Le "déni de grossesse" est une pathologie beaucoup plus fréquente qu'on
ne le pense généralement. Mais c'est une affection qui est encore
malheureusement largement ignorée non seulement du grand public mais
aussi d'une partie du corps médical et de la justice. De ce fait, les
femmes qui présentent cette maladie se heurtent à un mur
d'incompréhension : non seulement elles ne reçoivent pas le plus souvent
les soins que leur état nécessite, mais elles peuvent même faire l'objet
de poursuites pénales en cas de décès du bébé.
Ce véritable problème de santé publique, négligé par les autorités
sanitaires, doit recevoir des réponses collectives (en termes de
prévention) et des réponses individuelles (en terme de prise en charge)
et ne plus être relégué au rang de "fait divers"
C'est pourquoi nous avons mis en ligne un petit site
(http://deni2grossesse.free.fr) qui a pour but de récolter le maximum
d'informations sur le déni de grossesse, car il n'a pas l'air d'exister
un tel site (en français), afin d'informer l'opinion publique et les
professionnels, mais aussi de venir en aide aux femmes qui souffrent ou
ont souffert d'un déni de grossesse ainsi qu'à leurs familles.
Nous avons d'ores et déjà publié un texte de synthèse sur le déni de
grossesse, dont voici le sommaire:
(http://deni2grossesse.free.fr/wiki/wakka.php?wiki=TexteDeSynthese)
1. Qu'est-ce que le "déni de grossesse" ? Quelques définitions.
2. Depuis quand connaît-on le déni de grossesse ? Historique.
3. Comment se présente le déni de grossesse ? Le tableau clinique
4. La naissance.
5. Aspects psychiatriques.
6. Fréquence du déni de grossesse. Un problème de santé publique.
7. Notes
Il a été écrit par des gens qui ne sont pas spécialistes, mais qui ont
été confronté à ce problème (lire "DENI DE JUSTICE" ci-dessous).
Toutes les contributions sont les bienvenues, n'hésitez pas à nous
envoyer des informations ou des témoignages.
DENI DE JUSTICE
Stéphanie mère d'un enfant de trois ans a été incarcérée le 24 avril
2004 à la prison des Seysses, Toulouse.
Victime de troubles psychologiques graves, cette jeune femme en détresse
a accouchée seule chez elle dans des conditions épouvantables le 22 mars
2004. En l'absence d'assistance médicalisée qui aurait éventuellement pu
permette de réanimer le nourrisson en état de mort apparente, elle a
perdu son enfant. Elle même a failli mourir d'une hémorragie massive.
Victime des médias qui se sont dépêchés de transformer sa tragédie en un
sordide fait divers pour augmenter leurs ventes et leurs profits elle a
été, sans qu'elle puisse se défendre car hospitalisée aux urgences,
soumise à un véritable lynchage médiatique et accusée sans preuves.
Victime de la justice (toulousaine) qui l'accuse d'homicide volontaire
alors que tout prouve le contraire. Ainsi il n'y a aucune trace de
violence sur le corps du bébé et aucun mobile n'a été donné par
l'enquête. Pourtant, et sans procès qui aurait pu permettre à Stéphanie
de se défendre, elle a été arrachée de son lit d'hôpital où elle était
encore sous perfusion et emprisonnée.
Nous, amis de Stéphanie, exigeons la libération immédiate de Stéphanie.
Les amis de Stéphanie
7 rue Saint-Remesy
31000 Toulouse
lesamisdestephanie@hotmail.com
Pour soutenir Stépnanie:
– Télécharger, signer et renvoyer la pétition
(http://deni2grossesse.free.fr/wiki/documents/petition.pdf)
– Demander sa libération en écrivant au Juge des libertés et des
détentions, TGI, Place du Salin 31 000 Toulouse et au directeur de la
Maison d'Arrêt de Seysses, rue Casanova BP 85 Seysses, 31603 Muret
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Le "déni de grossesse" est une pathologie beaucoup plus fréquente qu'on ne le pense généralement. Mais c'est une affection qui est encore malheureusement largement ignorée non seulement du grand public mais aussi d'une partie du corps médical et de la justice. De ce fait, les femmes qui présentent cette maladie se heurtent à un mur d'incompréhension : non seulement elles ne reçoivent pas le plus souvent les soins que leur état nécessite, mais elles peuvent même faire l'objet de poursuites pénales en cas de décès du bébé.
Ce véritable problème de santé publique, négligé par les autorités sanitaires, doit recevoir des réponses collectives (en termes de prévention) et des réponses individuelles (en terme de prise en charge) et ne plus être relégué au rang de "fait divers"
C'est pourquoi nous avons mis en ligne un petit site (http://deni2grossesse.free.fr) qui a pour but de récolter le maximum d'informations sur le déni de grossesse, car il n'a pas l'air d'exister un tel site (en français), afin d'informer l'opinion publique et les professionnels, mais aussi de venir en aide aux femmes qui souffrent ou ont souffert d'un déni de grossesse ainsi qu'à leurs familles.
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1. Qu'est-ce que le "déni de grossesse" ? Quelques définitions. 2. Depuis quand connaît-on le déni de grossesse ? Historique. 3. Comment se présente le déni de grossesse ? Le tableau clinique 4. La naissance. 5. Aspects psychiatriques. 6. Fréquence du déni de grossesse. Un problème de santé publique. 7. Notes
Il a été écrit par des gens qui ne sont pas spécialistes, mais qui ont été confronté à ce problème (lire "DENI DE JUSTICE" ci-dessous).
Toutes les contributions sont les bienvenues, n'hésitez pas à nous envoyer des informations ou des témoignages.
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Stéphanie mère d'un enfant de trois ans a été incarcérée le 24 avril 2004 à la prison des Seysses, Toulouse.
Victime de troubles psychologiques graves, cette jeune femme en détresse a accouchée seule chez elle dans des conditions épouvantables le 22 mars 2004. En l'absence d'assistance médicalisée qui aurait éventuellement pu permette de réanimer le nourrisson en état de mort apparente, elle a perdu son enfant. Elle même a failli mourir d'une hémorragie massive.
Victime des médias qui se sont dépêchés de transformer sa tragédie en un sordide fait divers pour augmenter leurs ventes et leurs profits elle a été, sans qu'elle puisse se défendre car hospitalisée aux urgences, soumise à un véritable lynchage médiatique et accusée sans preuves.
Victime de la justice (toulousaine) qui l'accuse d'homicide volontaire alors que tout prouve le contraire. Ainsi il n'y a aucune trace de violence sur le corps du bébé et aucun mobile n'a été donné par l'enquête. Pourtant, et sans procès qui aurait pu permettre à Stéphanie de se défendre, elle a été arrachée de son lit d'hôpital où elle était encore sous perfusion et emprisonnée.
Nous, amis de Stéphanie, exigeons la libération immédiate de Stéphanie.
Les amis de Stéphanie 7 rue Saint-Remesy 31000 Toulouse
Pour soutenir Stépnanie:
– Télécharger, signer et renvoyer la pétition (http://deni2grossesse.free.fr/wiki/documents/petition.pdf)
– Demander sa libération en écrivant au Juge des libertés et des détentions, TGI, Place du Salin 31 000 Toulouse et au directeur de la Maison d'Arrêt de Seysses, rue Casanova BP 85 Seysses, 31603 Muret
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"jules" <jules.vaillant@free.fr> a écrit dans le message de news:
c8qqd7$d66$1@shakotay.alphanet.ch...
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ne le pense généralement. Mais c'est une affection qui est encore
malheureusement largement ignorée non seulement du grand public mais
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femmes qui présentent cette maladie se heurtent à un mur
d'incompréhension : non seulement elles ne reçoivent pas le plus souvent
les soins que leur état nécessite, mais elles peuvent même faire l'objet
de poursuites pénales en cas de décès du bébé.
Ce véritable problème de santé publique, négligé par les autorités
sanitaires, doit recevoir des réponses collectives (en termes de
prévention) et des réponses individuelles (en terme de prise en charge)
et ne plus être relégué au rang de "fait divers"
C'est pourquoi nous avons mis en ligne un petit site
(http://deni2grossesse.free.fr) qui a pour but de récolter le maximum
d'informations sur le déni de grossesse, car il n'a pas l'air d'exister
un tel site (en français), afin d'informer l'opinion publique et les
professionnels, mais aussi de venir en aide aux femmes qui souffrent ou
ont souffert d'un déni de grossesse ainsi qu'à leurs familles.
Nous avons d'ores et déjà publié un texte de synthèse sur le déni de
grossesse, dont voici le sommaire:
(http://deni2grossesse.free.fr/wiki/wakka.php?wiki=TexteDeSynthese)
1. Qu'est-ce que le "déni de grossesse" ? Quelques définitions.
2. Depuis quand connaît-on le déni de grossesse ? Historique.
3. Comment se présente le déni de grossesse ? Le tableau clinique
4. La naissance.
5. Aspects psychiatriques.
6. Fréquence du déni de grossesse. Un problème de santé publique.
7. Notes
Il a été écrit par des gens qui ne sont pas spécialistes, mais qui ont
été confronté à ce problème (lire "DENI DE JUSTICE" ci-dessous).
Toutes les contributions sont les bienvenues, n'hésitez pas à nous
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DENI DE JUSTICE
Stéphanie mère d'un enfant de trois ans a été incarcérée le 24 avril
2004 à la prison des Seysses, Toulouse.
Victime de troubles psychologiques graves, cette jeune femme en détresse
a accouchée seule chez elle dans des conditions épouvantables le 22 mars
2004. En l'absence d'assistance médicalisée qui aurait éventuellement pu
permette de réanimer le nourrisson en état de mort apparente, elle a
perdu son enfant. Elle même a failli mourir d'une hémorragie massive.
Victime des médias qui se sont dépêchés de transformer sa tragédie en un
sordide fait divers pour augmenter leurs ventes et leurs profits elle a
été, sans qu'elle puisse se défendre car hospitalisée aux urgences,
soumise à un véritable lynchage médiatique et accusée sans preuves.
Victime de la justice (toulousaine) qui l'accuse d'homicide volontaire
alors que tout prouve le contraire. Ainsi il n'y a aucune trace de
violence sur le corps du bébé et aucun mobile n'a été donné par
l'enquête. Pourtant, et sans procès qui aurait pu permettre à Stéphanie
de se défendre, elle a été arrachée de son lit d'hôpital où elle était
encore sous perfusion et emprisonnée.
Nous, amis de Stéphanie, exigeons la libération immédiate de Stéphanie.
Les amis de Stéphanie
7 rue Saint-Remesy
31000 Toulouse
lesamisdestephanie@hotmail.com
Pour soutenir Stépnanie:
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détentions, TGI, Place du Salin 31 000 Toulouse et au directeur de la
Maison d'Arrêt de Seysses, rue Casanova BP 85 Seysses, 31603 Muret
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Le "déni de grossesse" est une pathologie beaucoup plus fréquente qu'on ne le pense généralement. Mais c'est une affection qui est encore malheureusement largement ignorée non seulement du grand public mais aussi d'une partie du corps médical et de la justice. De ce fait, les femmes qui présentent cette maladie se heurtent à un mur d'incompréhension : non seulement elles ne reçoivent pas le plus souvent les soins que leur état nécessite, mais elles peuvent même faire l'objet de poursuites pénales en cas de décès du bébé.
Ce véritable problème de santé publique, négligé par les autorités sanitaires, doit recevoir des réponses collectives (en termes de prévention) et des réponses individuelles (en terme de prise en charge) et ne plus être relégué au rang de "fait divers"
C'est pourquoi nous avons mis en ligne un petit site (http://deni2grossesse.free.fr) qui a pour but de récolter le maximum d'informations sur le déni de grossesse, car il n'a pas l'air d'exister un tel site (en français), afin d'informer l'opinion publique et les professionnels, mais aussi de venir en aide aux femmes qui souffrent ou ont souffert d'un déni de grossesse ainsi qu'à leurs familles.
Nous avons d'ores et déjà publié un texte de synthèse sur le déni de grossesse, dont voici le sommaire: (http://deni2grossesse.free.fr/wiki/wakka.php?wiki=TexteDeSynthese)
1. Qu'est-ce que le "déni de grossesse" ? Quelques définitions. 2. Depuis quand connaît-on le déni de grossesse ? Historique. 3. Comment se présente le déni de grossesse ? Le tableau clinique 4. La naissance. 5. Aspects psychiatriques. 6. Fréquence du déni de grossesse. Un problème de santé publique. 7. Notes
Il a été écrit par des gens qui ne sont pas spécialistes, mais qui ont été confronté à ce problème (lire "DENI DE JUSTICE" ci-dessous).
Toutes les contributions sont les bienvenues, n'hésitez pas à nous envoyer des informations ou des témoignages.
DENI DE JUSTICE
Stéphanie mère d'un enfant de trois ans a été incarcérée le 24 avril 2004 à la prison des Seysses, Toulouse.
Victime de troubles psychologiques graves, cette jeune femme en détresse a accouchée seule chez elle dans des conditions épouvantables le 22 mars 2004. En l'absence d'assistance médicalisée qui aurait éventuellement pu permette de réanimer le nourrisson en état de mort apparente, elle a perdu son enfant. Elle même a failli mourir d'une hémorragie massive.
Victime des médias qui se sont dépêchés de transformer sa tragédie en un sordide fait divers pour augmenter leurs ventes et leurs profits elle a été, sans qu'elle puisse se défendre car hospitalisée aux urgences, soumise à un véritable lynchage médiatique et accusée sans preuves.
Victime de la justice (toulousaine) qui l'accuse d'homicide volontaire alors que tout prouve le contraire. Ainsi il n'y a aucune trace de violence sur le corps du bébé et aucun mobile n'a été donné par l'enquête. Pourtant, et sans procès qui aurait pu permettre à Stéphanie de se défendre, elle a été arrachée de son lit d'hôpital où elle était encore sous perfusion et emprisonnée.
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