Deux fonctionnaires abattus par un pecneau pour des prunes!

villenoel

08/03/2007 à 07:27

"mj.vuillemin" a écrit dans le message de news:
45eee293$0$21143$

villenoel wrote:
:: "mj.vuillemin" a écrit dans le message de
:: news: 45ee7bfd$0$21142$
:::

c'est donc pour cela que le fusil était prêt......préméditation alors de
mieux en mieux !!!

peut etre as tu raison.....mais le patron n'a pas a se faire complice de
ce genre de tricheur.....mais ça lui permets d'etre moins cher que son
collègue du coin !!!!
J.V

================ A la campagne le fusil est toujours prêt derrière la porte.
Non, j'exagère, mais ça existe encore sans qu'il y ait préméditation
particulière.

Pour le travail au noir, je puis certifier que c'est de plus en plus rare et
même très rare. Il faut dire que l'état sort les grands moyens :
surveillance par hélicoptère, tournée des inspecteurs, etc.
L'état se fait même complice de certains passe-droits.
Une année le patron a employé des Ukrainiens mais c'est vu imposer une
surtaxe pour emploi de travailleurs étrangers. Deux ou trois ans après on ne
trouvait plus de vendangeurs et le Ministre du travail a autorisé les
fonctionnaires à travailler pendant leurs congés. J'étais chef d'équipe et
je peux vous dire que c'est un vrai bordel à gérer.

Enfin je ne veux pas justifier deux meurtres mais je comprends qu'un mec
pète les plombs lorsqu'il est en surcharge.
Qui n'a jamais eu de pensées meurtrières dans certaines occasions.
--
villenoel

steux.m

08/03/2007 à 08:38

"villenoel" a écrit dans le message de news:
45ee73c6$0$5103$

Et quelle différence accordez-vous vis à vis de ce "pauvre cultivateur" qui
excédé tire et abat deux fonctionnaires du fisc.
Alors que lui-même abat lui deux "pauvres petits fonctionnaires"
n'aurait-il pas dû comme vous sembler évaluer aller abattre deux Hauts
fonctionnaires du ministère "des contributions" et ne pas s'arrêter a deux
"pauvres fonctionnaires" ???

Votre façon de voir me conduit a reconnaître un manque d'équilibre dans
l'évaluation des faits ???

Deux poids - deux mesures ????

--
YZOU

steux.m

08/03/2007 à 08:53

"villenoel" a écrit dans le message de news:
45ee8590$0$5094$

Ca c'est une réponse à la Arlette.
Premièrement, l'emploi des ouvriers au noir n'a pas été prouvé.

*** Allons ! Allons ! Avouez-le ! C'est monnaie courante !

Deuxièmement, le procédé est de plus en plus rare surtout chez les ploucs
qui sont en difficulté et qui s'attendent à la visite de tous les services
répressifs qui se passent les infos.

*** Voilà de votre part un aveu qui prouve ce que j'ai fait comme remarque
plus haut !

Troisièmement, ce sont souvent les "pauvres bougres" qui demandent à être
payés de la main à la main pour éviter des augmentations d'impôts

*** Vous continuez et confirmez mes dires !
(je dois dire que c'est "humain")

(cas des fonctionnaires qui font du noir)

*** Plus rare , mais tout aussi "humain" que pour les travailleurs!

ou pour éviter des pertes d'allocations chômage (cas des chômeurs qui
essayent de se faire une pièce en sus) ou

simplement pour gagner un peu plus en sachant que le patron économise les
charges (cas des ouvriers étrangers).

*** Et vous admettez cette situation ??? NON quand même .
Et je vous demande de l'examiner de deux façons.
1- le fait de travailler au noir comme vous dites pour avoir
une petite pièce NON taxée provoque des chômeurs
supplémentaires
2- Non seulement le patron en question économise des
charges mais n'oubliez PAS non plus qu'il exploite des
ouvrires étrangers qui travaillent pour "Rien"

Voilà quelques renseignements qui vous éviteront de dire des bétises à
l'avenir.

*** Voilà une façon de voir les choses qui vous permettra d'évaluer
justement la faute en question :

"C'est à dire l'abattage des deux fonctionnaires"

--
YZOU

ExtrêmeAchillès

08/03/2007 à 13:42

On 8 mar, 08:53, "steux.m" wrote:

"villenoel" a écrit dans le message de news:
45ee8590$0$5094$

> Ca c'est une réponse à la Arlette.
> Premièrement, l'emploi des ouvriers au noir n'a pas été prouvé.

*** Allons ! Allons ! Avouez-le ! C'est monnaie courante !

> Deuxièmement, le procédé est de plus en plus rare surtout chez le s ploucs
> qui sont en difficulté et qui s'attendent à la visite de tous les s ervices
> répressifs qui se passent les infos.

*** Voilà de votre part un aveu qui prouve ce que j'ai fait comme remar que
plus haut !

> Troisièmement, ce sont souvent les "pauvres bougres" qui demandent à être
> payés de la main à la main pour éviter des augmentations d'impô ts

*** Vous continuez et confirmez mes dires !
(je dois dire que c'est "humain")

(cas des fonctionnaires qui font du noir)

*** Plus rare , mais tout aussi "humain" que pour les travailleurs!

ou pour éviter des pertes d'allocations chômage (cas des chômeurs qui
essayent de se faire une pièce en sus) ou

> simplement pour gagner un peu plus en sachant que le patron économise les
> charges (cas des ouvriers étrangers).

*** Et vous admettez cette situation ??? NON quand même .
Et je vous demande de l'examiner de deux façons.
1- le fait de travailler au noir comme vous dites pour avoir
une petite pièce NON taxée provoque des chômeurs
supplémentaires
2- Non seulement le patron en question économise des
charges mais n'oubliez PAS non plus qu'il exploite des
ouvrires étrangers qui travaillent pour "Rien"

> Voilà quelques renseignements qui vous éviteront de dire des béti ses à
> l'avenir.

*** Voilà une façon de voir les choses qui vous permettra d'évaluer
justement la faute en question :

"C'est à dire l'abattage des deux fonctionnaires"

--
YZOU

Ce qui se pratique surtout c'est la chasse aux citoyens qui ont
quelques biens pour les spiolier par des procédés mafieux.
L'originalité de la France c'est de recourir au gangstérisme d'état et
c'est fastoch avec les codes de loi les plus compliquiés du monde ou
il existe tout et son contraire et ou le premier président de la cour
de cassation ne connait pas la loi, c'est très facile à vérifier, il
suffit de lui faire passer une interro.
Alors si les premiers juristes de france ne connaisent pas la loi,
sauf à avoir recours à leurs manuels, ordi ou archives, c'est que
quelqu'il y a quelque chose de pourri en France ou l'on demande au
citoyen de connaitre ces lois à 100%. Il est donc facile pour
n'importe qu'elle administration de planter qui elle veulent, comme
elles veulent, par le recours à la "loi". C'est de l'escroquerie avec
des moyens d'état.
Prenez le travail illégal des fonctionnaires pour vérifier par exemple
et leurs cumuls Privé-Public, contraire même à l'esprit des lois
depuis Hamourabi et Moïse.

On 8 mar, 08:53, "steux.m" <steu...@wanadoo.fr> wrote:

"villenoel" <villen...@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
45ee8590$0$5094$ba4ac...@news.orange.fr...

> Ca c'est une réponse à la Arlette.
> Premièrement, l'emploi des ouvriers au noir n'a pas été prouvé.

*** Allons ! Allons ! Avouez-le ! C'est monnaie courante !

> Deuxièmement, le procédé est de plus en plus rare surtout chez le s ploucs
> qui sont en difficulté et qui s'attendent à la visite de tous les s ervices
> répressifs qui se passent les infos.

*** Voilà de votre part un aveu qui prouve ce que j'ai fait comme remar que
plus haut !

> Troisièmement, ce sont souvent les "pauvres bougres" qui demandent à être
> payés de la main à la main pour éviter des augmentations d'impô ts

*** Vous continuez et confirmez mes dires !
(je dois dire que c'est "humain")

(cas des fonctionnaires qui font du noir)

*** Plus rare , mais tout aussi "humain" que pour les travailleurs!

ou pour éviter des pertes d'allocations chômage (cas des chômeurs qui
essayent de se faire une pièce en sus) ou

> simplement pour gagner un peu plus en sachant que le patron économise les
> charges (cas des ouvriers étrangers).

*** Et vous admettez cette situation ??? NON quand même .
Et je vous demande de l'examiner de deux façons.
1- le fait de travailler au noir comme vous dites pour avoir
une petite pièce NON taxée provoque des chômeurs
supplémentaires
2- Non seulement le patron en question économise des
charges mais n'oubliez PAS non plus qu'il exploite des
ouvrires étrangers qui travaillent pour "Rien"

> Voilà quelques renseignements qui vous éviteront de dire des béti ses à
> l'avenir.

*** Voilà une façon de voir les choses qui vous permettra d'évaluer
justement la faute en question :

"C'est à dire l'abattage des deux fonctionnaires"

--
YZOU

Ce qui se pratique surtout c'est la chasse aux citoyens qui ont
quelques biens pour les spiolier par des procédés mafieux.
L'originalité de la France c'est de recourir au gangstérisme d'état et
c'est fastoch avec les codes de loi les plus compliquiés du monde ou
il existe tout et son contraire et ou le premier président de la cour
de cassation ne connait pas la loi, c'est très facile à vérifier, il
suffit de lui faire passer une interro.
Alors si les premiers juristes de france ne connaisent pas la loi,
sauf à avoir recours à leurs manuels, ordi ou archives, c'est que
quelqu'il y a quelque chose de pourri en France ou l'on demande au
citoyen de connaitre ces lois à 100%. Il est donc facile pour
n'importe qu'elle administration de planter qui elle veulent, comme
elles veulent, par le recours à la "loi". C'est de l'escroquerie avec
des moyens d'état.
Prenez le travail illégal des fonctionnaires pour vérifier par exemple
et leurs cumuls Privé-Public, contraire même à l'esprit des lois
depuis Hamourabi et Moïse.

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On 8 mar, 08:53, "steux.m" wrote:

"villenoel" a écrit dans le message de news:
45ee8590$0$5094$

> Ca c'est une réponse à la Arlette.
> Premièrement, l'emploi des ouvriers au noir n'a pas été prouvé.

*** Allons ! Allons ! Avouez-le ! C'est monnaie courante !

> Deuxièmement, le procédé est de plus en plus rare surtout chez le s ploucs
> qui sont en difficulté et qui s'attendent à la visite de tous les s ervices
> répressifs qui se passent les infos.

*** Voilà de votre part un aveu qui prouve ce que j'ai fait comme remar que
plus haut !

> Troisièmement, ce sont souvent les "pauvres bougres" qui demandent à être
> payés de la main à la main pour éviter des augmentations d'impô ts

*** Vous continuez et confirmez mes dires !
(je dois dire que c'est "humain")

(cas des fonctionnaires qui font du noir)

*** Plus rare , mais tout aussi "humain" que pour les travailleurs!

ou pour éviter des pertes d'allocations chômage (cas des chômeurs qui
essayent de se faire une pièce en sus) ou

> simplement pour gagner un peu plus en sachant que le patron économise les
> charges (cas des ouvriers étrangers).

*** Et vous admettez cette situation ??? NON quand même .
Et je vous demande de l'examiner de deux façons.
1- le fait de travailler au noir comme vous dites pour avoir
une petite pièce NON taxée provoque des chômeurs
supplémentaires
2- Non seulement le patron en question économise des
charges mais n'oubliez PAS non plus qu'il exploite des
ouvrires étrangers qui travaillent pour "Rien"

> Voilà quelques renseignements qui vous éviteront de dire des béti ses à
> l'avenir.

*** Voilà une façon de voir les choses qui vous permettra d'évaluer
justement la faute en question :

"C'est à dire l'abattage des deux fonctionnaires"

--
YZOU

Ce qui se pratique surtout c'est la chasse aux citoyens qui ont
quelques biens pour les spiolier par des procédés mafieux.
L'originalité de la France c'est de recourir au gangstérisme d'état et
c'est fastoch avec les codes de loi les plus compliquiés du monde ou
il existe tout et son contraire et ou le premier président de la cour
de cassation ne connait pas la loi, c'est très facile à vérifier, il
suffit de lui faire passer une interro.
Alors si les premiers juristes de france ne connaisent pas la loi,
sauf à avoir recours à leurs manuels, ordi ou archives, c'est que
quelqu'il y a quelque chose de pourri en France ou l'on demande au
citoyen de connaitre ces lois à 100%. Il est donc facile pour
n'importe qu'elle administration de planter qui elle veulent, comme
elles veulent, par le recours à la "loi". C'est de l'escroquerie avec
des moyens d'état.
Prenez le travail illégal des fonctionnaires pour vérifier par exemple
et leurs cumuls Privé-Public, contraire même à l'esprit des lois
depuis Hamourabi et Moïse.

Gromit

08/03/2007 à 14:34

villenoel a écrit :

[snip]

Et pourquoi Bouygues et Leclerc ne sont jamais contrôlés ?

[snip]

Si,il sont contrôlés.
La preuve ici.

http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_articleA58

Réclusion salariale made in Leclerc.
1er octobre 2006

La direction d’un hypermarché de Montbéliard a enfermé soixante employés
pour les soustraire à un contrôle de l’inspection du travail.

L’ Humanité, 29 septembre 2006.

Dans le scénario d’un mauvais film de série B, l’histoire eut été
risible. Sortie de la fiction, elle se fait abjection. Alors que leur
direction avait exigé leur présence nocturne pour inventorier
l’hypermarché, soixante salariés du Leclerc de Montbéliard (Doubs) se
sont retrouvés enfermés pendant plusieurs heures à l’intérieur d’une
réserve exiguë du magasin, dans l’obscurité totale... Avec interdiction
formelle de discuter ou de téléphoner sous peine de se faire licencier !
« On a été traité comme peuvent l’être des travailleurs clandestins »,
confie, sous couvert d’anonymat, un employé.

Le vendredi 30 juin, surpris en plein inventaire par un contrôle inopiné
de la Direction du travail et de l’Urssaf, les dirigeants de la grande
surface paniquent. Selon les témoignages de salariés, pendant qu’un
responsable retient tant bien que mal les agents à l’entrée, d’autres
disparaissent dans les rayons et ordonnent aux membres du personnel
présent de les suivre sans bruit avant de les cadenasser dans une pièce
close, au milieu des cartons de vêtements. Sans aucune explication.

Le contrôle ne dure en tout qu’une trentaine de minutes, les inspecteurs
du travail ne relèvent à première vue rien d’anormal. Mais, alertée par
des accusations répétées d’heures supplémentaires impayées, la direction
départementale du travail n’enquête pas depuis mars 2005 pour rien. En
compagnie des forces de l’ordre, elle reste aux abords du Leclerc. Leur
patience finit par payer. « Par petits groupes », les salariés sont «
libérés » avec pour consigne de dire « que l’on a respecté nos horaires
», explique un autre salarié dans les colonnes de l’Est républicain. Sur
le coup, « beaucoup d’entre eux mentent, mais d’autres craquent »,
résume Maxime Guillemin, responsable CGT, qui n’exclut pas que son
syndicat porte plainte au pénal pour séquestration « si des salariés le
souhaitent ».

Pour l’instant, la direction départementale du travail vient de déposer
sur le bureau du procureur de la République un dossier dense sur les «
irrégularités et infractions » constatées dans la grande surface. En
plus de « l’entrave au travail des inspecteurs », l’enquête soulève deux
autres fautes : une sur les salaires, l’autre sur les horaires. « Des
employés ont effectué des heures gratuites de manière courante, ce qui
bien évidemment n’était pas notifié sur leurs contrats », explique-t-on
du côté de la direction départementale du travail.

Subitement, dans le courant de l’été, Bernard Canonne, le PDG franchisé
de l’hypermarché, supprime les primes d’intéressement, et ce « tant que
les mouchards qui sont allés avertir l’inspection ne se dénoncent pas »,
répètent des salariés excédés. Car déjà, en début d’année, ils avaient
vu abroger la réduction de 3 % auxquels ils avaient droit à la caisse
pour leurs achats. « Depuis un an, affluent vers nous des personnes au
bord de la dépression, épuisées par des mois d’humiliation au travail,
qui viennent de se faire licencier, pour un oui ou un non, sur des
motifs de fautes graves plus que bancales », raconte Cyril Keller, le
secrétaire de l’union locale CGT. Le syndicaliste parle de « 150
licenciements abusifs » en quatre années de « règne Canonne ». Une
trentaine de victimes envisagerait ainsi de monter une association afin
de mieux pouvoir peser dans la procédure judiciaire qui s’amorce. « Du
bricolage pour s’organiser collectivement, vu que la direction refuse
d’organiser l’élection des représentants du personnel malgré
l’obligation légale », explique Cyril Keller. Direction qui n’a pas
souhaité s’exprimer sur les événements.

Il y a quelques mois, une vingtaine de salariés, bravant le risque de
représailles, a écrit à Michel-Edouard Leclerc pour l’avertir de la
situation dans le magasin de Monbéliard. La lettre se terminait par un
appuyé « Nous espérons que vous saurez nous entendre ». L’accusé de
réception s’est sûrement égaré.

Christelle Chabaud

villenoel a écrit :

[snip]

Et pourquoi Bouygues et Leclerc ne sont jamais contrôlés ?

[snip]

Si,il sont contrôlés.
La preuve ici.

http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_articleA58

Réclusion salariale made in Leclerc.
1er octobre 2006

La direction d’un hypermarché de Montbéliard a enfermé soixante employés
pour les soustraire à un contrôle de l’inspection du travail.

L’ Humanité, 29 septembre 2006.

Dans le scénario d’un mauvais film de série B, l’histoire eut été
risible. Sortie de la fiction, elle se fait abjection. Alors que leur
direction avait exigé leur présence nocturne pour inventorier
l’hypermarché, soixante salariés du Leclerc de Montbéliard (Doubs) se
sont retrouvés enfermés pendant plusieurs heures à l’intérieur d’une
réserve exiguë du magasin, dans l’obscurité totale... Avec interdiction
formelle de discuter ou de téléphoner sous peine de se faire licencier !
« On a été traité comme peuvent l’être des travailleurs clandestins »,
confie, sous couvert d’anonymat, un employé.

Le vendredi 30 juin, surpris en plein inventaire par un contrôle inopiné
de la Direction du travail et de l’Urssaf, les dirigeants de la grande
surface paniquent. Selon les témoignages de salariés, pendant qu’un
responsable retient tant bien que mal les agents à l’entrée, d’autres
disparaissent dans les rayons et ordonnent aux membres du personnel
présent de les suivre sans bruit avant de les cadenasser dans une pièce
close, au milieu des cartons de vêtements. Sans aucune explication.

Le contrôle ne dure en tout qu’une trentaine de minutes, les inspecteurs
du travail ne relèvent à première vue rien d’anormal. Mais, alertée par
des accusations répétées d’heures supplémentaires impayées, la direction
départementale du travail n’enquête pas depuis mars 2005 pour rien. En
compagnie des forces de l’ordre, elle reste aux abords du Leclerc. Leur
patience finit par payer. « Par petits groupes », les salariés sont «
libérés » avec pour consigne de dire « que l’on a respecté nos horaires
», explique un autre salarié dans les colonnes de l’Est républicain. Sur
le coup, « beaucoup d’entre eux mentent, mais d’autres craquent »,
résume Maxime Guillemin, responsable CGT, qui n’exclut pas que son
syndicat porte plainte au pénal pour séquestration « si des salariés le
souhaitent ».

Pour l’instant, la direction départementale du travail vient de déposer
sur le bureau du procureur de la République un dossier dense sur les «
irrégularités et infractions » constatées dans la grande surface. En
plus de « l’entrave au travail des inspecteurs », l’enquête soulève deux
autres fautes : une sur les salaires, l’autre sur les horaires. « Des
employés ont effectué des heures gratuites de manière courante, ce qui
bien évidemment n’était pas notifié sur leurs contrats », explique-t-on
du côté de la direction départementale du travail.

Subitement, dans le courant de l’été, Bernard Canonne, le PDG franchisé
de l’hypermarché, supprime les primes d’intéressement, et ce « tant que
les mouchards qui sont allés avertir l’inspection ne se dénoncent pas »,
répètent des salariés excédés. Car déjà, en début d’année, ils avaient
vu abroger la réduction de 3 % auxquels ils avaient droit à la caisse
pour leurs achats. « Depuis un an, affluent vers nous des personnes au
bord de la dépression, épuisées par des mois d’humiliation au travail,
qui viennent de se faire licencier, pour un oui ou un non, sur des
motifs de fautes graves plus que bancales », raconte Cyril Keller, le
secrétaire de l’union locale CGT. Le syndicaliste parle de « 150
licenciements abusifs » en quatre années de « règne Canonne ». Une
trentaine de victimes envisagerait ainsi de monter une association afin
de mieux pouvoir peser dans la procédure judiciaire qui s’amorce. « Du
bricolage pour s’organiser collectivement, vu que la direction refuse
d’organiser l’élection des représentants du personnel malgré
l’obligation légale », explique Cyril Keller. Direction qui n’a pas
souhaité s’exprimer sur les événements.

Il y a quelques mois, une vingtaine de salariés, bravant le risque de
représailles, a écrit à Michel-Edouard Leclerc pour l’avertir de la
situation dans le magasin de Monbéliard. La lettre se terminait par un
appuyé « Nous espérons que vous saurez nous entendre ». L’accusé de
réception s’est sûrement égaré.

Christelle Chabaud

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

villenoel a écrit :

[snip]

Et pourquoi Bouygues et Leclerc ne sont jamais contrôlés ?

[snip]

Si,il sont contrôlés.
La preuve ici.

http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_articleA58

Réclusion salariale made in Leclerc.
1er octobre 2006

La direction d’un hypermarché de Montbéliard a enfermé soixante employés
pour les soustraire à un contrôle de l’inspection du travail.

L’ Humanité, 29 septembre 2006.

Dans le scénario d’un mauvais film de série B, l’histoire eut été
risible. Sortie de la fiction, elle se fait abjection. Alors que leur
direction avait exigé leur présence nocturne pour inventorier
l’hypermarché, soixante salariés du Leclerc de Montbéliard (Doubs) se
sont retrouvés enfermés pendant plusieurs heures à l’intérieur d’une
réserve exiguë du magasin, dans l’obscurité totale... Avec interdiction
formelle de discuter ou de téléphoner sous peine de se faire licencier !
« On a été traité comme peuvent l’être des travailleurs clandestins »,
confie, sous couvert d’anonymat, un employé.

Le vendredi 30 juin, surpris en plein inventaire par un contrôle inopiné
de la Direction du travail et de l’Urssaf, les dirigeants de la grande
surface paniquent. Selon les témoignages de salariés, pendant qu’un
responsable retient tant bien que mal les agents à l’entrée, d’autres
disparaissent dans les rayons et ordonnent aux membres du personnel
présent de les suivre sans bruit avant de les cadenasser dans une pièce
close, au milieu des cartons de vêtements. Sans aucune explication.

Le contrôle ne dure en tout qu’une trentaine de minutes, les inspecteurs
du travail ne relèvent à première vue rien d’anormal. Mais, alertée par
des accusations répétées d’heures supplémentaires impayées, la direction
départementale du travail n’enquête pas depuis mars 2005 pour rien. En
compagnie des forces de l’ordre, elle reste aux abords du Leclerc. Leur
patience finit par payer. « Par petits groupes », les salariés sont «
libérés » avec pour consigne de dire « que l’on a respecté nos horaires
», explique un autre salarié dans les colonnes de l’Est républicain. Sur
le coup, « beaucoup d’entre eux mentent, mais d’autres craquent »,
résume Maxime Guillemin, responsable CGT, qui n’exclut pas que son
syndicat porte plainte au pénal pour séquestration « si des salariés le
souhaitent ».

Pour l’instant, la direction départementale du travail vient de déposer
sur le bureau du procureur de la République un dossier dense sur les «
irrégularités et infractions » constatées dans la grande surface. En
plus de « l’entrave au travail des inspecteurs », l’enquête soulève deux
autres fautes : une sur les salaires, l’autre sur les horaires. « Des
employés ont effectué des heures gratuites de manière courante, ce qui
bien évidemment n’était pas notifié sur leurs contrats », explique-t-on
du côté de la direction départementale du travail.

Subitement, dans le courant de l’été, Bernard Canonne, le PDG franchisé
de l’hypermarché, supprime les primes d’intéressement, et ce « tant que
les mouchards qui sont allés avertir l’inspection ne se dénoncent pas »,
répètent des salariés excédés. Car déjà, en début d’année, ils avaient
vu abroger la réduction de 3 % auxquels ils avaient droit à la caisse
pour leurs achats. « Depuis un an, affluent vers nous des personnes au
bord de la dépression, épuisées par des mois d’humiliation au travail,
qui viennent de se faire licencier, pour un oui ou un non, sur des
motifs de fautes graves plus que bancales », raconte Cyril Keller, le
secrétaire de l’union locale CGT. Le syndicaliste parle de « 150
licenciements abusifs » en quatre années de « règne Canonne ». Une
trentaine de victimes envisagerait ainsi de monter une association afin
de mieux pouvoir peser dans la procédure judiciaire qui s’amorce. « Du
bricolage pour s’organiser collectivement, vu que la direction refuse
d’organiser l’élection des représentants du personnel malgré
l’obligation légale », explique Cyril Keller. Direction qui n’a pas
souhaité s’exprimer sur les événements.

Il y a quelques mois, une vingtaine de salariés, bravant le risque de
représailles, a écrit à Michel-Edouard Leclerc pour l’avertir de la
situation dans le magasin de Monbéliard. La lettre se terminait par un
appuyé « Nous espérons que vous saurez nous entendre ». L’accusé de
réception s’est sûrement égaré.

Christelle Chabaud

Gromit

08/03/2007 à 14:43

villenoel a écrit :

"mj.vuillemin" a écrit dans le message de news:
45ee7bfd$0$21142$
-- " la Dordogne est peinarde ".....sans doute et les ploucs du coin en
toute quiétude peuvent exploiter les pauvres bougres et payer les ouvriers
agricoles a coup de fourche !!!!!
J.V

========= > Ca c'est une réponse à la Arlette.
Premièrement, l'emploi des ouvriers au noir n'a pas été prouvé.

C'est sûr que quand on empêche les inspecteurs du travail de faire leur
travail et qu'on leur envoie des pruneaux en guise de comité d'accueil...

Au fait, ils sont morts.
Comme ça, plus de preuve, effectivement...

Deuxièmement, le procédé est de plus en plus rare surtout chez les ploucs
qui sont en difficulté et qui s'attendent à la visite de tous les services
répressifs qui se passent les infos.

Ah?
Des statistiques officielles, peut-être?
C'est sûr que si la méthode est de menacer de mort les inspecteurs du
travail, fatalement, ils viennent moins constater les faits...

Donc maintenant la campagne de Dordogne deviendrait-elle une zone de
non-droit où les ploucs imposent la leur à coups de fusils en lieu et
place de la loi républicaine?

Troisièmement, ce sont souvent les "pauvres bougres" qui demandent à être
payés de la main à la main pour éviter des augmentations d'impôts (cas des
fonctionnaires qui font du noir) ou pour éviter des pertes d'allocations
chômage (cas des chômeurs qui essayent de se faire une pièce en sus) ou
simplement pour gagner un peu plus en sachant que le patron économise les
charges (cas des ouvriers étrangers).

Ah bah alors, si c'est les pauvres bougres qui réclament, il n'a pas
d'intérêt dans l'affaire, le paysan?

Voilà quelques renseignements qui vous éviteront de dire des bétises à
l'avenir.

Des bêtises, effectivement, on en lit assez venant de Villenoel.

ExtrêmeAchillès

09/03/2007 à 10:48

On 8 mar, 07:27, "villenoel" wrote:

"mj.vuillemin" a écrit dans le message de new s:
45eee293$0$21143$ villenoel wrote:
> :: "mj.vuillemin" a écrit dans le message de
> ::news: 45ee7bfd$0$21142$7a628__BEGIN_MASK_n#9g02mG7!__...__END_MASK_i? a63jfAD$
> :::

> c'est donc pour cela que le fusil était prêt......préméditation alors de
> mieux en mieux !!!

> peut etre as tu raison.....mais le patron n'a pas a se faire complice de
> ce genre de tricheur.....mais ça lui permets d'etre moins cher que son
> collègue du coin !!!!
> J.V

=================
A la campagne le fusil est toujours prêt derrière la porte.
Non, j'exagère, mais ça existe encore sans qu'il y ait préméditat ion
particulière.

Pour le travail au noir, je puis certifier que c'est de plus en plus rare et
même très rare. Il faut dire que l'état sort les grands moyens :
surveillance par hélicoptère, tournée des inspecteurs, etc.
L'état se fait même complice de certains passe-droits.
Une année le patron a employé des Ukrainiens mais c'est vu imposer une
surtaxe pour emploi de travailleurs étrangers.

Deux ou trois ans après on ne trouvait plus de vendangeurs et le
Ministre du travail a autorisé les fonctionnaires à travailler pendant
leurs congés.

C'EST TOTALEMENT ILLEGAL ET LE MIONISTRE DEVRAIT ETRE EN TAULE !
LE BARRATIN DE l'ETAT RIPOUX ONT CONNAIT.
LA LOI C'EST POUR LES AUTRES !
Les fonctionnaires ont ils travaillé pendant leur congé au noir ? Oui
pour beaucoup car ils ne se contrôlent pas eux même cela va de soi.
c'est l'état le plus gros fournisseur de travail illégal !

J'étais chef d'équipe et

je peux vous dire que c'est un vrai bordel à gérer.

Enfin je ne veux pas justifier deux meurtres mais je comprends qu'un mec
pète les plombs lorsqu'il est en surcharge.
Qui n'a jamais eu de pensées meurtrières dans certaines occasions.
--
villenoel

On 8 mar, 07:27, "villenoel" <villen...@wanadoo.fr> wrote:

"mj.vuillemin" <mj.vuille...@wanamoo.fr> a écrit dans le message de new s:
45eee293$0$21143$7a628...@news.club-internet.fr...> villenoel wrote:
> :: "mj.vuillemin" <mj.vuille...@wanamoo.fr> a écrit dans le message de
> ::news: 45ee7bfd$0$21142$7a628__BEGIN_MASK_n#9g02mG7!__...__END_MASK_i? a63jfAD$z__@news.club-internet.fr...
> :::

> c'est donc pour cela que le fusil était prêt......préméditation alors de
> mieux en mieux !!!

> peut etre as tu raison.....mais le patron n'a pas a se faire complice de
> ce genre de tricheur.....mais ça lui permets d'etre moins cher que son
> collègue du coin !!!!
> J.V

=================
A la campagne le fusil est toujours prêt derrière la porte.
Non, j'exagère, mais ça existe encore sans qu'il y ait préméditat ion
particulière.

Pour le travail au noir, je puis certifier que c'est de plus en plus rare et
même très rare. Il faut dire que l'état sort les grands moyens :
surveillance par hélicoptère, tournée des inspecteurs, etc.
L'état se fait même complice de certains passe-droits.
Une année le patron a employé des Ukrainiens mais c'est vu imposer une
surtaxe pour emploi de travailleurs étrangers.

Deux ou trois ans après on ne trouvait plus de vendangeurs et le
Ministre du travail a autorisé les fonctionnaires à travailler pendant
leurs congés.

C'EST TOTALEMENT ILLEGAL ET LE MIONISTRE DEVRAIT ETRE EN TAULE !
LE BARRATIN DE l'ETAT RIPOUX ONT CONNAIT.
LA LOI C'EST POUR LES AUTRES !
Les fonctionnaires ont ils travaillé pendant leur congé au noir ? Oui
pour beaucoup car ils ne se contrôlent pas eux même cela va de soi.
c'est l'état le plus gros fournisseur de travail illégal !

J'étais chef d'équipe et

je peux vous dire que c'est un vrai bordel à gérer.

Enfin je ne veux pas justifier deux meurtres mais je comprends qu'un mec
pète les plombs lorsqu'il est en surcharge.
Qui n'a jamais eu de pensées meurtrières dans certaines occasions.
--
villenoel

Deux fonctionnaires abattus par un pecneau pour des prunes!

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