Moi pas. Pourquoi réduire une image qui est bien plus belle en couleurs ? Il y a tout de suite de la profondeur, du relief et de la transparence. La partie gauche que j'ôterais dans la N&B fait ici contre point avec la couleur et passe très bien.
Bonsoir Albert,
C'était un choix de la montrer en n&b. Manifestement j'ai du boulot a faire pour que cela passe bien comme cela. (au moins en cadrage) Je trouve que la couleur n'apporte pas grand chose dessus.
Merci pour ton point de vue.
-- vincent.
On 26/11/2010 20:17, albert wrote:
Moi pas. Pourquoi réduire une image qui est bien plus belle en couleurs
? Il y a tout de suite de la profondeur, du relief et de la transparence. La
partie gauche que j'ôterais dans la N&B fait ici contre point avec la
couleur et passe très bien.
Bonsoir Albert,
C'était un choix de la montrer en n&b. Manifestement j'ai du boulot a
faire pour que cela passe bien comme cela. (au moins en cadrage)
Je trouve que la couleur n'apporte pas grand chose dessus.
Moi pas. Pourquoi réduire une image qui est bien plus belle en couleurs ? Il y a tout de suite de la profondeur, du relief et de la transparence. La partie gauche que j'ôterais dans la N&B fait ici contre point avec la couleur et passe très bien.
Bonsoir Albert,
C'était un choix de la montrer en n&b. Manifestement j'ai du boulot a faire pour que cela passe bien comme cela. (au moins en cadrage) Je trouve que la couleur n'apporte pas grand chose dessus.
Merci pour ton point de vue.
-- vincent.
delestaque
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit :
Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit :
Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc Je préfère la version noir & blanc.
Je la trouve bien plus jolie en couleurs.
Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo je cherche.
-- Ricco
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit :
Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit :
Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc
Je préfère la version noir & blanc.
Je la trouve bien plus jolie en couleurs.
Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo
je cherche.
Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc Je préfère la version noir & blanc.
Je la trouve bien plus jolie en couleurs.
Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo je cherche.
-- Ricco
filh
delestaque wrote:
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit : > Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit : > >> Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc >> Je préfère la version noir & blanc. > > Je la trouve bien plus jolie en couleurs. > Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo je cherche.
C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir.
Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de choses en toi car ton univers est pauvre.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
delestaque <utilisateur@free.fr> wrote:
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit :
> Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit :
>
>> Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc
>> Je préfère la version noir & blanc.
>
> Je la trouve bien plus jolie en couleurs.
>
Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo
je cherche.
C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir.
Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de
choses en toi car ton univers est pauvre.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit : > Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit : > >> Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc >> Je préfère la version noir & blanc. > > Je la trouve bien plus jolie en couleurs. > Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo je cherche.
C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir.
Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de choses en toi car ton univers est pauvre.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ofnuts
On 11/26/2010 10:34 PM, FiLH wrote:
delestaque wrote:
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit :
Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit :
Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc Je préfère la version noir& blanc.
Je la trouve bien plus jolie en couleurs.
Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo je cherche.
C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir.
Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de choses en toi car ton univers est pauvre.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
-- Bertrand
On 11/26/2010 10:34 PM, FiLH wrote:
delestaque<utilisateur@free.fr> wrote:
Le 26/11/2010 20:09, Ghost-Rider a écrit :
Le 26/11/2010 19:47, vincent a écrit :
Il suffit de le demander : http://cjoint.com/?0lAtTciRbAc
Je préfère la version noir& blanc.
Je la trouve bien plus jolie en couleurs.
Moi, en couleur ou en n&b, je ne vois pas ce qu'il y a dans cette photo
je cherche.
C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir.
Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de
choses en toi car ton univers est pauvre.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout
imaginer.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
BOUM
filh
Ofnuts wrote:
> C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir. > > Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de > choses en toi car ton univers est pauvre.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
Non, du tout.
Ce n'est pas une question d'imagination mais de résonnance et de palette de goût.
Pour la palette de goûit c'est exactement comme la cuisine : plus on goûte a des saveurs différentes plus on arrive à en aimer. Et rien à voir avec la nouvelle cuisine, ça marche aussi avec l'ancienne.
Pour la résonnance c'est pas tout à fait pareil, quoi que Proust et sa madeleine...
Ce qui nous plait en général dans une photo, c'est ce qu'elle évoque en nous, comme on dit « ce qui nous parle ». Et plus on a de choses en nous plus il y a des chances que cela nous parle. Il faut qu'il y ait un rapport entre nous et l'image.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ofnuts <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> wrote:
> C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir.
>
> Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de
> choses en toi car ton univers est pauvre.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout
imaginer.
Non, du tout.
Ce n'est pas une question d'imagination mais de résonnance et de palette
de goût.
Pour la palette de goûit c'est exactement comme la cuisine : plus on
goûte a des saveurs différentes plus on arrive à en aimer. Et rien à
voir avec la nouvelle cuisine, ça marche aussi avec l'ancienne.
Pour la résonnance c'est pas tout à fait pareil, quoi que Proust et sa
madeleine...
Ce qui nous plait en général dans une photo, c'est ce qu'elle évoque en
nous, comme on dit « ce qui nous parle ». Et plus on a de choses en nous
plus il y a des chances que cela nous parle. Il faut qu'il y ait un
rapport entre nous et l'image.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> C'est assez récurrent chez toi cette incapacité à voir. > > Ça doit être dû à ta pauvreté intellectuelle : cela éveille peu de > choses en toi car ton univers est pauvre.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
Non, du tout.
Ce n'est pas une question d'imagination mais de résonnance et de palette de goût.
Pour la palette de goûit c'est exactement comme la cuisine : plus on goûte a des saveurs différentes plus on arrive à en aimer. Et rien à voir avec la nouvelle cuisine, ça marche aussi avec l'ancienne.
Pour la résonnance c'est pas tout à fait pareil, quoi que Proust et sa madeleine...
Ce qui nous plait en général dans une photo, c'est ce qu'elle évoque en nous, comme on dit « ce qui nous parle ». Et plus on a de choses en nous plus il y a des chances que cela nous parle. Il faut qu'il y ait un rapport entre nous et l'image.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
delestaque
Le 26/11/2010 22:47, Ofnuts a écrit :
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
Oui, c'est nourrissant la cuisine imaginaire, mais n'y a t il pas ici, Albert je crois qui fait dans la photo imaginaire,c'est très bien, même pas besoin d'appareil Je connais quelques posteurs ici qui font un autre choix, ils ne participent pas, comme ça ils ont bonne presse, et sont gentils tout plein, ça fait avancer les choses, c'est vrai, ça aide. on a bien connu " toujours la même magie " pour Pierre Palier, c'était merveilleux, d'excellentes photos sur son site, et ne postait ici que des daubes extraordinaires. Qu'y a t il dans cette photo, un chemin qui part, un arbre à couper, il y a surtout un tas de charbon, je vois des péniches le soir au bord de l'eau, mais non, ça y est, je pars pour des voyages merveilleux à bord d'une Freycinet, je vois Rotterdam, on passera un moment sur la mer, près de la côte, ah ! Ca sent les moules et les frites, ces génies de la Nouvelle Cuisine, et je plonge, mais pas dans les flots gris de la Manche, mon esprit pénètre la matière et va jusqu'au plus profond de la matière de la frite, j'arrive à l'ultime molécule, j'ai quitté la Nouvelle Cuisine pour la cuisine moléculaire, des fragments de moi-même s'échappent et se joignent à la ronde infernale des électrons, sarabande eternelle, mais des tréfonds de ma frite, que vois-je, ne serais ce pas notre ami Jean Claude Guilain, là-bas sur le quai, près d'une 2 CV merveilleuse, il rit et nous accueille avec des frites blondes brûlantes, et du poisson aussi, dans un cornet habilement confectionné à l'aide la page sportive du journal Le Soir. le voyage se termine, un autre commence, nos partirons là où sous un ciel si triste un canal s'est pendu ...
-- Ricco
Le 26/11/2010 22:47, Ofnuts a écrit :
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout
imaginer.
Oui, c'est nourrissant la cuisine imaginaire, mais n'y a t il pas ici,
Albert je crois qui fait dans la photo imaginaire,c'est très bien, même
pas besoin d'appareil
Je connais quelques posteurs ici qui font un autre choix, ils ne
participent pas, comme ça ils ont bonne presse, et sont gentils tout
plein, ça fait avancer les choses, c'est vrai, ça aide.
on a bien connu " toujours la même magie " pour Pierre Palier, c'était
merveilleux, d'excellentes photos sur son site, et ne postait ici que
des daubes extraordinaires.
Qu'y a t il dans cette photo, un chemin qui part, un arbre à couper, il
y a surtout un tas de charbon, je vois des péniches le soir au bord de
l'eau, mais non, ça y est, je pars pour des voyages merveilleux à bord
d'une Freycinet, je vois Rotterdam, on passera un moment sur la mer,
près de la côte, ah ! Ca sent les moules et les frites, ces génies de la
Nouvelle Cuisine, et je plonge, mais pas dans les flots gris de la
Manche, mon esprit pénètre la matière et va jusqu'au plus profond de la
matière de la frite, j'arrive à l'ultime molécule, j'ai quitté la
Nouvelle Cuisine pour la cuisine moléculaire, des fragments de moi-même
s'échappent et se joignent à la ronde infernale des électrons, sarabande
eternelle, mais des tréfonds de ma frite, que vois-je, ne serais ce pas
notre ami Jean Claude Guilain, là-bas sur le quai, près d'une 2 CV
merveilleuse, il rit et nous accueille avec des frites blondes
brûlantes, et du poisson aussi, dans un cornet habilement confectionné à
l'aide la page sportive du journal Le Soir.
le voyage se termine, un autre commence, nos partirons là où sous un
ciel si triste un canal s'est pendu ...
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
Oui, c'est nourrissant la cuisine imaginaire, mais n'y a t il pas ici, Albert je crois qui fait dans la photo imaginaire,c'est très bien, même pas besoin d'appareil Je connais quelques posteurs ici qui font un autre choix, ils ne participent pas, comme ça ils ont bonne presse, et sont gentils tout plein, ça fait avancer les choses, c'est vrai, ça aide. on a bien connu " toujours la même magie " pour Pierre Palier, c'était merveilleux, d'excellentes photos sur son site, et ne postait ici que des daubes extraordinaires. Qu'y a t il dans cette photo, un chemin qui part, un arbre à couper, il y a surtout un tas de charbon, je vois des péniches le soir au bord de l'eau, mais non, ça y est, je pars pour des voyages merveilleux à bord d'une Freycinet, je vois Rotterdam, on passera un moment sur la mer, près de la côte, ah ! Ca sent les moules et les frites, ces génies de la Nouvelle Cuisine, et je plonge, mais pas dans les flots gris de la Manche, mon esprit pénètre la matière et va jusqu'au plus profond de la matière de la frite, j'arrive à l'ultime molécule, j'ai quitté la Nouvelle Cuisine pour la cuisine moléculaire, des fragments de moi-même s'échappent et se joignent à la ronde infernale des électrons, sarabande eternelle, mais des tréfonds de ma frite, que vois-je, ne serais ce pas notre ami Jean Claude Guilain, là-bas sur le quai, près d'une 2 CV merveilleuse, il rit et nous accueille avec des frites blondes brûlantes, et du poisson aussi, dans un cornet habilement confectionné à l'aide la page sportive du journal Le Soir. le voyage se termine, un autre commence, nos partirons là où sous un ciel si triste un canal s'est pendu ...
-- Ricco
delestaque
Le 26/11/2010 22:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 26/11/2010 22:47, Ofnuts a écrit :
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
BOUM
Je ne sais pas ce que tu veux dire par Boum, mais c'est vrai que cette nouvelle cuisine force l'imagination, tu auras du mal à convaincre ton estomac dans une heure, vu ce qu'il y a à croquer, mais ce dont tu peux être sûr, c'est qu'il y aura un filet de vinaigre balsamique, et de la coriandre. obligatoire, sinon, c'est pas tagué nouvelle cuisine. ca me fait un peu penser à ce mec qui bouffait au restac, le loufiat luei demande : -" comment avez vous trouvé le steak, Monsieur ? " -" par hasard sous une frite " mais c'est très bobo, l'imaginaire, faut imaginer des photos, pratique comme ça, même pas besoin d'en faire, et aussi imaginer ce qu'il y a dans ton assiette, c'est nourrissant l'imagination, j'aime bien tous ces artistes photographes qui se font un remake des poètes maudits du dix neuvième. Ils viennent parler d'imagination, pas capables de faire deux phrases, qui se prennent des airs inspirés se confondant dans des délayages incompréhensibles, c'est la Nouvelle Photo ça aussi. Les Nouveaux Artistes Photographe auto-proclamés, Klein avait trouvé ça avant eux, n'exposant rien sur des murs blancs, conceptuel vous dis je, conceptuel, sauf que ses potes lui avaient quand même dit que pour le coup il allait un peu trop loin dans le foutage de gueule. Je note que le correcteur orthographique ne connait pas le mot " foutage " et me propose " floutage ". mais le floutage de gueule, on connait ça aussi.
-- Ricco
Le 26/11/2010 22:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 26/11/2010 22:47, Ofnuts a écrit :
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout
imaginer.
BOUM
Je ne sais pas ce que tu veux dire par Boum, mais c'est vrai que cette
nouvelle cuisine force l'imagination, tu auras du mal à convaincre ton
estomac dans une heure, vu ce qu'il y a à croquer, mais ce dont tu peux
être sûr, c'est qu'il y aura un filet de vinaigre balsamique, et de la
coriandre.
obligatoire, sinon, c'est pas tagué nouvelle cuisine.
ca me fait un peu penser à ce mec qui bouffait au restac, le loufiat
luei demande :
-" comment avez vous trouvé le steak, Monsieur ? "
-" par hasard sous une frite "
mais c'est très bobo, l'imaginaire, faut imaginer des photos, pratique
comme ça, même pas besoin d'en faire, et aussi imaginer ce qu'il y a
dans ton assiette, c'est nourrissant l'imagination, j'aime bien tous ces
artistes photographes qui se font un remake des poètes maudits du dix
neuvième.
Ils viennent parler d'imagination, pas capables de faire deux phrases,
qui se prennent des airs inspirés se confondant dans des délayages
incompréhensibles, c'est la Nouvelle Photo ça aussi.
Les Nouveaux Artistes Photographe auto-proclamés, Klein avait trouvé ça
avant eux, n'exposant rien sur des murs blancs, conceptuel vous dis je,
conceptuel, sauf que ses potes lui avaient quand même dit que pour le
coup il allait un peu trop loin dans le foutage de gueule.
Je note que le correcteur orthographique ne connait pas le mot "
foutage " et me propose " floutage ".
mais le floutage de gueule, on connait ça aussi.
Le 26/11/2010 22:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 26/11/2010 22:47, Ofnuts a écrit :
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
BOUM
Je ne sais pas ce que tu veux dire par Boum, mais c'est vrai que cette nouvelle cuisine force l'imagination, tu auras du mal à convaincre ton estomac dans une heure, vu ce qu'il y a à croquer, mais ce dont tu peux être sûr, c'est qu'il y aura un filet de vinaigre balsamique, et de la coriandre. obligatoire, sinon, c'est pas tagué nouvelle cuisine. ca me fait un peu penser à ce mec qui bouffait au restac, le loufiat luei demande : -" comment avez vous trouvé le steak, Monsieur ? " -" par hasard sous une frite " mais c'est très bobo, l'imaginaire, faut imaginer des photos, pratique comme ça, même pas besoin d'en faire, et aussi imaginer ce qu'il y a dans ton assiette, c'est nourrissant l'imagination, j'aime bien tous ces artistes photographes qui se font un remake des poètes maudits du dix neuvième. Ils viennent parler d'imagination, pas capables de faire deux phrases, qui se prennent des airs inspirés se confondant dans des délayages incompréhensibles, c'est la Nouvelle Photo ça aussi. Les Nouveaux Artistes Photographe auto-proclamés, Klein avait trouvé ça avant eux, n'exposant rien sur des murs blancs, conceptuel vous dis je, conceptuel, sauf que ses potes lui avaient quand même dit que pour le coup il allait un peu trop loin dans le foutage de gueule. Je note que le correcteur orthographique ne connait pas le mot " foutage " et me propose " floutage ". mais le floutage de gueule, on connait ça aussi.
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
Oui, c'est nourrissant la cuisine imaginaire, mais n'y a t il pas ici, Albert je crois qui fait dans la photo imaginaire,c'est très bien, même pas besoin d'appareil Je connais quelques posteurs ici qui font un autre choix, ils ne participent pas, comme ça ils ont bonne presse, et sont gentils tout plein, ça fait avancer les choses, c'est vrai, ça aide. on a bien connu " toujours la même magie " pour Pierre Palier, c'était merveilleux, d'excellentes photos sur son site, et ne postait ici que des daubes extraordinaires. Qu'y a t il dans cette photo, un chemin qui part, un arbre à couper, il y a surtout un tas de charbon, je vois des péniches le soir au bord de l'eau, mais non, ça y est, je pars pour des voyages merveilleux à bord d'une Freycinet, je vois Rotterdam, on passera un moment sur la mer, près de la côte, ah ! Ca sent les moules et les frites, ces génies de la Nouvelle Cuisine, et je plonge, mais pas dans les flots gris de la Manche, mon esprit pénètre la matière et va jusqu'au plus profond de la matière de la frite, j'arrive à l'ultime molécule, j'ai quitté la Nouvelle Cuisine pour la cuisine moléculaire, des fragments de moi-même s'échappent et se joignent à la ronde infernale des électrons, sarabande eternelle, mais des tréfonds de ma frite, que vois-je, ne serais ce pas notre ami Jean Claude Guilain, là-bas sur le quai, près d'une 2 CV merveilleuse, il rit et nous accueille avec des frites blondes brûlantes, et du poisson aussi, dans un cornet habilement confectionné à l'aide la page sportive du journal Le Soir. le voyage se termine, un autre commence, nos partirons là où sous un ciel si triste un canal s'est pendu ...
Oui, il y a un petit peu de cela. Je m'évade en marchant au bord de la Seine. Tout comme en regardant le Mont-Valérien blanchi par la neige tout à l'heure
-- vincent.
On 26/11/2010 23:25, delestaque wrote:
Le 26/11/2010 22:47, Ofnuts a écrit :
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout
imaginer.
Oui, c'est nourrissant la cuisine imaginaire, mais n'y a t il pas ici,
Albert je crois qui fait dans la photo imaginaire,c'est très bien, même
pas besoin d'appareil
Je connais quelques posteurs ici qui font un autre choix, ils ne
participent pas, comme ça ils ont bonne presse, et sont gentils tout
plein, ça fait avancer les choses, c'est vrai, ça aide.
on a bien connu " toujours la même magie " pour Pierre Palier, c'était
merveilleux, d'excellentes photos sur son site, et ne postait ici que
des daubes extraordinaires.
Qu'y a t il dans cette photo, un chemin qui part, un arbre à couper, il
y a surtout un tas de charbon, je vois des péniches le soir au bord de
l'eau, mais non, ça y est, je pars pour des voyages merveilleux à bord
d'une Freycinet, je vois Rotterdam, on passera un moment sur la mer,
près de la côte, ah ! Ca sent les moules et les frites, ces génies de la
Nouvelle Cuisine, et je plonge, mais pas dans les flots gris de la
Manche, mon esprit pénètre la matière et va jusqu'au plus profond de la
matière de la frite, j'arrive à l'ultime molécule, j'ai quitté la
Nouvelle Cuisine pour la cuisine moléculaire, des fragments de moi-même
s'échappent et se joignent à la ronde infernale des électrons, sarabande
eternelle, mais des tréfonds de ma frite, que vois-je, ne serais ce pas
notre ami Jean Claude Guilain, là-bas sur le quai, près d'une 2 CV
merveilleuse, il rit et nous accueille avec des frites blondes
brûlantes, et du poisson aussi, dans un cornet habilement confectionné à
l'aide la page sportive du journal Le Soir.
le voyage se termine, un autre commence, nos partirons là où sous un
ciel si triste un canal s'est pendu ...
Oui, il y a un petit peu de cela. Je m'évade en marchant au bord de la
Seine.
Tout comme en regardant le Mont-Valérien blanchi par la neige tout à l'heure
Finalement, la photo, c'est comme la Nouvelle Cuisine, il faut surtout imaginer.
Oui, c'est nourrissant la cuisine imaginaire, mais n'y a t il pas ici, Albert je crois qui fait dans la photo imaginaire,c'est très bien, même pas besoin d'appareil Je connais quelques posteurs ici qui font un autre choix, ils ne participent pas, comme ça ils ont bonne presse, et sont gentils tout plein, ça fait avancer les choses, c'est vrai, ça aide. on a bien connu " toujours la même magie " pour Pierre Palier, c'était merveilleux, d'excellentes photos sur son site, et ne postait ici que des daubes extraordinaires. Qu'y a t il dans cette photo, un chemin qui part, un arbre à couper, il y a surtout un tas de charbon, je vois des péniches le soir au bord de l'eau, mais non, ça y est, je pars pour des voyages merveilleux à bord d'une Freycinet, je vois Rotterdam, on passera un moment sur la mer, près de la côte, ah ! Ca sent les moules et les frites, ces génies de la Nouvelle Cuisine, et je plonge, mais pas dans les flots gris de la Manche, mon esprit pénètre la matière et va jusqu'au plus profond de la matière de la frite, j'arrive à l'ultime molécule, j'ai quitté la Nouvelle Cuisine pour la cuisine moléculaire, des fragments de moi-même s'échappent et se joignent à la ronde infernale des électrons, sarabande eternelle, mais des tréfonds de ma frite, que vois-je, ne serais ce pas notre ami Jean Claude Guilain, là-bas sur le quai, près d'une 2 CV merveilleuse, il rit et nous accueille avec des frites blondes brûlantes, et du poisson aussi, dans un cornet habilement confectionné à l'aide la page sportive du journal Le Soir. le voyage se termine, un autre commence, nos partirons là où sous un ciel si triste un canal s'est pendu ...
Oui, il y a un petit peu de cela. Je m'évade en marchant au bord de la Seine. Tout comme en regardant le Mont-Valérien blanchi par la neige tout à l'heure
