat=C3=A9 par (moi-m=C3=AAme) pour tenter un rapprochement=
et pour
agir judiciairement, ce qu'il a fait =C2=BB. ????
D'o=C3=B9 le b=C3=A2tonnier sort-il que mon ex-avocat a tent=C3=A9 un
rapprochement, nul ne le sait.

Il se base n=C3=A9anmoins l=C3=A0 dessus et sur la r=C3=A9putation de mon a=
vocat =C2=AB
dont la comp=C3=A9tence en droit social et la r=C3=A9putation sont connues =
bien
au-del=C3=A0 du ressort de la cour d'appel d'Aix en Provence =C2=BB pour
d=C3=A9cider que je devais non seulement ce que m'a d=C3=A9j=C3=A0 demand=
=C3=A9 mon
ex-avocat mais que je devais en plus la totalit=C3=A9 des honoraires
(1794=E2=82=AC) habituellement demand=C3=A9s pour un dossier de ce type, "en
retenant" que j'=C3=A9tais un client =C2=AB particuli=C3=A8rement exigeant =
=C2=BB.

Je suppose que les remarques concernant la r=C3=A9putation de mon ex-avocat
aupr=C3=A8s de la cour d'appel d'Aix en Provence ne sont pas innocent...
d'autant qu'=C3=A9tant professeur de droit il a s=C3=BBrement plus qu'une
r=C3=A9putation.
Ce qui ne l'emp=C3=AAche pas d'oublier de m'indiquer lors de notre
entretien que ses tarifs sont hors-taxes puis plus tard par =C3=A9crit que
ses honoraires sont =C2=AB outre un honoraire de r=C3=A9sultat des sommes q=
ui
me seront allou=C3=A9s .=C2=BB
Sans pr=C3=A9ciser le montant de celui-ci...
Que me conseillez-vous de faire?=20

Pierre

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svbeev
a écrit dans le message de news:

Bonjour,
J'ai été très surpris de l'interprétation qu'a fait le Bâtonnier
des pièces et des éléments qui lui ont été communiquéslors d'une
demande de taxation d'honoraires.
J'avais en effet dénoncé mon avocat qui avait lancé une procédure


en référé auprès du CPH alors qu'il devait au préalable
1) demander une confirmation des faits auprès du comptable de mon
entreprise,


>2) m'aider à trouver un compromis avec mon patron avant de lancer
cette procédure. Pour information j'ai dû faire radier la procédure
par mon nouvel avocat.



Les emails échangés avec mon avocat confirment notre accord sur ces
préalables, et n'ont pas été contestés. Mon ex-avocat ne conteste
pas ces deux préalables mais indique, contradictoirement, que je lui
aurais donné mon accord (allez chercher l'erreur).



Ni mon (ex) avocat, ni moi même, relatons qu'il y a eu rapprochement
avec mon patron, néanmoins le Bâtonnier inscrit dans sa décision:


>« il est donc incontestable en premier lieu que Maître X a bien
été mandaté par (moi-même) pour tenter un rapprochement et pour
agir judiciairement, ce qu'il a fait ». ????
D'où le bâtonnier sort-il que mon ex-avocat a tenté un
rapprochement, nul ne le sait



Donc, nous ne le saurons pas plus que vous.

Il se base néanmoins là dessus et sur la réputation de mon avocat «
dont la compétence en droit social et la réputation sont connues bien
au-delà du ressort de la cour d'appel d'Aix en Provence » pour
décider que je devais non seulement ce que m'a déjà demandé mon
ex-avocat mais que je devais en plus la totalité des honoraires
(1794?) habituellement demandés pour un dossier de ce type, "en
retenant" que j'étais un client « particulièrement exigeant ».



Je suppose que les remarques concernant la réputation de mon ex-avocat
auprès de la cour d'appel d'Aix en Provence ne sont pas innocent...
d'autant qu'étant professeur de droit il a sûrement plus qu'une
réputation.



Ne cherchez pas nécessairement de malice de la part du bâtonier en ce qui
concerne la référence à la réputation de l'avocat puisqu'il s'agit d'un des
criters retenus par la loi pour la fixation des honoraires (cf article 10 de
la loi du 31 décembre 1971). La loi parle de notoriété ce qui est une notion
très voisine.

Ce qui ne l'empêche pas d'oublier de m'indiquer lors de notre
entretien que ses tarifs sont hors-taxes puis plus tard par écrit que
ses honoraires sont « outre un honoraire de résultat des sommes qui
me seront alloués .»
Sans préciser le montant de celui-ci...
Que me conseillez-vous de faire?



Vous n'avez qu'une alternative :

- vous incliner
ou
- mettre en oeuvre la procédure de contestation prévue par le décret du 27
novembre 1991 en contestant l'ordonnance de taxe devant le premier président
de la cour d'appel. Le recours doit être régularisé dans le mois de la
notification de l'ordonnance de taxe et il se fait par lettre recommandée
avec avis de réception.
Vous pouvez vous présenter seul s'agissant d'une procédure sans
représentation obligatoire et vous pouvez donc exposer les motifs de votre
contestation.
Votre contestation ne portant pas uniquement sur l'évaluation des honoraires
mais sur la façon dont votre avocat a accompli son mandat, il n'est pas
totalement impossible que le magistrat fasse une analyse différente de celle
du bâtonnier.
Pierre


Avatar
pierre_leplus
svbeev a écrit :
>Je suppose que les remarques concernant la réputation de mon ex-avocat
>auprès de la cour d'appel d'Aix en Provence ne sont pas innocent...



Ne cherchez pas nécessairement de malice de la part du bâtonier en ce qui
concerne la référence à la réputation de l'avocat puisqu'il s'agi t d'un des
criters retenus par la loi pour la fixation des honoraires (cf article 10 de
la loi du 31 décembre 1971). La loi parle de notoriété ce qui est u ne notion
très voisine.


En l'occurence le Bâtonnier s'en sert pour expliquer que mon ex-avocat
" a semble t-il parfaitement appréhendé la nature du litige et ses
implications". En l'occurence il s'agit de non déclaration d'embauche
(travail dissimulé) dont mon patron rejetait la responsabilité sur le
comptable, d'où le besoin de vérifier au préalable cela auprès du
comptable, ce qui n'a pas été fait par mon avocat.

>Que me conseillez-vous de faire?

Vous n'avez qu'une alternative :
- vous incliner
ou
- mettre en oeuvre la procédure de contestation prévue par le décr et du 27
novembre 1991 en contestant l'ordonnance de taxe devant le premier prés ident
de la cour d'appel. Le recours doit être régularisé dans le mois de la
notification de l'ordonnance de taxe et il se fait par lettre recommand ée
avec avis de réception.
Vous pouvez vous présenter seul s'agissant d'une procédure sans
représentation obligatoire et vous pouvez donc exposer les motifs de vo tre
contestation.
Votre contestation ne portant pas uniquement sur l'évaluation des honor aires
mais sur la façon dont votre avocat a accompli son mandat, il n'est pas
totalement impossible que le magistrat fasse une analyse différente de celle
du bâtonnier.



Je vous remercie pour ces informations. A la lecture de la décision du
Bâtonnier, je me suis posé la question de savoir si l'interpretation
erronée qu'il a fait des éléments qui lui ont été communiqués,
qui vont jusqu'à indiquer que mon ex-avocat avait tenté un
rapprochement avec mon ex-patron, était dû à un manque de temps dans
l'analyse du dossier, ou "au respect" qu'a le Bâtonnier pour son
collègue. Et dans ce dernier cas je crains que le même "phénomêne"
se passe à la Cour d'appel d'Aix en Provence.
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Ouimais
a écrit :

En l'occurence le Bâtonnier s'en sert pour expliquer que mon ex-avocat
" a semble t-il parfaitement appréhendé la nature du litige et ses
implications". En l'occurence il s'agit de non déclaration d'embauche
(travail dissimulé) dont mon patron rejetait la responsabilité sur le
comptable, d'où le besoin de vérifier au préalable cela auprès du
comptable, ce qui n'a pas été fait par mon avocat.
>



La DUE prévue par l'article L320 du code du travail est du ressort
exclusif de l'employeur.
Celui-ci répond de son personnel, et je ne vois pas l'intéret de
votre démarche.
Sauf à espérer une attestation écrite du comptable indiquant que, en
dépit de ses conseils, l'employeur a sciemment omis d'établir cette
déclaration.
Maintenant vous avez effectivement intérêt à faire contrôler la
taxation, puisqu'elle prévoit, je crois avoir lu, un complément sur
les indemnités finales que vous êtes suceptible d'obtenir devant le
CPH (au moins 6 mois de salire pour travail dissimulé).
A+
Avatar
pierre_leplus
Ouimais a écrit :
La DUE prévue par l'article L320 du code du travail est du ressort
exclusif de l'employeur.
Celui-ci répond de son personnel, et je ne vois pas l'intéret de
votre démarche.
Sauf à espérer une attestation écrite du comptable indiquant que, en
dépit de ses conseils, l'employeur a sciemment omis d'établir cette
déclaration.



Effectivement je ne voulais pas mettre mon employeur en difficulté en
raison d'un "oubli" de la part du cabinet comptable. Mais comme je
l'avais signalé à mon ex-avocat, le cabinet comptable n'avait pas
voulu me répondre quand je lui ai demandé s'il avait bien reçu les
instructions de mon patron pour s'occuper de ma déclaration (DUE).
Mon ex-avocat m'avait alors affirmé qu'à lui en tant qu'avocat il lui
répondrait et nous avions convenu que le référé ne serait pas
lancé avant cette confirmation et uen tentative de négociation avec
mon patron.
Et en fait, il a simplement écrit au comptable qu'un référé avait
été déposé contre leur client (mon entreprise) et qu'il avait
"toujours beaucoup de plaisir à correspondre avec eux".
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Quidam
>Mon ex-avocat m'avait alors affirmé qu'à lui en tant qu'avocat il lui
répondrait et nous avions convenu que le référé ne serait pas
lancé avant cette confirmation et uen tentative de négociation avec
mon patron.



C'est une manoeuvre bien connue des avocats : promettre qu'il obtiendra ceci
et cela, "tenter" de l'obtenir, echouer, pour ensuite vous facturer les
courriers, déplacements, fax, etc.

Jamais une comptabilité d'une entreprise X ne répondra a un courrier de
l'avocat du salarier, et l'avocat le sait bien.
Avatar
pierre_leplus
Quidam a écrit :
Jamais une comptabilité d'une entreprise X ne répondra a un courrier de
l'avocat du salarier, et l'avocat le sait bien.


C'est pas ce que m'avait dit mon ex-avocat (dont la notoriété,...,
etc) mais du coup je comprends mieux sa précipitation à saisir le CPH
en supprimant ainsi toute possibilité de négociation avec mon patron
malgré ma demande à ce sujet.
J'avais dénoncé cette attitude dans ma demande de taxation
d'honoraires en expliquant bien que du coup j'avais été obligé de
faire radier le référé engagé sans mon accord, mais le Bâtonnier
n'en a pas tenu compte, et est allé même jusqu'à inventer que mon
ex-avocat avait tenté un rapprochement avec mon patron.
Maintenant je me vois contraint de faire appel à Aix en Provence pour
ne pas payer plus que ce que m'a facturé mon ex-avocat.
Avatar
Ouimais
a écrit :

Quidam a écrit :
> Jamais une comptabilité d'une entreprise X ne répondra a un courrie r de
> l'avocat du salarier, et l'avocat le sait bien.
C'est pas ce que m'avait dit mon ex-avocat (dont la notoriété,...,
etc) mais du coup je comprends mieux sa précipitation à saisir le CPH
en supprimant ainsi toute possibilité de négociation avec mon patron
malgré ma demande à ce sujet.
J'avais dénoncé cette attitude dans ma demande de taxation
d'honoraires en expliquant bien que du coup j'avais été obligé de
faire radier le référé engagé sans mon accord, mais le Bâtonnier
n'en a pas tenu compte, et est allé même jusqu'à inventer que mon
ex-avocat avait tenté un rapprochement avec mon patron.
Maintenant je me vois contraint de faire appel à Aix en Provence pour
ne pas payer plus que ce que m'a facturé mon ex-avocat.



Il faut quand même bien être des plus crédules, ou alors avoir mal
compris.
Comment espérer qu'un cabinet va avouer une faute professionelle à
quelqu'un susceptible de lui demander, aveux à l'appui, des dommages
et intérêts.
Comment espérer obtenir sans réquisition du même cabinet un document
ou une information susceptible d'entraîner la condamnation de son
client, au bénéfice d'un illustre inconnu ?
Plus vraissemblablement devant votre insistance l'avocat a-t-il
entrepris une démarche vers le cabinet, sans se faire d'illusion.
Preuve est que cette démarche est écrite, juste pour vous en prouver
l'accomplissement.
Pour le reste je ne vois pas l'intéret du référé auquel vous faites
allusion, s'agissant non pas de la fourniture d'un document, mais d'une
action au fond visant à la condamnation d'un employeur devant un CPH.
Je crains que de confusion en confusion vos affaires se compliquent.
Mais peut-être ai-je manqué une information.
Avatar
Quidam
>Il faut quand même bien être des plus crédules, ou alors avoir mal
compris.
Comment espérer qu'un cabinet va avouer une faute professionelle à
quelqu'un susceptible de lui demander, aveux à l'appui, des dommages
et intérêts.



Je ne suis pas dans les petits papiers de l'auteur du post, mais ma propre
expérience m'a ammené a voir des avocats *proposer, voir même imposer* eux
même une démarche vouée a l'échec. Lorsque le client lui fait remarquer que
son action n'a que peu de chance de prospérer, l'avocat marron fait un alors
un : "J'ai tout a fait les moyens de l'obtenir, ne vous inquiétez pas, je le
fais courrement" et si le client ne le lui interdit pas, effectivement, il
le fait, avec le résultat que l'on sait.

Plus vraissemblablement devant votre insistance l'avocat a-t-il
entrepris une démarche vers le cabinet, sans se faire d'illusion.
Preuve est que cette démarche est écrite, juste pour vous en prouver
l'accomplissement.



Ou plus simplement parceque cette demarche est facturée. L'avocat a un
interret *économique* a diligenter n'importe qu'elle anerie.

Du reste, est-ce que votre avocat vous a informé des modalités de calcul de
ses honoraires (bareme, forfait, etc.) ansi que de leur montant prévisible ?
Je parierais que non... et pourtant c'est obligatoire.
Avatar
pierre_leplus
Quidam a écrit :
Je ne suis pas dans les petits papiers de l'auteur du post, mais ma propre
expérience m'a ammené a voir des avocats *proposer, voir mà ªme imposer* eux
même une démarche vouée a l'échec. Lorsque le client lui fait remarquer que
son action n'a que peu de chance de prospérer, l'avocat marron fait un alors
un : "J'ai tout a fait les moyens de l'obtenir, ne vous inquiétez pa s, je le
fais courrement" et si le client ne le lui interdit pas, effectivement, il
le fait, avec le résultat que l'on sait.


C'est effectivement le cas

>Plus vraissemblablement devant votre insistance l'avocat a-t-il
>entrepris une démarche vers le cabinet, sans se faire d'illusion.
>Preuve est que cette démarche est écrite, juste pour vous en p rouver
>l'accomplissement.


C'est pire que ça, il m'a facturé l'envoi d'un courrier au cabinet
comptable pour simplement indiquer à celui-ci qu'il attaquait en
référé le client de ce cabinet (mon patron).

Ou plus simplement parceque cette demarche est facturée. L'avocat a un
interret *économique* a diligenter n'importe qu'elle anerie.
Du reste, est-ce que votre avocat vous a informé des modalités de calcul de
ses honoraires (bareme, forfait, etc.) ansi que de leur montant prév isible ?
Je parierais que non... et pourtant c'est obligatoire.


Certe mais le Bâtonnier lui donne raison en allant même jusqu'à  
alléguer que mon avocat a effectué des démarches qui n'appar aissent
nulle part dans ce qui lui a été adressé par moi et par mon
ex-avocat. Ce qui alourdi la facture puisque celle-ci passe de 1000₠¬
HT (600+400) demandé en provision lors de notre entretien à 1500 €
HT demandé par le Bâtonnier. Du coup je me retrouve non pas à   payer
moins que ce que m'a demandé mon avocat, mais plus sur la base de la
facture suivante:
"Décompte honoraires:
Réception client (deux rendez-vous) 1h ( il n'y a eu qu'un et mon
ex-avocat ne le conteste pas )
Analyse et constitution du dossier 3h (il n'y a pas eu de dossier
car je n'ai fourni aucune piece quand je me suis rendu compte que la
procédure en référé avait été lancé)
Correspondance avec la société X 0,15 (lettre informant le rà ©féré)
Correspondance avec l'expert comptable 0,15 (pour l'informer du
référé à l'encontre de mon patron)
Correspondance avec le client (moi même) 1h
Rédaction citation référé 0,30
taux horaire du cabinet 250 € HT
total HT 250€ x6 , total TTC 1794 € ..
RAMENE A LA SEULE SOMME PERCUE de 1196 € TTC"

J'ai de mon côté soumis au Bâtonnier le fait que la procà ©dure ait
été engagée sans mon accord et que dans tout les cas le dà ©compte
que je faisais de mon côté en tenant compte qu'il n'y a pas eu de
dossier (- 3h par rapport à la facture) et qu'il n'y a eu qu'un
rendez-vous (-1/2h) ramenait la facture à 250 € x2,5 soit 747 €
TTC au lieu des 1196€ que j'avais déjà payé.
Mais le Bâtonnier me condamne quand même à payer l'inté gralité des
1794€
Avatar
CEO
Le batonnier demande + que ce que l'avocat lui-meme demandait ???? Ca
parrait incroyable et totalement injustifié.

Ca craint un max. Maintenant case tribunal avec un dossier béton !

--------------
Correspondance avec le client (moi même) 1h
Rédaction citation référé 0,30
taux horaire du cabinet 250 ? HT
total HT 250? x6 , total TTC 1794 ? ..
RAMENE A LA SEULE SOMME PERCUE de 1196 ? TTC"
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